Contribution n°179 (Web)
Par Dumas Catherine
Déposée le 17 février 2025 à 22h26
Déposée le 17 février 2025 à 22h26
Je suis contre l'utilisation d'animaux comme si ils étaient des robots. Et l'agriculteur ne sera-t-il pas un simple robot, piloté par l'entreprise agro-alimentaire T'RHEA ?!
Contribution n°178 (Web)
Par Eberhard Maxime
Déposée le 17 février 2025 à 22h21
Déposée le 17 février 2025 à 22h21
Ce projet est à l'opposé de ce que l'homme devrait faire sur son environnement. Je n'ai pas envie de manger la viande de ces malheureuses vaches. Je préfère des bœufs qui ont vu la lumière de jour, qui ont de l'espace pour manger de l'herbe et garder des exploitations familiales.
Contribution n°177 (Web)
Anonyme
Déposée le 17 février 2025 à 22h11
Déposée le 17 février 2025 à 22h11
Contre ce modèle agricole dévastateur pour l'environnement et le bien être animal.
Afin de diminuer l'impacte sur les sols et la biodiversité, nous avons au contraire besoin de fermes plus petites, diversifiées et vendant localement leurs productions.
Afin de diminuer l'impacte sur les sols et la biodiversité, nous avons au contraire besoin de fermes plus petites, diversifiées et vendant localement leurs productions.
Contribution n°176 (Web)
Anonyme
Déposée le 17 février 2025 à 21h37
Déposée le 17 février 2025 à 21h37
Non, cela va engendrer trop de camions sur les petites routes de campagne(danger, degradations,etc), non à l'élevage industriel, qui n'est pas synonyme de qualité, c'est la mort des petites exploitations.
Sans oublier les nuisances sonores, les odeurs les risques de pollution.
Sans oublier les nuisances sonores, les odeurs les risques de pollution.
Contribution n°175 (Web)
Par Colombeau Elisabeth
Déposée le 17 février 2025 à 21h18
Déposée le 17 février 2025 à 21h18
Contre ce mode d’élevage. Pas écologique...rotation des poids lourds sur des routes de campagne.
Contribution n°174 (Web)
Par SAUVESTRE Brigitte
Déposée le 17 février 2025 à 21h18
Déposée le 17 février 2025 à 21h18
Le projet "Terres de Chavaignac" de la SAS T'Rhea n'a pas véritablement changé parce qu'il a "réduit" à 2120 bovins la ferme d'engraissement et apporté quelques aménagements. On est toujours sur un projet aberrant à l'époque actuelle, qui va impacter l'environnement, la vie et la santé de tous. Par exemple : la quantité exponentielle de camions qui vont circuler sur les routes communales et départementales pour les transports d'animaux, leur nourriture (ils ne vont pas manger que de l'herbe verte !), l'unité de méthanisation prévue etc., va forcément mettre en danger les autres usagers de ces routes (voitures particulières, cyclistes, piétons), plomber un peu plus les finances des collectivités locales qui répercuteront sur les impôts et entraîner de la pollution supplémentaire. Les nuisances liées aux épandages pour le voisinage, les problèmes de gestion de l'eau nécessaire à un tel cheptel ou aux inévitables cultures de maïs et autres à l'heure où répartition et pollution des eaux deviennent un souci majeur, plus la question des effluents et des risques pour la santé publique (zoonoses), tout ceci montre qu'il faut raison garder et ne pas laisser les agriculteurs limousins tomber à leur tour dans le piège mortifère de l'industrie agroalimentaire.
Contribution n°173 (Web)
Par Colombeau Elisabeth
Déposée le 17 février 2025 à 21h16
Déposée le 17 février 2025 à 21h16
Contre ce mode d’élevage. Pas écologique...rotation des poids lourds sur des routes de campagne.
Contribution n°172 (Web)
Par BELLANGER RENAUD
Déposée le 17 février 2025 à 20h38
Déposée le 17 février 2025 à 20h38
Limousin d'origine, je suis attaché à la terre et au maintien des espaces agricoles.
Espaces de nature et travaillés par des agriculteurs respectueux de la terre qui nous nourrie tous.
Le projet de Mégaferme de Peyrilhac n'est rien d'autre qu'une vaste industrialisation de l'élevage bovin au détriment des principes fondamentaux de ce qu'est l'agriculture en général et l'élevage en particulier.
L'élevage porcin a depuis bien longtemps montré ses limites et ses dérives.
Il n'est pas envisageable de reproduire un modèle équivalent pour les bovins.
NON à la Mégaferme de Peyrilhac !!!
NON à l'industrialisation de l'élevage bovin !!!
Espaces de nature et travaillés par des agriculteurs respectueux de la terre qui nous nourrie tous.
Le projet de Mégaferme de Peyrilhac n'est rien d'autre qu'une vaste industrialisation de l'élevage bovin au détriment des principes fondamentaux de ce qu'est l'agriculture en général et l'élevage en particulier.
L'élevage porcin a depuis bien longtemps montré ses limites et ses dérives.
Il n'est pas envisageable de reproduire un modèle équivalent pour les bovins.
NON à la Mégaferme de Peyrilhac !!!
NON à l'industrialisation de l'élevage bovin !!!
Contribution n°171 (Web)
Par Dunoyer, Mathieu
Déposée le 17 février 2025 à 20h26
Déposée le 17 février 2025 à 20h26
J'habite à Limoges, mais aussi de plus en plus régulièrement à Chauvour sur la commune de Peyrilhac et je crains de subir les conséquences négatives de cette installation notament en terme de dégradation de l'environnement local et des infrastructures routières.
Mais aussi, je considère que ce type d'agro-industrie dégrade l'image de l'élevage bovin en limousin qui doit être synonyme de qualité.
Mais aussi, je considère que ce type d'agro-industrie dégrade l'image de l'élevage bovin en limousin qui doit être synonyme de qualité.
Contribution n°170 (Web)
Par Jean
Déposée le 17 février 2025 à 19h48
Déposée le 17 février 2025 à 19h48
Maraicher nouvellement installé dans les Monts d'Ambazac, je suis très sensible aux problématiques de transmission des fermes : il m'a été très difficile de trouver une ferme et des terres pour mener à bien mon projet initialement prévu en Charente ! JE suis donc contre les accaparements de terre par des entreprises qui ont des logiques financières déplorables pour la qualité du vivant.
je suis contre parquer 2000 animaux, c'est pareil qu'en parquer 3000, c'est une logique d'agro-industrie qui considère le vivant comme une marchandise, avec toutes les implications nocives que l'on connait : chimie à outrance, antibiotiques, et à terme zoonoses.
je suis contre parquer 2000 animaux, c'est pareil qu'en parquer 3000, c'est une logique d'agro-industrie qui considère le vivant comme une marchandise, avec toutes les implications nocives que l'on connait : chimie à outrance, antibiotiques, et à terme zoonoses.
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