Contribution n°761 (Web)
Par Vizzavona Laurent
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Contribution n°760 (Web)
Par Demaret Michel
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Essayons au maximum de préserver notre spécificité ,de respecter la vie, la Nature, et l'environnement
Contribution n°759 (Web)
Par Gassie Nadine
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Je suis fermement opposée à l'ouverture ou l'agrandissement de cette ferme-usine (ce seul concept est intolérable) qui est un modèle non-agricole de production de viande à bas prix, copié sur ce qui se fait dans des pays plus vastes que le nôtre où la concentration d'animaux peut être envisageable (et encore). Nos terroirs ne sont pas adaptés à ces modèles, qui créent non seulement des nuisances pour les habitants mais une souffrance pour les animaux entassés dans ces véritables camps de concentration inhumains, et pour l'environnement .
Comment, dans le cas présent, après une première enquête publique et un avis défavorable du rapporteur public, le projet peut-il revoir le jour avec des ajustements mineurs, soutenu par le Préfet ???? C'est un clair déni de démocratie. Je compte vivement sur le bon sens et l'honnêteté du prochain rapporteur public pour interdire absolument la réalisation de ce projet. Merci.
Comment, dans le cas présent, après une première enquête publique et un avis défavorable du rapporteur public, le projet peut-il revoir le jour avec des ajustements mineurs, soutenu par le Préfet ???? C'est un clair déni de démocratie. Je compte vivement sur le bon sens et l'honnêteté du prochain rapporteur public pour interdire absolument la réalisation de ce projet. Merci.
Contribution n°758 (Web)
Par Mansuy Marie-Christine
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Déposée le 22 février 2025 à 10h07
Encore un projet non favorable à l'environnement et à la santé humaine/animale ! Quand est-ce que les politiques arrêteront de favoriser ce type de ferme ? Et quand est-ce qu'il y aura un réel engagement de leur part pour protéger les terrains agricoles afin de valoriser une agriculture seine et à l'échelle humaine ? Que reviennent enfin la sagesse et le bon sens...
Contribution n°757 (Web)
Par Finet Marie-Claire
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Bonjour,
Je trouve que ce projet de ferme usine en Limousin est une aberration dans les conditions actuelles. Il faut revenir à des fermes qui produisent des produits de qualité, dans le bien-être des animaux , assurent un revenu décent aux agriculteurs avec un impact minimal sur l'environnement.
Ce n'est pas le cas pour les élevages industriels de cette sorte :
consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles par un ballet de camions.
Et concentration des terres aux mains d'industriels au détriment des petits agriculteurs et des jeunes qui ne peuvent pas s'installer.
Je trouve que ce projet de ferme usine en Limousin est une aberration dans les conditions actuelles. Il faut revenir à des fermes qui produisent des produits de qualité, dans le bien-être des animaux , assurent un revenu décent aux agriculteurs avec un impact minimal sur l'environnement.
Ce n'est pas le cas pour les élevages industriels de cette sorte :
consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles par un ballet de camions.
Et concentration des terres aux mains d'industriels au détriment des petits agriculteurs et des jeunes qui ne peuvent pas s'installer.
Contribution n°756 (Web)
Par Le Lann
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Bonjour,
Je suis formellement opposé à ce projet funeste de la SAS T'RHEA de création/agrandissement d'un centre d'engraissement de bovins sur les communes de de Peyrilhac et Nieul.
Cette agriculture est insoutenable sur le plan environnemental et ne doit pas se développer.
Je suis favorable à des pratiques d'élevage respectueuses du bien-être animal avec des bêtes sur pâturage. J'entends d'ici les promoteurs de ce projet crier "Oh l'écolo Bobo qui ne connaît rien à la campagne!" Erreur, j'ai grandi en pleine campagne et je connais les problématiques de l'alimentation ( master en qualité des aliments).
En espérant que cette enquête préalable sera bien prise en compte, sincères salutations.
Olivier Le Lann.
Je suis formellement opposé à ce projet funeste de la SAS T'RHEA de création/agrandissement d'un centre d'engraissement de bovins sur les communes de de Peyrilhac et Nieul.
Cette agriculture est insoutenable sur le plan environnemental et ne doit pas se développer.
Je suis favorable à des pratiques d'élevage respectueuses du bien-être animal avec des bêtes sur pâturage. J'entends d'ici les promoteurs de ce projet crier "Oh l'écolo Bobo qui ne connaît rien à la campagne!" Erreur, j'ai grandi en pleine campagne et je connais les problématiques de l'alimentation ( master en qualité des aliments).
En espérant que cette enquête préalable sera bien prise en compte, sincères salutations.
Olivier Le Lann.
Contribution n°755 (Web)
Par Chauvet Jean
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°754 (Web)
Par Read Aline
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Je m'oppose à la nouvelle variante de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°753 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
non à la pollution et à la maltraitance des animaux ça suffit
Contribution n°752 (Web)
Par Alran Thierry
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
Déposée le 22 février 2025 à 10h06
J'émets un avis DÉFAVORABLE à ce projet, qui va à l'encontre de la volontée des populations locales et des recommandation de la MRAE.
De plus, ce projet "hors-sol" constitue une grave menace pour la qualité de vie des riverains, pour l'environnement par la pression qu'il va exercer sur celui-ci et pour les animaux d'élevage eux-même, de par la concentration qui y est envisagée.
De plus, ce projet "hors-sol" constitue une grave menace pour la qualité de vie des riverains, pour l'environnement par la pression qu'il va exercer sur celui-ci et pour les animaux d'élevage eux-même, de par la concentration qui y est envisagée.
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