Contribution n°258 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 19h15
Les oublis :
-Rien sur la biodiversité, rien sur le bien-être des bêtes tant dans leur vie au quotidien que lors du transport.
-Un calcul total de la production de CO2 ne prenant pas en compte le transport des bêtes en France et à l'étranger, le transport du lisier dans les champs voire vers le méthaniseur lorsqu'il sera opérationnel, et le transport des bêtes dans différents champs ainsi la quantité de vaches prévues sur l’installation
-Un calcul très superficiel de la pollution de l'environnement :
* odeur du fumier déposé prés des habitations,
* odeur due à la présence des 800, voire 2100 ou plus encore des 3000 vaches prévues impactant les habitants des maisons situées prés des stabulations,
* pollution des tracteurs et camions transportant fumier et bêtes, détérioration des routes empruntées
* pollution aussi des nappes phréatiques et étangs à proximité du site.
Cet ensemble de pollution va naturellement apporter une moins value sur ces maisons et dégrader la qualité de vie des habitants
- …
Erreurs
-De nombreuses erreurs sur la consommation d'eau des bovins en été et en hiver.
-Pas d’étude d’impact environnementale compte tenu de l’importance du projet.
Aucun élément positif dans ce nouveau dossier par rapport au dossier présenté précédemment.
Limousin terre d’élevage … certes !! mais pas en allant vers une agriculture industrielle.
Ce n'est pas souhaitable dans nos régions et empêche de nombreux jeunes agriculteurs de s'installer
Contribution n°257 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 18h56
Contribution n°256 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 18h54
Contribution n°255 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 18h33
Contribution n°254 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 18h26
- nuisances environnementales ( va et vient de camions sur nos petites routes provoquant des dégradations de la voierie réparées aux frais du contribuable, gros besoins en eau, atteinte à la bio diversité )
- nuisances pour les riverains ( odeurs, bruits, trafic routier )
- atteinte au bien être animal.
Dans le dossier, apparaissent des erreurs de calcul manifeste ( par exemple sur les besoins en eau... ). De plus, bien qu'une réduction de têtes de bétail soit annoncée, la capacité est prévue pour un nombre bien plus important. Il est à noter que l'actuel exploitant a détourné une partie de la destination des bâtiments prévue à l'origine ( plus d'animaux que prévu ).
Tous ceci sème le doute sur l'objectif réel de cette société industrielle.
Ce projet se fait au détriment de l'installation de paysans dans des fermes à taille humaine respectant l'environnement et le bien être animal.
Pourquoi un nouveau commissaire enquêteur en cours de dossier?
Contribution n°253 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 18h07
Seule une agriculture a taille humaine doit se developper dans cette region magnifique déjà bien abimée par les infrastructutes existantes pour lesquelles des forêts ont été sacrifiées.
Ou est l intérêt general dans cette affaire ?
Contribution n°252 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 18h07
Réveillons nous !....
Contribution n°251 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 18h06
Seule une agriculture a taille humaine doit se developper dans cette region magnifique déjà bien abimée par les infrastructutes existantes pour lesquelles des forêts ont été sacrifiées.
Ou est l intérêt general dans cette affaire ?
Contribution n°250 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 17h51
Ce projet de nature hautement spéculative, dès le processus de rachat des terres par l’actuel propriétaire, va à l’encontre des tendances actuelles soucieuses des enjeux environnementaux et patrimoniaux. Il repose sur une exploitation intensive et spécialisée qui accroît les risques d’épidémie et de faillite économique (en cas de problèmes dans la filière), risques qu’une diversification des activités agricoles peut limiter.
Ce projet ne propose aucune recherche d’économie circulaire aussi bien au niveau des « entrants » (alimentation et soin des animaux) que des « extrants » (principalement pour l’exportation), à part la méthanisation et une vague intention de développement d’une filière locale. Conçu de façon technocratique et sans vraiment de consultation collective, il ne favorise pas les échanges économiques et sociaux avec les agriculteurs locaux, maraîchers et autres acteurs de l’alimentation, facteurs essentiels pour créer et protéger des biens communs.
Au-delà des différentes nuisances (terre et hydrographie, olfactive, sonore), c’est aussi la dégradation de nos paysages naturels et de la biodiversité qui est à craindre, avec la construction de bâtiments et d’infrastructures de transport qui détruisent l’harmonie de nos si belles lignes limousines et troublent nos eaux profondes. D’autres solutions économiques sont possibles basées sur des exploitations plus artisanales et plus riches en relations sociales, en emploi et en petits trésors patrimoniaux. J’ai grandi dans ce pays qui pourrait enfin donner l’exemple d’une meilleure façon d’habiter le monde aux rythmes lents de nos terres précieuses.
Je donne donc un avis très défavorable à ce projet qui n’est basé que sur l’intérêt privé et qui apporte plus d’inconvénients que d’avantages à notre développement socio-économique et notre cadre de vie.
Contribution n°249 (Web)
Déposée le 20 février 2025 à 17h24