Contribution n°451 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h45
Non à la création de ''fermes des mille vaches'' !
Contribution n°450 (Web)
Contribution n°449 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h45
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Contribution n°448 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h45
Contribution n°447 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h45
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
JE M'OPPOSE À LA FERME-USINE
Contribution n°446 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h45
Comme l’ont rappelé les conseils municipaux des quatre communes concernées, les ajustements apportés depuis la première enquête publique ne changent en rien la nature profondément aberrante, tant sur le plan environnemental qu’agronomique, du projet d’unité d’engraissement porté par la SAS T’Rhéa « Terre de Chavaignac ». En effet, le site demeure conçu pour accueillir 3 100 animaux (avec des infrastructures adaptées, des capacités de stockage et une réserve d’eau conséquente), et aucun engagement à long terme ne garantit le redimensionnement avancé dans les documents récents.
Pour que l’engraissement des bovins soit un atout pour la région, il devrait s’appuyer sur des structures à taille humaine, réparties sur le territoire, et fonctionner en système herbager bocager. Or, avec plus de 2 000 animaux regroupés en un même lieu, le projet soumis à enquête publique représente un risque sanitaire pour les bêtes (favorisant la propagation de maladies et allant à l’encontre de leurs besoins naturels), une nuisance majeure pour les riverains (bruit, odeurs, circulation accrue de camions) et une menace environnementale grave (pollution, pression excessive sur les ressources naturelles). La consommation d’eau massive de cette installation mettrait en péril l’équilibre hydrologique du bassin aval, tout en contribuant à la dégradation des sols et de la biodiversité. De plus, l’alimentation des animaux – à base de céréales, d’oléoprotéagineux et de pulpe de betterave – dépendrait de ressources françaises et sud-américaines, accentuant ainsi la compétition avec l’alimentation humaine et alourdissant considérablement l’empreinte carbone du projet.
Valider un tel projet, en contradiction avec la volonté des communes, l’avis d’une large majorité de riverains et les recommandations de la Mission régionale d’autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent des plus inquiétants, dont les répercussions pourraient affecter l’ensemble des citoyens français. Parce que la protection des milieux naturels et du bien-être animal est un enjeu collectif, et parce qu’ignorer l’opposition massive à ce projet pourrait ouvrir la porte à des décisions similaires dans tout le pays, je me considère pleinement concerné par cette enquête publique et vous exhorte à rejeter fermement cette initiative, en total décalage avec les enjeux écologiques et sociétaux actuels.
Contribution n°445 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h44
Contribution n°444 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h44
Contribution n°443 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h44
- non-sens environnemental à l'heure où la surexploitation animale est mise au rang des accusés ;
- non-sens économique car les supermarchés sont déjà remplis de produits à base de viande que personne n'achète (ou beaucoup moins qu'avant) ;
- non-sens sociétal car ce projet va à l'encontre de la prise de conscience général du caractère néfaste, destructeur et inhumain de ce type d'élevage ;
- non-sens médical car tous les jours, les médecins ne cessent de répéter combien la suralimentation (en particulier la viande rouge) est mauvaise pour la santé.
Nous devons faire des choix importants, et même vitaux pour notre santé, pour l'environnement et pour soutenir une meilleure prise en compte du bien-être animal.
Demain - et aujourd'hui déjà, nos enfants ont honte de savoir que certains - en dépit de tous les marqueurs au rouge qui clignotent de toute part - n'hésitent pas à aller à contre-courant de toute évolution pour leur propre profit.
Contribution n°442 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h44