Contribution n°3879 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h52
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Arrêtons les non-sens écologiques et économiques
Contribution n°3878 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h52
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3877 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h50
Pourquoi remettre à l'étude un tel projet qui s'annonce mauvais pour les animaux (au quotidien et pire, en cas d'épidémie), les riverains (nuisances sonores et olfactives, passage des camions) et pour l'environnement (pollutions, emprise au sol, consommation d'eau en concurrence avec des espèces locales).
Le type d'alimentation utilisé par ces fermes-usines est absurde, obligeant à consacrer des terres et à transporter des cultures qui pourraient être consacrées aux humains, pendant que de plus petites unités d'élevage se nourriraient directement en paturage, conservant de plus à la population locale des paysages et des savoir-faire précieux, en même temps qu'une viande de meilleure qualité.
L'exploitation existante sur laquelle le projet s'appuie est déjà surdimensionnée, et un exemple d'une course en avant qui aboutit à l'impasse actuelle.
Les communes et les riverains ont exprimé leur opposition au projet, la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE) est allée dans leur sens et le projet n'a pas changé fondamentalement de nature : il n'est pas plus acceptable aujourd'hui.
Contribution n°3876 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h49
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3875 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h48
D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le dimensionnement. De qui se moque--ton ?
Le projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3874 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h44
- Un système agro-industriel développé par une firme, le groupe Carnivor, aux détriments de nos fermes d'élevage extensif.
- Un projet annoncé à 2100 bovins, mais toujours dimensionné pour 3100 animaux... et seulement 8 emplois salariés.
- Un mode d'élevage qui interroge le bien-être animal
- Des impacts environnementaux conséquents sur l'eau et la biodiversité, un plan d'épandage incertain du fait de la non-maitrise du foncier (des propriétaires non-informés et opposés au projet)
- Des nuisances importantes pour les riverains (trafic important de camions, nuisances sonores et olfactives)
- Un trafic de poids lourds sur des routes pas adaptées
- Des émissions de GES non-évaluées, alors que la MRAE demande un chiffrage
- Un projet de 7,5 millions d'euros financé à 100% par l'emprunt et avec l'aide potentielle de subventions publiques... quand nos paysannes et paysans, eux, galèrent pour financer leurs projets d'installation ou de développement d'activités !
Et si nos impôts servaient à faire pousser des fermes et installer des jeunes pour nourrir la population locale plutôt que de financer le groupe Carnivor et sa société T'Rhéa ? Instaurons une agriculture riche en emplois et respectueuse de l'environnement !
Pour toutes ces raisons, je suis contre le projet "Terre de Chavaignac"
Alain Duval.
Contribution n°3873 (Web)
Contribution n°3872 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h43
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3871 (Web)
Contribution n°3870 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 16h42
Je suis pour ma part favorable à de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Ce projet surdimensionné de 2 000 bovins est malsain pour les animaux qui se retrouveraient entassés et catastrophique pour l'environnement. Les riverains auraient à subir des nuisances sonores et olfactives. Son énorme consommation d'eau est une aberration étant donné l'évolution climatique qui impose au contraire plus de sobriété.
Je vous demande de vous opposer catégoriquement à ce projet