Contribution n°85 (Email)
Par Isabelle DROMARD
Déposée le 29 mai 2024 à 17h51
Déposée le 29 mai 2024 à 17h51
Objet : GENEUILLE PAPETERIES - Zone UBpap
Bonjour,
Nous demandons le *_maintien_* de notre site des anciennes papeteries de
GENEUILLE *_en zone UBpap_*.
Cordialement,
*Isabelle DROMARD | SARL DOLTIP*
7 Sous les Charrières - 25500 NOEL CERNEUX
*03 81 67 66 80*
www.groupedromard.com <https://www.groupedromard.com/>
<https://www.groupedromard.com/>
Bonjour,
Nous demandons le *_maintien_* de notre site des anciennes papeteries de
GENEUILLE *_en zone UBpap_*.
Cordialement,
*Isabelle DROMARD | SARL DOLTIP*
7 Sous les Charrières - 25500 NOEL CERNEUX
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Document joint
Contribution n°84 (Web)
Par Bartier raphael
Déposée le 1 juin 2024 à 21h46
Déposée le 1 juin 2024 à 21h46
Bonjour.
Je suis opposé au projet à la construction sur la parcelle NV0123 dans le quartier des montboucons.
Je suis opposé au projet à la construction sur la parcelle NV0123 dans le quartier des montboucons.
Contribution n°83 (Web)
Par Julie Boley
Déposée le 1 juin 2024 à 21h38
Déposée le 1 juin 2024 à 21h38
Bonjour
Je souhaite apporter mon avis concernant le projet de construction rue lévrier quartier montboucons.
Je suis CONTRE.
Il y a tant d’immeubles déjà sur Besançon qui sont vides. Inhabités.
Pourquoi rajouter du béton sur cette verdure qui devient si rare?
Pourquoi ne pas laisser à nos enfants un peu d’espace ?
J’espère vraiment que ce projet n’aura pas lieu. Ne pas surcharger les quartiers de voitures et de pollutions.
Mais rénover des immeubles du centre et alentours qui sont inhabités.
Il y a une école aux montboucons et nos enfants ont la chance de pouvoir bénéficier des chants des oiseaux et d’un certain calme. De pouvoir rentrer parfois à pieds.
Avec des habitations en plus cette rue va être saturée de voitures !!
Merci à vous pour cette prise en considération.
Je souhaite apporter mon avis concernant le projet de construction rue lévrier quartier montboucons.
Je suis CONTRE.
Il y a tant d’immeubles déjà sur Besançon qui sont vides. Inhabités.
Pourquoi rajouter du béton sur cette verdure qui devient si rare?
Pourquoi ne pas laisser à nos enfants un peu d’espace ?
J’espère vraiment que ce projet n’aura pas lieu. Ne pas surcharger les quartiers de voitures et de pollutions.
Mais rénover des immeubles du centre et alentours qui sont inhabités.
Il y a une école aux montboucons et nos enfants ont la chance de pouvoir bénéficier des chants des oiseaux et d’un certain calme. De pouvoir rentrer parfois à pieds.
Avec des habitations en plus cette rue va être saturée de voitures !!
Merci à vous pour cette prise en considération.
Contribution n°82 (Web)
Par Collectif des Montboucons
Déposée le 31 mai 2024 à 22h47
Déposée le 31 mai 2024 à 22h47
Notre capitale comtoise a depuis longtemps l’étiquette d’une ville qui a une vision
obsolète de ce qu’est le développement urbain et la ville de Besançon a déjà été
épinglée pour ses projets immobiliers massifs, qui ne correspondent pas aux besoins
des habitants.
La population de la Ville progresse à peine, ce qui n’empêche pas les projets
immobiliers de se succéder, encore en 2024, alors que les logements déjà construits ne
semblent pas tous occupés.
Déjà en 2014, il y à 10 ans, lors d’une interview, Jean-Louis Fousseret justifiait la kyrielle
de constructions neuves ne trouvant pas de locataires, par une expression qui reste
dans les annales « Quand le bâtiment va, tout va » …cela en dit long.
Aujourd’hui, il est à espérer qu’aucune faveur ne soit donnée à Néolia, entreprise
sociale pour l’habitat ou que le lobbying que feraient promoteurs et constructeurs, à
l’heure où le marché de l’immobilier est confronté à un net ralentissement, ne soit pas
entendu par la nouvelle équipe municipale…On se souvient en eYet que la nouvelle
équipe municipale confirmait en 2023 que les nouvelles constructions seraient
principalement construites sur des zones déjà artificialisées tout en prenant compte de
l’environnement, avec une priorité sur Polygone-Grette-Brulard et Saint-Jacques…
Or, il semble se dessiner aux Montboucons un nouveau projet de 22.745m2 sur la
parcelle NV0 123 qui fait actuellement enfler une polémique sur une zone 2AU.
Est-il raisonnable d’envisager une urbanisation supplémentaire à cet endroit alors qu’il
existe une zone 1AU, toute proche ?
Ce quartier a été a déjà subi une modification substantielle de son environnement
depuis une dizaine d’années avec la construction de 3 lotissements imposants dont un
de 21.000m2 de SHON.
Sans compter l’artificialisation des sols de chaque parcelle vierge au détriment de
l’intégration paysagère, comme ce petit collectif sur la nouvelle voie des Cabordes sous
un immeuble ancien et vacant, propriété du Département.
Mais surtout, avant d’entamer cette réflexion, la sagesse ne voudrait-elle pas qu’avant
de commencer à réfléchir à un nouveau projet de constructions, il soit plus intéressant
de terminer ce qui a été commencé depuis plusieurs années ?
L’urbanisation du quartier s’amplifie alors que les trottoirs ne sont pas créés, les places
de stationnements restent largement insuYisantes, (alors que le Code de l’urbanisme
règlemente le stationnement lors des constructions), les commerces sont absents, les
lieux de vie extérieure (square, parc, terrain de sport ou de jeux pour enfants) sont
inexistants, la circulation de bus n’est pas à l’ordre du jour, l’évolution de l’école n’est
pas considérée et surtout les chaussées ne sont toujours pas refaites (les poteaux
électriques provisoire sont toujours en place le long de la rue Arago dont le revêtement
est devenu impraticable, et aucun panneau de signalisation n’est en place sans
compter la signalétique de partage auto/vélo qui est provisoire depuis 6 ans sur le
chemin des Montboucons,…)
Pourquoi les projets ne sont-ils pas présentés ni annoncé alors qu’une ferme voisine,
installée depuis plusieurs générations, travaille actuellement un nouveau projet de
développement de son activité ? Ne devrait-elle pas être prioritaire pour l’extension de
son exploitation, et que les Montboucons soient le balcon de la biodiversité au lieu de
devenir un énième quartier impersonnel coincé entre une voie de contournement et un
quartier d’aYaires où là aussi 22.000m2 d’un ensemble industriel a curieusement
l’autorisation de s’implanter sur un technopôle dédié aux micro-technologie et génie
biomédical… ?
…est-ce cela la démocratie participative dont on nous parlait ??
Cet étalement urbain annonce la disparition progressive des prairies, écosystème très
riche à préserver pour freiner la perte de la biodiversité, freiner le réchauYement
climatique, freiner les risques de ruissèlement, et surtout retrouver le potentiel
agronomique des sols à utiliser en priorité pour la production alimentaire.
Notre ville étiquetée EELV devrait se distinguer en mettant en avant son image de Ville
Verte où il fait bon vivre et prendre en considération la loi Alur, pour une meilleure
régulation du marché immobilier en toute transparence, sans oublier d’appliquer
l’article V de la loi Climat et Résilience d’ août 2023 avec l’objectif de favoriser
l’utilisation de surfaces déjà artificialisées, favoriser la qualité urbaine avec un certain
retour de la nature dans les villes, pour atteindre l’objectif ZAN en passant par
l’utilisation de locaux vacants et de friches.
En vous remerciant de l’attention que vous porterez à nos remarques,
obsolète de ce qu’est le développement urbain et la ville de Besançon a déjà été
épinglée pour ses projets immobiliers massifs, qui ne correspondent pas aux besoins
des habitants.
La population de la Ville progresse à peine, ce qui n’empêche pas les projets
immobiliers de se succéder, encore en 2024, alors que les logements déjà construits ne
semblent pas tous occupés.
Déjà en 2014, il y à 10 ans, lors d’une interview, Jean-Louis Fousseret justifiait la kyrielle
de constructions neuves ne trouvant pas de locataires, par une expression qui reste
dans les annales « Quand le bâtiment va, tout va » …cela en dit long.
Aujourd’hui, il est à espérer qu’aucune faveur ne soit donnée à Néolia, entreprise
sociale pour l’habitat ou que le lobbying que feraient promoteurs et constructeurs, à
l’heure où le marché de l’immobilier est confronté à un net ralentissement, ne soit pas
entendu par la nouvelle équipe municipale…On se souvient en eYet que la nouvelle
équipe municipale confirmait en 2023 que les nouvelles constructions seraient
principalement construites sur des zones déjà artificialisées tout en prenant compte de
l’environnement, avec une priorité sur Polygone-Grette-Brulard et Saint-Jacques…
Or, il semble se dessiner aux Montboucons un nouveau projet de 22.745m2 sur la
parcelle NV0 123 qui fait actuellement enfler une polémique sur une zone 2AU.
Est-il raisonnable d’envisager une urbanisation supplémentaire à cet endroit alors qu’il
existe une zone 1AU, toute proche ?
Ce quartier a été a déjà subi une modification substantielle de son environnement
depuis une dizaine d’années avec la construction de 3 lotissements imposants dont un
de 21.000m2 de SHON.
Sans compter l’artificialisation des sols de chaque parcelle vierge au détriment de
l’intégration paysagère, comme ce petit collectif sur la nouvelle voie des Cabordes sous
un immeuble ancien et vacant, propriété du Département.
Mais surtout, avant d’entamer cette réflexion, la sagesse ne voudrait-elle pas qu’avant
de commencer à réfléchir à un nouveau projet de constructions, il soit plus intéressant
de terminer ce qui a été commencé depuis plusieurs années ?
L’urbanisation du quartier s’amplifie alors que les trottoirs ne sont pas créés, les places
de stationnements restent largement insuYisantes, (alors que le Code de l’urbanisme
règlemente le stationnement lors des constructions), les commerces sont absents, les
lieux de vie extérieure (square, parc, terrain de sport ou de jeux pour enfants) sont
inexistants, la circulation de bus n’est pas à l’ordre du jour, l’évolution de l’école n’est
pas considérée et surtout les chaussées ne sont toujours pas refaites (les poteaux
électriques provisoire sont toujours en place le long de la rue Arago dont le revêtement
est devenu impraticable, et aucun panneau de signalisation n’est en place sans
compter la signalétique de partage auto/vélo qui est provisoire depuis 6 ans sur le
chemin des Montboucons,…)
Pourquoi les projets ne sont-ils pas présentés ni annoncé alors qu’une ferme voisine,
installée depuis plusieurs générations, travaille actuellement un nouveau projet de
développement de son activité ? Ne devrait-elle pas être prioritaire pour l’extension de
son exploitation, et que les Montboucons soient le balcon de la biodiversité au lieu de
devenir un énième quartier impersonnel coincé entre une voie de contournement et un
quartier d’aYaires où là aussi 22.000m2 d’un ensemble industriel a curieusement
l’autorisation de s’implanter sur un technopôle dédié aux micro-technologie et génie
biomédical… ?
…est-ce cela la démocratie participative dont on nous parlait ??
Cet étalement urbain annonce la disparition progressive des prairies, écosystème très
riche à préserver pour freiner la perte de la biodiversité, freiner le réchauYement
climatique, freiner les risques de ruissèlement, et surtout retrouver le potentiel
agronomique des sols à utiliser en priorité pour la production alimentaire.
Notre ville étiquetée EELV devrait se distinguer en mettant en avant son image de Ville
Verte où il fait bon vivre et prendre en considération la loi Alur, pour une meilleure
régulation du marché immobilier en toute transparence, sans oublier d’appliquer
l’article V de la loi Climat et Résilience d’ août 2023 avec l’objectif de favoriser
l’utilisation de surfaces déjà artificialisées, favoriser la qualité urbaine avec un certain
retour de la nature dans les villes, pour atteindre l’objectif ZAN en passant par
l’utilisation de locaux vacants et de friches.
En vous remerciant de l’attention que vous porterez à nos remarques,
Contribution n°81 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 mai 2024 à 17h24
Déposée le 24 mai 2024 à 17h24
Mesdames, Messieurs,
En tant qu'habitants des Montboucons à Besançon, nous venons d'apprendre que la parcelle agricole N° NV 0123, située le long de la rue Leverrier, deviendrait constructible et devrait accueillir un grand nombre d'habitations, Cette partie de la rue Leverrier, comme bien d'autres lieux des Montboucons, est très sinueuse, très étroite, et sans trottoirs, Que d'accidents en perspective, avec le nombre supplémentaire de piétons, de voitures et de vélos,
En plus, pour une municipalité qui se dit « écologique », ne serait-il pas plus judicieux de restaurer correctement les immeubles anciens, que d'en créer de supplément aires ?
Nous avons conscience que nous sommes de plus en plus nombreux sur terre, mais nous devons penser aussi sobriété, écologie, c'est à dire respect des équilibres naturels, protection de l'environnement,
Nous avons encore la chance d'accueillir dans le quartier quelques moutons, vaches, chevaux, poules, mais aussi oiseaux, écureuils, hérissons, abeilles, dans nos jardins, champs, terrains boisés,
Conservons les, au moins en partie, Il faut un équilibre de la population, de l'environnement, comme dans tous les quartiers de Besançon, de toutes les villes de France et d'ailleurs, pour le bien être de tous et de la planète,
Nous espérons pouvoir compter sur votre réflexion afin de restreindre et d'améliorer vos projets, au nom de l'écologie, de la biodiversité et de la sécurité,
En tant qu'habitants des Montboucons à Besançon, nous venons d'apprendre que la parcelle agricole N° NV 0123, située le long de la rue Leverrier, deviendrait constructible et devrait accueillir un grand nombre d'habitations, Cette partie de la rue Leverrier, comme bien d'autres lieux des Montboucons, est très sinueuse, très étroite, et sans trottoirs, Que d'accidents en perspective, avec le nombre supplémentaire de piétons, de voitures et de vélos,
En plus, pour une municipalité qui se dit « écologique », ne serait-il pas plus judicieux de restaurer correctement les immeubles anciens, que d'en créer de supplément aires ?
Nous avons conscience que nous sommes de plus en plus nombreux sur terre, mais nous devons penser aussi sobriété, écologie, c'est à dire respect des équilibres naturels, protection de l'environnement,
Nous avons encore la chance d'accueillir dans le quartier quelques moutons, vaches, chevaux, poules, mais aussi oiseaux, écureuils, hérissons, abeilles, dans nos jardins, champs, terrains boisés,
Conservons les, au moins en partie, Il faut un équilibre de la population, de l'environnement, comme dans tous les quartiers de Besançon, de toutes les villes de France et d'ailleurs, pour le bien être de tous et de la planète,
Nous espérons pouvoir compter sur votre réflexion afin de restreindre et d'améliorer vos projets, au nom de l'écologie, de la biodiversité et de la sécurité,
Contribution n°80 (Web)
Par Besançon Montboucons
Déposée le 20 mai 2024 à 10h55
Déposée le 20 mai 2024 à 10h55
Objet : Besançon - Demande de révision du projet de densification immobilière dans le quartier des Montboucons
Madame la Maire,
En tant que résidents du quartier des Montboucons, nous nous permettons de vous faire part de nos appréhensions quant aux projets de construction de nouveaux logements sur des terrains agricoles exploités, situés sur le secteur de la rue Leverrier (section NV0123 et sections NY1, NY130 à 136).
La perspective de transformer ces prairies en zones de lotissements et logements collectifs soulève des questions importantes sur la préservation de notre environnement et la qualité de vie des habitants. Nos réflexions concernent plusieurs points :
- Les Espaces verts :
Nous avions cru comprendre dans certains discours que l'artificialisation de sol agricole n'était plus à l'ordre du jour et qu'il convenait de conserver les espaces verts en privilégiant les constructions sur des zones déjà urbanisées.
Or ce secteur, l'un des derniers espaces verts de Besançon, joue un rôle crucial dans le maintien de la biodiversité. Ces parcelles boisées (chênes, sycomores, noisetiers, haies…) sont le refuge de très nombreuses espèces animales (lièvres, huppes fasciées, faisans, hérissons, grillons, papillons et autres oiseaux ou insectes, …).
C’est sur ce secteur que situe une des dernière ferme de Besançon, dédiée à l’élevage. Il est plus que nécessaire de la préserver et de conserver son aire d’exploitation agricole.
Il ne faut pas oublier également, que ces espaces de nature, à l’intérieur du tissu urbain, constituent des îlots de fraîcheur indéniable en cas de canicule alors qu’ils pourraient au contraire renforcer les îlots de chaleur en cas d’urbanisation et de bétonisation.
- Les infrastructures existantes :
Elles paraissent inadaptées et insuffisantes pour accueillir un afflux significatif de résidents :
. La rue Leverrier est une rue dangereuse par son étroitesse et l'absence de trottoirs (par endroit, deux véhicules ne peuvent pas se croiser sauf à vitesse très réduite). C’est une rue à éviter avec des enfants.De plus, cette rue comporte encore des réseaux électriques et téléphoniques aériens.
. Le quartier ne possède aucun commerce de proximité
. Le quartier ne possède aucun transport en commun à l'exception d’un arrêt en période scolaire uniquement devant le lycée Pâris aux heures d'entrée et de sortie de cours.
. L’école du quartier n’est pas adaptée car déjà complète.
Aujourd'hui, si elle devait être aménagée, la rue Leverrier, nécessiterait des travaux extrêmement coûteux de terrassement et de soutènement, sans parler des autres coûts d’infrastructures.
- Les besoins en logement :
Nous comprenons les efforts pour répondre à la demande en logement, mais il est crucial que cela ne se fasse pas au détriment des dernières zones de verdure et de la qualité de vie des résidents.
Notre quartier a déjà vu la construction de nombreux logements collectifs, répondant ainsi à des besoins importants, mais au prix d'une certaine saturation.
La vision des constructions récentes dans le secteur des rues Arago-Ullman-Monneur nous fait craindre le pire: aucune harmonie des maisons et des bâtiments, ni respect de l’environnement (pas de verdure, pas d’arbre) pas de trottoir, des parkings insuffisants (les voitures se garent le long de la route et les piétons ne savent pas où marcher).
Ne serait-il pas plus judicieux de favoriser les projets de constructions proches du réseau de transport en commun, afin de réduire la circulation automobile.
En effet, construire des lotissements aux Montboucons c'est encourager et développer l'usage de la voiture particulière au détriment de la rentabilité des lourds investissements réalisés pour les transports en commun. Pourquoi ne pas urbaniser en priorité les nombreux terrains qui se situent à proximité des lignes 1 et 2 du tramway?
Autre piste, pourquoi ne pas réhabiliter ce qui est déjà construit plutôt que de consommer ce qui nous reste de nature ?
Madame la Maire, nous connaissons votre engagement politique porté par le respect de la nature et de la biodiversité. Ne laissons pas les Montboucons devenir un autre exemple de ce que nous aurions dû protéger.
Nous ne sommes pas opposés à un projet de constructions pour répondre aux besoins en logement mais nous demandons à ce qu'il soit mesuré et réfléchi, homogène avec les habitations existantes sans densification et dans le respect de la nature (terrain arboré, haie et jardin) afin de conserver l’image paysagère des Montboucons.
Ainsi nous vous demandons de reconsidérer ces projets pour le bien de notre communauté et de notre environnement, et pourquoi pas d’envisager une zone agricole protégée.
Nous vous prions d’agréer, Madame la Maire, l'expression de notre considération distinguée.
Madame la Maire,
En tant que résidents du quartier des Montboucons, nous nous permettons de vous faire part de nos appréhensions quant aux projets de construction de nouveaux logements sur des terrains agricoles exploités, situés sur le secteur de la rue Leverrier (section NV0123 et sections NY1, NY130 à 136).
La perspective de transformer ces prairies en zones de lotissements et logements collectifs soulève des questions importantes sur la préservation de notre environnement et la qualité de vie des habitants. Nos réflexions concernent plusieurs points :
- Les Espaces verts :
Nous avions cru comprendre dans certains discours que l'artificialisation de sol agricole n'était plus à l'ordre du jour et qu'il convenait de conserver les espaces verts en privilégiant les constructions sur des zones déjà urbanisées.
Or ce secteur, l'un des derniers espaces verts de Besançon, joue un rôle crucial dans le maintien de la biodiversité. Ces parcelles boisées (chênes, sycomores, noisetiers, haies…) sont le refuge de très nombreuses espèces animales (lièvres, huppes fasciées, faisans, hérissons, grillons, papillons et autres oiseaux ou insectes, …).
C’est sur ce secteur que situe une des dernière ferme de Besançon, dédiée à l’élevage. Il est plus que nécessaire de la préserver et de conserver son aire d’exploitation agricole.
Il ne faut pas oublier également, que ces espaces de nature, à l’intérieur du tissu urbain, constituent des îlots de fraîcheur indéniable en cas de canicule alors qu’ils pourraient au contraire renforcer les îlots de chaleur en cas d’urbanisation et de bétonisation.
- Les infrastructures existantes :
Elles paraissent inadaptées et insuffisantes pour accueillir un afflux significatif de résidents :
. La rue Leverrier est une rue dangereuse par son étroitesse et l'absence de trottoirs (par endroit, deux véhicules ne peuvent pas se croiser sauf à vitesse très réduite). C’est une rue à éviter avec des enfants.De plus, cette rue comporte encore des réseaux électriques et téléphoniques aériens.
. Le quartier ne possède aucun commerce de proximité
. Le quartier ne possède aucun transport en commun à l'exception d’un arrêt en période scolaire uniquement devant le lycée Pâris aux heures d'entrée et de sortie de cours.
. L’école du quartier n’est pas adaptée car déjà complète.
Aujourd'hui, si elle devait être aménagée, la rue Leverrier, nécessiterait des travaux extrêmement coûteux de terrassement et de soutènement, sans parler des autres coûts d’infrastructures.
- Les besoins en logement :
Nous comprenons les efforts pour répondre à la demande en logement, mais il est crucial que cela ne se fasse pas au détriment des dernières zones de verdure et de la qualité de vie des résidents.
Notre quartier a déjà vu la construction de nombreux logements collectifs, répondant ainsi à des besoins importants, mais au prix d'une certaine saturation.
La vision des constructions récentes dans le secteur des rues Arago-Ullman-Monneur nous fait craindre le pire: aucune harmonie des maisons et des bâtiments, ni respect de l’environnement (pas de verdure, pas d’arbre) pas de trottoir, des parkings insuffisants (les voitures se garent le long de la route et les piétons ne savent pas où marcher).
Ne serait-il pas plus judicieux de favoriser les projets de constructions proches du réseau de transport en commun, afin de réduire la circulation automobile.
En effet, construire des lotissements aux Montboucons c'est encourager et développer l'usage de la voiture particulière au détriment de la rentabilité des lourds investissements réalisés pour les transports en commun. Pourquoi ne pas urbaniser en priorité les nombreux terrains qui se situent à proximité des lignes 1 et 2 du tramway?
Autre piste, pourquoi ne pas réhabiliter ce qui est déjà construit plutôt que de consommer ce qui nous reste de nature ?
Madame la Maire, nous connaissons votre engagement politique porté par le respect de la nature et de la biodiversité. Ne laissons pas les Montboucons devenir un autre exemple de ce que nous aurions dû protéger.
Nous ne sommes pas opposés à un projet de constructions pour répondre aux besoins en logement mais nous demandons à ce qu'il soit mesuré et réfléchi, homogène avec les habitations existantes sans densification et dans le respect de la nature (terrain arboré, haie et jardin) afin de conserver l’image paysagère des Montboucons.
Ainsi nous vous demandons de reconsidérer ces projets pour le bien de notre communauté et de notre environnement, et pourquoi pas d’envisager une zone agricole protégée.
Nous vous prions d’agréer, Madame la Maire, l'expression de notre considération distinguée.
Contribution n°79 (Courrier)
Par SCI MAJEC
Déposée le 23 avril 2024 à 14h39
Déposée le 23 avril 2024 à 14h39
Merci de prendre en compte les éléments en pièce jointe.
Document joint
Contribution n°78 (Courrier)
Par François PELLISSIER
Déposée le 3 mai 2024 à 14h34
Déposée le 3 mai 2024 à 14h34
Merci de prendre en compte les éléments en pièce jointe.
Document joint
Contribution n°77 (Web)
Par ROYO Raymond et Christiane
Déposée le 11 mai 2024 à 09h06
Déposée le 11 mai 2024 à 09h06
Résidents du quartier des Montboucons, nous nous permettons de vous adresser ces remarques pour vous exposer notre préoccupation quant au projet de construction de la rue Leverrier section NV0123 .
Lors de sa campagne électorale, Madame la Maire avait beaucoup insisté sur la nécessité de conserver les espaces verts en privilégiant les constructions sur des zones déjà urbanisées. Or cette partie des Montboucons est une des dernières zones vertes . La mairie a déjà accepté de nombreuses constructions dans le quartier ; Le dernier en date , rue de la Providence, est un terrain qui était occupé par des bovins tout comme le terrain qui fait l'objet de ce courrier .
La rue Leverrier est une rue dangereuse par son étroitesse et l'absence de trottoirs. Comment pourra-t-elle supporter un surplus de circulation?
Quelles sont les infrastructures prévues pour ce projet ?
Comment concilier la vie d'un quartier dit paisible et construction en masse si aucune infrastructure n'est prévu? Nous rappelons que le quartier des Montboucons est dépourvu de lignes de bus ( sauf horaire scolaire), que son école n'est pas adaptée, que les rues y sont étroites et dépourvues de trottoirs pour la plupart d'entre elles.
Allez vous renouveler les erreurs de vos prédécesseurs ? Dans le lotissement des rues Ullmann et Monneur, aucune place de parking n'a été prévue donc les voitures se garent le long de la route et les piétons ne savent pas où marcher.
Nous ne sommes pas opposés à un projet de constructions pour répondre aux besoins mais nous demandons à ce qu'il soit mesuré et réfléchi.
Lors de sa campagne électorale, Madame la Maire avait beaucoup insisté sur la nécessité de conserver les espaces verts en privilégiant les constructions sur des zones déjà urbanisées. Or cette partie des Montboucons est une des dernières zones vertes . La mairie a déjà accepté de nombreuses constructions dans le quartier ; Le dernier en date , rue de la Providence, est un terrain qui était occupé par des bovins tout comme le terrain qui fait l'objet de ce courrier .
La rue Leverrier est une rue dangereuse par son étroitesse et l'absence de trottoirs. Comment pourra-t-elle supporter un surplus de circulation?
Quelles sont les infrastructures prévues pour ce projet ?
Comment concilier la vie d'un quartier dit paisible et construction en masse si aucune infrastructure n'est prévu? Nous rappelons que le quartier des Montboucons est dépourvu de lignes de bus ( sauf horaire scolaire), que son école n'est pas adaptée, que les rues y sont étroites et dépourvues de trottoirs pour la plupart d'entre elles.
Allez vous renouveler les erreurs de vos prédécesseurs ? Dans le lotissement des rues Ullmann et Monneur, aucune place de parking n'a été prévue donc les voitures se garent le long de la route et les piétons ne savent pas où marcher.
Nous ne sommes pas opposés à un projet de constructions pour répondre aux besoins mais nous demandons à ce qu'il soit mesuré et réfléchi.
Contribution n°76 (Web)
Par PICHOT CYRILLE LAETITIA
Déposée le 1 mai 2024 à 10h02
Déposée le 1 mai 2024 à 10h02
Bonjour
Il était prévu dans le PLU approuvé le 3 juin 2014 l'emplacement réservé ER2 pour accéder à la la zone AU1 - Cul de Longchamp. Cet emplacement est situé sur le bas de notre parcelle. Désormais la voierie du lotissement Cul de Longchamp (qui n'a pas la possibilité de s'étendre) est réalisée avec un sens de circulation interne ne nécessitant plus le maintien de cet emplacement réservé.
En conséquence nous vous saurions gré de procéder au retrait de l'emplacement réservé ER2 du PLUI à venir.
Très cordialement
Mr et Mme Pichot
Il était prévu dans le PLU approuvé le 3 juin 2014 l'emplacement réservé ER2 pour accéder à la la zone AU1 - Cul de Longchamp. Cet emplacement est situé sur le bas de notre parcelle. Désormais la voierie du lotissement Cul de Longchamp (qui n'a pas la possibilité de s'étendre) est réalisée avec un sens de circulation interne ne nécessitant plus le maintien de cet emplacement réservé.
En conséquence nous vous saurions gré de procéder au retrait de l'emplacement réservé ER2 du PLUI à venir.
Très cordialement
Mr et Mme Pichot
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