Contribution n°841 (Web)
Par Gitton Arbour
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Bonjour,il est inadmissible qu'aujourd'hui encore il y ait des projets de fermes usines. Les animaux méritent notre bienveillance et ne sont pas des "produits" comme on l'entend chez nombre d'éleveurs peu scrupuleux, intéressés par l'argent
Contribution n°840 (Web)
Déposée
le 22 février 2025 à 10h13
Cette contribution est prise en compte mais n'est pas visible car elle comprend des propos considérés comme non publiables.
Contribution n°839 (Web)
Par Michèle Racine
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
M Racine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
M Racine
Contribution n°838 (Web)
Par Barat Alain
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Ce projet de ferme est une aberration écologique. Ce type d'élevage intensif permet la propagation des maladies bovines. Cela provoque une concentration de nuisances sur une surface réduite dont pâtiront les habitants des villages environnants.
Je m'oppose à ce projet issu d'une pensée industrielle appliquée à l'élevage bovin. Nous ne sommes plus au XXe siècle mais au XXIe siècle. Toutes les études environnementales montrent que ce genre d'exploitation apporte énormément de nuisances. Ces mêmes études préconisent de diminuer notre consommation de protéines animales afin de diminuer la production de méthane entre autre.
Je m'oppose à ce projet issu d'une pensée industrielle appliquée à l'élevage bovin. Nous ne sommes plus au XXe siècle mais au XXIe siècle. Toutes les études environnementales montrent que ce genre d'exploitation apporte énormément de nuisances. Ces mêmes études préconisent de diminuer notre consommation de protéines animales afin de diminuer la production de méthane entre autre.
Contribution n°837 (Web)
Par MATHERON jean
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
En contradiction totale avec la volonté affichée par le monde syndical dominant d’installer des jeunes , d’être les gardiens d’une vie en milieu rural , d’être les gardiens de la qualité des paysages .Déni de la notion de terroir avec des produits authentiques et de qualité. C’est exporter le modèle hors sol sur des territoires à vocation extensive en nourrissant les animaux avec des intrants exportés assurant un balet de camions dans les villages
Contribution n°836 (Web)
Par Perdrix Agnès
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Contribution n°835 (Web)
Par Sylvie
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
C est le monde à l envers. Je privilégie la biodiversité, le compost, l agriculture bio en achetant pas cher dans un potager bio..wc sec dehors .et à côté l industrie alimentaire qui nous tué, nous pollue, les cancers augmentent et certains veulent continuer l Intensité, les produits toxiques, les volailles et animaux en surnombre dans des locaux infâmes..Il serait temps de cesser , d écouter les Citoyens qui veulent une vie plus saine pour le Futur, la jeunesse.Alors Non et Non pour cette industrie de bovins..retrouvons du Bon Sens et arrêtons de penser qu au fric.
Contribution n°834 (Web)
Par Rolande
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Cette ferme usine est une aberration pour l'environnement. Comment le gouvernement peut-il parler d'écologie et laisser s'installer des usines qui ne tiennent pas compte de l'animal ni de l'environnement ?
C'est pourquoi je m'oppose fermement à l'installation de cette ferme usine.
Rolande Schwalm
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Cette ferme usine est une aberration pour l'environnement. Comment le gouvernement peut-il parler d'écologie et laisser s'installer des usines qui ne tiennent pas compte de l'animal ni de l'environnement ?
C'est pourquoi je m'oppose fermement à l'installation de cette ferme usine.
Rolande Schwalm
Contribution n°833 (Web)
Par Sonneville Dominique
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Ferme usine contraire au bien être animal.
Oui pour une ferme à dimension humaine,qui profite aussi bien à l'homme qu'aux animaux
Oui pour une ferme à dimension humaine,qui profite aussi bien à l'homme qu'aux animaux
Contribution n°832 (Web)
Par Lutz Dominique
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Déposée le 22 février 2025 à 10h13
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager.
bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme
consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager.
bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme
consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
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