Contribution n°3897 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h13
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3896 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h12
Comme le soulignent les municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3895 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h12
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3894 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h11
Contribution n°3893 (Web)
Contribution n°3892 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h06
Non à cette ferme usine, nous voulons que nos enfants mangent moins de viande, mais de la bonne et provenant d animaux traités avec respect.
Mr le Préfet s il vous plaît écoutez les citoyens.
Contribution n°3891 (Web)
Contribution n°3890 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h06
- Que les animaux soient élevés dans des conditions de respect et de bien être.
- Que les consommateurs puissent se nourrir de produits sains, issus d'une agriculture respectueuse de l'environnement :
- Consommation d'eau, pollution.
- Trafic intense de poids lourds sur la commune de Peyrilhac et ses alentours.
- Que les paysans puissent conserver leur activité traditionnelle en ayant une rémunération correcte :
- Ils pourront trouver des repreneurs (et il y en a !) plus facilement, qui exerceront dans le respect de notre culture,
- Enfin, ils pourront prendre une retraite bien méritée.
Une réponse immédiate doit être apportée aux riverains, aux habitants de la commune, aux exploitants agricoles et aux consommateurs.
Jacques Durieux
Contribution n°3889 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h05
Contribution n°3888 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 17h02
Le projet de ferme d'engraissement de la SAS T'Rhéa 'Terre de Chavaignac' reste une aberration agronomique et environnementale. Où sont les garanties à long terme sur le prétendu redimensionnement du projet depuis la première enquête publique, quand le site reste dimensionné pour accueillir 3100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau) ?
Ce « nouveau » projet soumis à enquête publique sur les communes de Peyrilhac et Nieul reste une insulte à l’image de la viande bovine « limousine » : malsain pour les animaux ( concentration propice aux maladies, conditions contraires à l'éthologie), indigne pour les éleveurs, préjudiciable aux riverains, catastrophique pour l'environnement (pollutions, consommation d'eau qui va déstabiliser le bassin aval et dégrader les sols et la biodiversité). En limousin, on veut de la« limousine » élevée en système herbager bocager, et surtout pas dans des conditions industrielles !