Les contributions

Contribution n°259 (Web)

Par Jessica Adugard
Déposée le 20 février 2025 à 19h21
Je suis totalement opposée à ce projet.

C'est une catastrophe tant sur le plan écologique, que sur le plan du bien être animal. Et [...]
Je suis totalement opposée à ce projet.

C'est une catastrophe tant sur le plan écologique, que sur le plan du bien être animal. Et je parle même pas des nuisances pour les riverains.
C’est incompréhensible qu’un tel projet puisse voir le jour.
On souhaite voir des fermes à taille humaine, des éleveurs, des vrais, qui prennent soin de leurs bêtes et qui produisent de la qualité plutôt que de la quantité, avec des vaches dans des prés et non pas enfermées dans des centres d’engraissement.
NON à ce projet.

Contribution n°258 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 février 2025 à 19h15
Beaucoup d'oublis et d'erreurs dans le nouveau dossier présenté par T’RHEA

Les oublis :
-Rien sur la biodiversité, rien sur le bien-être [...]
Beaucoup d'oublis et d'erreurs dans le nouveau dossier présenté par T’RHEA

Les oublis :
-Rien sur la biodiversité, rien sur le bien-être des bêtes tant dans leur vie au quotidien que lors du transport.
-Un calcul total de la production de CO2 ne prenant pas en compte le transport des bêtes en France et à l'étranger, le transport du lisier dans les champs voire vers le méthaniseur lorsqu'il sera opérationnel, et le transport des bêtes dans différents champs ainsi la quantité de vaches prévues sur l’installation
-Un calcul très superficiel de la pollution de l'environnement :
* odeur du fumier déposé prés des habitations,
* odeur due à la présence des 800, voire 2100 ou plus encore des 3000 vaches prévues impactant les habitants des maisons situées prés des stabulations,
* pollution des tracteurs et camions transportant fumier et bêtes, détérioration des routes empruntées
* pollution aussi des nappes phréatiques et étangs à proximité du site.

Cet ensemble de pollution va naturellement apporter une moins value sur ces maisons et dégrader la qualité de vie des habitants
- …
Erreurs
-De nombreuses erreurs sur la consommation d'eau des bovins en été et en hiver.
-Pas d’étude d’impact environnementale compte tenu de l’importance du projet.

Aucun élément positif dans ce nouveau dossier par rapport au dossier présenté précédemment.

Limousin terre d’élevage … certes !! mais pas en allant vers une agriculture industrielle.

Ce n'est pas souhaitable dans nos régions et empêche de nombreux jeunes agriculteurs de s'installer

Contribution n°257 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 février 2025 à 18h56
Je ne veux pas de cette ferme usine

Contribution n°256 (Web)

Par Faye lucien
Déposée le 20 février 2025 à 18h54
Je ne veux pas de cette ferme usine

Contribution n°255 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 février 2025 à 18h33
Projet absolument pas écologique. Réservons ces terres pour une agriculture à taille humaine.

Contribution n°254 (Web)

Par Boutet Chantal et Eric
Déposée le 20 février 2025 à 18h26
Nous sommes opposés à ce projet qui concentre un trop grand nombre d'animaux sur le même lieu avec des méthodes industrielles et, [...]
Nous sommes opposés à ce projet qui concentre un trop grand nombre d'animaux sur le même lieu avec des méthodes industrielles et, de ce fait, entraine des nuisances inacceptables:
- nuisances environnementales ( va et vient de camions sur nos petites routes provoquant des dégradations de la voierie réparées aux frais du contribuable, gros besoins en eau, atteinte à la bio diversité )
- nuisances pour les riverains ( odeurs, bruits, trafic routier )
- atteinte au bien être animal.
Dans le dossier, apparaissent des erreurs de calcul manifeste ( par exemple sur les besoins en eau... ). De plus, bien qu'une réduction de têtes de bétail soit annoncée, la capacité est prévue pour un nombre bien plus important. Il est à noter que l'actuel exploitant a détourné une partie de la destination des bâtiments prévue à l'origine ( plus d'animaux que prévu ).
Tous ceci sème le doute sur l'objectif réel de cette société industrielle.
Ce projet se fait au détriment de l'installation de paysans dans des fermes à taille humaine respectant l'environnement et le bien être animal.
Pourquoi un nouveau commissaire enquêteur en cours de dossier?

Contribution n°253 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 février 2025 à 18h07
Ou est l ecologie dans ce projet industriel ?
Seule une agriculture a taille humaine doit se developper dans cette region magnifique [...]
Ou est l ecologie dans ce projet industriel ?
Seule une agriculture a taille humaine doit se developper dans cette region magnifique déjà bien abimée par les infrastructutes existantes pour lesquelles des forêts ont été sacrifiées.
Ou est l intérêt general dans cette affaire ?

Contribution n°252 (Web)

Par Verdu Pascal
Déposée le 20 février 2025 à 18h07
Il serait peut-être temps de réfléchir à d'autres solutions que ces formes d'élevage intensif où le bien de l'animal et des consommateurs [...]
Il serait peut-être temps de réfléchir à d'autres solutions que ces formes d'élevage intensif où le bien de l'animal et des consommateurs sont balayés par le profit de quelques uns!
Réveillons nous !....

Contribution n°251 (Web)

Anonyme
Déposée le 20 février 2025 à 18h06
Ou est l ecologie dans ce projet industriel ?
Seule une agriculture a taille humaine doit se developper dans cette region magnifique [...]
Ou est l ecologie dans ce projet industriel ?
Seule une agriculture a taille humaine doit se developper dans cette region magnifique déjà bien abimée par les infrastructutes existantes pour lesquelles des forêts ont été sacrifiées.
Ou est l intérêt general dans cette affaire ?

Contribution n°250 (Web)

Par Bessy Christian
Déposée le 20 février 2025 à 17h51
Le principal intérêt de ce projet de « méga-ferme » bovine « Les terres de Chavaignac » est de nous faire réfléchir sur le développement [...]
Le principal intérêt de ce projet de « méga-ferme » bovine « Les terres de Chavaignac » est de nous faire réfléchir sur le développement territorial et le type d’économie (agricole) qu’il est raisonnable de promouvoir dans notre région. Cela serait aussi de comprendre comment un seul propriétaire, qui n’avait pas au départ de compétences agricoles particulières, est devenu à la tête d’un capital foncier de 600 hectares avec des installations ultra-modernes pour l’élevage bovin, sans qu’il ait reçu déjà des aides et des propositions de rachat de grands groupes agro-industriels pour lesquels il a préparé le terrain. De nous dire, qu’il ne trouve pas d’acquéreurs locaux, ce n’est pas vraiment surprenant ! Comme l’est d’ailleurs le fait qu’aujourd’hui la SAS T’RHEA a revu son projet à la baisse. Cette seconde version présente des améliorations qui répondent aux critiques adressées à une première version stratégiquement surdimensionnée (avec un projet de méthanisation associé à la ferme) qui a reçu un avis défavorable du Commissaire-enquêteur suite à l’enquête publique du printemps dernier. C’est une façon pour ce groupe de se donner une image de négociateur alors qu’il a une stratégie économique très agressive au nom de la concurrence internationale en matière bovine.
Ce projet de nature hautement spéculative, dès le processus de rachat des terres par l’actuel propriétaire, va à l’encontre des tendances actuelles soucieuses des enjeux environnementaux et patrimoniaux. Il repose sur une exploitation intensive et spécialisée qui accroît les risques d’épidémie et de faillite économique (en cas de problèmes dans la filière), risques qu’une diversification des activités agricoles peut limiter.
Ce projet ne propose aucune recherche d’économie circulaire aussi bien au niveau des « entrants » (alimentation et soin des animaux) que des « extrants » (principalement pour l’exportation), à part la méthanisation et une vague intention de développement d’une filière locale. Conçu de façon technocratique et sans vraiment de consultation collective, il ne favorise pas les échanges économiques et sociaux avec les agriculteurs locaux, maraîchers et autres acteurs de l’alimentation, facteurs essentiels pour créer et protéger des biens communs.
Au-delà des différentes nuisances (terre et hydrographie, olfactive, sonore), c’est aussi la dégradation de nos paysages naturels et de la biodiversité qui est à craindre, avec la construction de bâtiments et d’infrastructures de transport qui détruisent l’harmonie de nos si belles lignes limousines et troublent nos eaux profondes. D’autres solutions économiques sont possibles basées sur des exploitations plus artisanales et plus riches en relations sociales, en emploi et en petits trésors patrimoniaux. J’ai grandi dans ce pays qui pourrait enfin donner l’exemple d’une meilleure façon d’habiter le monde aux rythmes lents de nos terres précieuses.
Je donne donc un avis très défavorable à ce projet qui n’est basé que sur l’intérêt privé et qui apporte plus d’inconvénients que d’avantages à notre développement socio-économique et notre cadre de vie.

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