Contribution n°51 (Web)
Déposée le 19 décembre 2024 à 15h56
Contribution n°50 (Web)
Déposée le 18 décembre 2024 à 09h10
https://www.youtube.com/watch?v=BrSS1Dn5xIw
Contribution n°49 (Web)
Déposée le 6 décembre 2024 à 13h07
Habitante de Marchaux, je me suis rendue à la réunion publique du 6 novembre 2024 dans le but de m’informer sur ce projet de ZAC. Je ne savais pas le projet si clivant et j’ai trouvé honteux les réactions de certaines personnes qui n’ont pas hésité à huer et siffler lors de certaines prises de parole. Chacun doit pouvoir exprimer ses opinions librement et nos élus y veiller.
Les enjeux liés au développement économique du territoire communautaire ont bien été expliqués par M. Bodin. Des besoins semblent identifiés pour l’installation d’entreprises de taille conséquente qui ne peuvent être implantées ailleurs. Le foncier disponible paraît saturé. Les bénéfices du projet de ZAC ont été mis en avant : nouvelles recettes fiscales pour la commune et l’intercommunalité, offre de nouveaux services, créations d’emplois pour les communes voisines, valorisation du prix de l’immobilier… Pour autant, je m’interroge sur l’opportunité et la temporalité du projet.
Les contraintes pesant sur le secteur économique sont actuellement fortes. Les chiffres nationaux montrent en effet une augmentation importante du nombre d’entreprises en liquidation ou en redressement, mais également une hausse des fermetures d’usines (Arcelor Mital, Michelin…). Et cela touche tous les territoires, y compris le très industrialisé Nord Franche-Comté.
Par ailleurs, la dernière étude de l’Insee sortie le 05/12/24 indique que la population active de Bourgogne Franche Comté baisse depuis une dizaine d’année et prévoit que cette population active continuera de baisser pour aller jusqu’à 145 000 actifs en moins d’ici 2050. Les bassins bisontins et dijonnais sembleraient toutefois moins impactés mais cela interroge sur la capacité du territoire BFC à attirer de nouveaux actifs et pour les entreprises à trouver des salariés.
Il est, par ailleurs, regrettable de consommer des terres agricoles pour construire des bâtiments qui seront forcément consommateurs d’énergie et de la ressource en eau, qui impliqueront une augmentation des flux routiers, la création de nouveaux logements sur la commune, l’extension de réseaux (voirie, électricité, assainissement…), des charges financières et incidemment une augmentation des gaz à effet de serre et autres pollutions… impactant de facto notre environnement proche, notre santé, nos conditions de vie et diminueront l’attrait paysager du village.
Les enjeux actuels liés à la crise climatique incitent aujourd'hui plutôt à protéger la nature et les ressources naturelles. Préserver l’environnement pour nos enfants me semble essentiel. La proximité de la forêt, les productions agricoles locales, la nature environnante constituent aujourd’hui des atouts pour la commune et participent largement à l’attractivité du village, tout comme un prix de l’immobilier modéré.
Ce projet élaboré il y a trente ans, alors que nous n’étions pas encore confrontés aux crises actuelles, sanitaires, climatiques, économiques et politiques, peut-il encore se justifier ? Ou n’est-il pas aujourd’hui plutôt motivé par l’application prochaine du zéro artificialisation nette que par un réel et urgent besoin de développement ? Ne faudrait-il pas plutôt voir la sobriété comme une opportunité ?
Pour ma part, je pense qu’il faut revoir ces politiques consommatrices de terres agricoles ou naturelles pour aller sur de la densification beaucoup plus fine, certes plus exigeante, plus couteuse, mais moins impactante. La zone économique des Auxons est quasi-vide, la ZAC des Marnières me semble encore loin d’être saturée… Des possibilités de densification ou de transformation bâtimentaire (avec élévation comme l’évoquait M Bodin) doivent certainement exister et offrir des potentialités d’implantation. On peut parler par exemple du cas de la société chinoise Das Solar qui installe une de ses plus grosses usines d’assemblage de panneaux solaires d’Europe dans les anciens locaux de l’équipementier automobile Faurecia dans le territoire d’industrie Nord-Franche-Comté…
Je ne suis donc pas très favorable à ce projet. Mais, s’il doit se réaliser malgré tout, faisons en sorte d’en faire une ZAC modèle, à zéro émission de GES, en réfléchissant à une réglementation spécifique qui favorisera le développement de nouveaux modèles économiques propres et pourquoi pas avec une fiscalité incitative. Besançon est souvent mise à l’honneur pour sa politique verte, ayons également cette ambition d’innovation pour le territoire communautaire et pour la commune de Marchaux.
Contribution n°48 (Web)
Déposée le 30 novembre 2024 à 15h26
2) La présentation fait état de la volonté politique de faire venir des entreprises d’envergures voir de l’industrie !! Or les plans montrés font plutôt référence à de petites unités… Mr Bodin souhaitant de l’industrie agroalimentaire… elle nécessiterait des silos, stockage, etc la question des vents dominants pouvant apporter des désagréments aux populations environnantes a été oubliée également !! Merci
Contribution n°47 (Web)
Déposée le 21 novembre 2024 à 08h04
Lors de la réunion publique, des arguments tels que l’autonomie industrielle et la défense nationale ont été appelés en renfort de ce projet, en citant notamment la pandémie de COVID-19 et la guerre de la Russie contre l’Ukraine. Mais qu’est-ce que ces deux crises ont aussi montré ? Les razzia dans les supermarchés, l’angoisse d’obtenir de la nourriture, l’envie de consommer plus local, une envolée du cours du blé et des difficultés d’approvisionnement. Avant de fabriquer des masques ou des armes, n’importe qui a besoin de manger. Une des politiques importantes de Grand Besançon Métropole est donc, et cela mérite d’être soulignée, de soutenir l’installation de nouveaux et nouvelles agricultrices. C’est notamment le cas avec un espace-test à Chalezeule qui ne désemplit pas, et avec les récentes propositions de Zone Agricole Protégée à l’Ouest de Besançon. Si ces efforts sont louables, je rappelle tout de même que l’on est encore loin du compte. Seulement 5 % des légumes consommés sur le territoire sont produits sur le territoire, et je ne parle pas des fruits et des céréales. Pour améliorer cette situation, nous avons besoin de toutes les terres agricoles des environs, en artificialiser ne serait-ce qu’une partie est déraisonnable et dangereux.
Concernant la future ZAP de la Combe Ballant, n’oublions pas les raisons qui ont poussé à sa création. Il y a des années, l’artificialisation de terres agricoles a engendré une pression foncière telle qu’il était devenu impossible pour des agriculteurs et agricultrices de s’installer là-bas. Il a été fait mention lors de la réunion de la volonté de rééquilibrer l’est et l’ouest de Besançon en terme d’activité économique mais ne reproduisons pas à l’est les erreurs qui ont été commises à l’ouest. Les habitants et habitantes méritent mieux que ça, ils et elles aussi ont droit à voir leurs terres agricoles et leurs paysages sanctuarisés. Ils et elles méritent aussi mieux que des usines d’agro-alimentaires, thème apparemment pressenti pour cette ZAE malgré les arguments de santé et de défense préalablement cités, de 2 ha, qui créeront peut-être des emplois mais des emplois précaires et non épanouissants. Les agriculteurs exerçant déjà sur les terres convoitées ou juste à côté méritent aussi mieux que de travailler au milieu d’un immense chantier pendant les 20 prochaines années. Ils n’auront d’ailleurs pas d’autre choix que de s’installer ailleurs ou d’arrêter. Un beau pas pour l’autonomie alimentaire locale.
Enfin, il a été rappelé les lois encadrant l’artificialisation et le plafond d’artificialisation de 5ha/an pour le territoire de GBM. Ce projet représente donc à lui seul l’équivalent de 6 années de construction de tout le territoire pour une ZAE dont on nous dit que l’occupation sera effective dans 20-30 ans. C’est à dire donc aussi un investissement conséquent pour GBM, donc les citoyens et citoyennes, pour des bénéfices lointains et non assurés. Exit donc la construction de petits îlots moins impactants dans des territoires déjà urbanisés au profit d’un énorme bloc industriel posé au milieu des champs. Encore une fois, un projet totalement anachronique, et une perte de capacités foncière et d’argent qui pourraient sûrement être mieux employées.
Contribution n°46 (Web)
Déposée le 14 novembre 2024 à 07h20
Si on observe la zone industrielle de Thise, proche de Marchaux, on constate qu'elle est constituée de hangars très plats, pas ou peu d'étages, avec une forte emprise au sol et cernée de goudron.
Ne pourrait-on pas en priorité revoir, réhabiliter, réaménager, transformer, moderniser, adapter, améliorer, densifier etc, cette zone pour la rendre plus résiliente et efficace plutôt que de construire une nouvelle zone industrielle en pleine campagne à Marchaux ?
La proximité du tramway, des bus de ville, de nombreuses voies d'accès, d'une voie ferrée (Strasbourg/Lyon) ainsi que d'une voie d'eau, le Doubs en font une zone à forte potentialité de réaménagement.
Contribution n°45 (Web)
Déposée le 14 novembre 2024 à 00h34
GBM dit vouloir limiter les déplacements domicile travail et espère qu'une bonne partie des actifs de Marchaux qui aujourd'hui travaillent en dehors de la commune, réfléchiront à leur situation d'emploi et en changeront pour rester travailler sur la ZAC. Une telle décision dépend de nombreux paramètres : compétences demandées par les emplois de la ZAC ? conditions de travail plus profitables ou non ? les conditions financières compenseront elles vraiment les économies générées par la limitation des déplacements ? etc... Il y a bien des paramètres très personnels que chacun défini individuellement et GBM ne peut pas vraiment les prévoir.
Il est de toute façon certain qu'au vu du nombre d'entreprises et d'emplois espérés, beaucoup de salariés proviendront de l'extérieur : de Besançon, des villages alentours (Amagney, Vieilley...), et certainement aussi de villages tel que la Tour de Scay à 13kms de Marchaux.
Il faudrait donc m'expliquer cette contradiction évidente entre le fait de vouloir limiter les déplacements des Marchaliens ou des Bisontins par exemple, alors qu'on s'attend très bien à attirer des chômeurs vivant dans le territoire d'à côté. Contradiction qui vient en plus appuyer une inégalité qui se renforcera forcément avec le temps : les Bisontins profiteront des bus, qui s'arrêtent aux limites de GBM.
Est-ce à dire que les dépenses de gasoil des ruraux ne comptent pas, surtout quand ils habitent hors GBM ? Un peu comme celles des agriculteurs qu'on veut envoyer en dehors du territoire ? La conception de GBM de la décarbonisation des transports s'arrête-t-elle aux frontières de son territoire ?
" L’Écologie industrielle et territoriale (EIT) est un modèle économique dont l’objectif est l'optimisation des ressources. Elle permet aux collectivités locales de réduire l'impact carbone du territoire et de préserver les ressources naturelles, en utilisant le levier du développement économique. " peut-on lire sur le site de l'ADEME
https://economie-circulaire.ademe.fr/ecologie-industrielle-territoriale-enjeux
Il serait peut-être bon de travailler également avec les élus des territoires limitrophes vu la situation géographique de la commune de Marchaux.
Bien cordialement
Mme Le Dourner
Contribution n°44 (Web)
Déposée le 12 novembre 2024 à 13h23
Observons déjà les zones existantes pour, par exemple, augmenter la taille des bâtiments en hauteur (dans la zone de Thise, ce ne sont que des hangars plats à forte emprise au sol) pour voir si on peut les améliorer, les connecter à d'autres moyens de transport que le trafic routier extrêmement polluant.
Marchaux, ce serait miser sur la bagnole et le camion. Ce n'est pas l'avenir d'un développement durable.
Contribution n°43 (Web)
Déposée le 7 novembre 2024 à 22h19
En tant que citoyen de Marchaux, j’ai suivi avec une attention particulière la réunion de concertation du 6 novembre organisée par le Grand Besançon Métropole, concernant le projet de ZAC et la modification du PLU pour reclasser certaines terres agricoles de zone A en zone AU. À cette occasion, je tiens à préciser que je ne me positionne ni en faveur ni contre ce projet. Je ne suis ni un partisan fervent des idées écologiques, ni particulièrement favorable à la ZAC en question. Je ne connais pas les personnes de l’opposition et n’ai aucune animosité à leur égard. Si je ne suis pas opposé au projet en soi, je pense cependant que toutes les questions méritent d’être posées et débattues de manière transparente. Il est essentiel que les décisions prises répondent aux véritables besoins de la communauté tout en prenant en compte les conséquences à long terme sur notre environnement et notre cadre de vie. Ce moment de concertation, qui devait servir à éclairer et à échanger sur le futur de nos espaces agricoles, a malheureusement pris une tournure bien éloignée de l’esprit de dialogue attendu.
L’un des élus, en préambule, a dressé un tableau alarmiste, évoquant les menaces géopolitiques actuelles comme le conflit en Ukraine et la réélection de Donald Trump aux États-Unis, pour instiller une atmosphère de tension. S’ajoutant à cela, il a évoqué la question de la « souveraineté industrielle » perdue, avec des exemples tirés de la crise du Covid. Ainsi, selon ce discours, ce projet de ZAC se justifierait en réponse à des préoccupations mondiales. Mais n’est-il pas abusif, voire manipulatoire, de lier si étroitement un projet d’aménagement local à des enjeux géopolitiques ? N’avons-nous pas le droit, en tant que citoyens, de poser des questions sans être plongés dans un climat de peur artificiellement instauré ?
Ce qui m’a également frappé, c’est l’attitude de certains partisans de ce projet, qui ont hué, sifflé et raillé les voix d’opposition. Ces opposants ne s’exprimaient pas pour contester sans fondement ; ils soulevaient des questions environnementales et sociales cruciales, des questions que nous devons entendre, car elles concernent le bien commun. Faut-il laisser ces comportements de mépris dominer nos échanges, pour que quelques-uns puissent assouvir leurs intérêts immédiats, au détriment d’un débat de fond et de l’avenir partagé de notre territoire ? Est-il acceptable que la discussion soit étouffée par des railleries lorsque des citoyens apportent un argumentaire réfléchi, qui mérite écoute et réponse ?
Cette réunion, avec ses huées et ses intimidations, nous renvoie tristement à l’image d’un modèle de développement qui ignore les alarmes, un modèle où le profit immédiat prime sur la responsabilité envers les générations futures. Peut-on accepter de voir les questions légitimes balayées au nom d’intérêts restreints et à court terme ?
En réfléchissant à cette réunion et à l’aveuglement de certains face aux enjeux cruciaux, j’ai eu en tête l’image puissante du film Don't Look Up. Ce film, inspiré par le déni autour de la crise climatique, montre des scientifiques qui, face à une menace imminente, tentent désespérément de prévenir le monde. Ils se heurtent à l’indifférence, au cynisme des médias et à l’inaction des dirigeants, guidés par leurs intérêts, tandis que la population, sceptique, ignore le danger qui se rapproche.
De manière troublante, ce déni illustré dans Don't Look Up résonne aujourd’hui dans nos propres débats. Face aux alertes constantes des scientifiques sur la perte de biodiversité, la surconsommation, et l’urgence climatique, pourquoi continuons-nous de réagir par l’inaction, voire le mépris, envers ceux qui osent poser des questions légitimes ? Ce modèle de développement aveugle, où la rentabilité immédiate prend le pas sur la responsabilité écologique, est-il vraiment la voie que nous souhaitons poursuivre ?
Malgré un débat qui, il faut le reconnaître, a été difficile et parfois tendu, certaines questions demeurent sans réponse claire. Ces interrogations, loin d’être superficielles, concernent des aspects essentiels du projet qui toucheront durablement notre territoire, nos finances et notre environnement. Si le débat a pu se concentrer sur des enjeux de politique locale et de développement économique, il n'en reste pas moins que des points cruciaux restent suspendus et appellent des éclaircissements. C'est face à ces zones d'ombre que nous devons collectivement prendre position, en veillant à ce que chaque décision soit prise dans un esprit de transparence et de responsabilité.
Voici donc les questions essentielles qui restent sans réponse satisfaisante :
• Quel est le coût global de cette opération de ZAC, incluant les études, les travaux et les infrastructures nécessaires ?
• Quelles dépenses spécifiques seront engagées pour desservir cette zone (assainissement, extension des réseaux, haute tension, station d’épuration...) ?
• Qui bénéficiera des retombées économiques générées par ce projet et comment seront-elles réparties ?
• Qui assumera les frais de viabilisation et d’aménagement de la ZAC ?
• Ce financement, qui doit se chiffrer en dizaines de millions d’euros, ne pourrait-il pas être orienté vers des modèles plus vertueux et durables ?
Au-delà des considérations financières, il est crucial de soulever des questions d’ordre moral et écologique qui ne peuvent être ignorées :
• Comment évaluer la perte de biodiversité causée par l’artificialisation de ces terres ?
• La destruction de terres agricoles ne met-elle pas en péril notre souveraineté alimentaire, en réduisant notre capacité à nourrir la population ?
• Ce projet d’aménagement, même à une échelle locale, ne risque-t-il pas de contribuer à une urbanisation incontrôlée, accélérant l’épuisement des sols ?
• Peut-on poursuivre des modèles de croissance sans réévaluer leur impact écologique, alors que l’urgence climatique est de plus en plus pressante ?
• Le budget alloué à ce projet ne pourrait-il pas être réorienté vers un système plus respectueux de l’environnement, innovant et générateur d’emplois durables ?
• Les partisans de ce projet évoquent la création d’emplois grâce à cette ZAC, mais n’est-il pas possible d’utiliser l’argent public autrement pour soutenir des initiatives plus en phase avec les enjeux sociaux et environnementaux ?
• Ne devrions-nous pas explorer des solutions alternatives, plus durables et créatrices de valeur à long terme ?
• N’est-il pas de la responsabilité des élus de prendre toutes les mesures nécessaires pour défendre l’intérêt public et préparer l’avenir ? Comment concilier les enjeux sociaux et environnementaux pour garantir un avenir durable et équitable pour les générations futures ? Les décisions prises aujourd’hui ne devraient-elles pas viser à améliorer le bien-être des citoyens tout en préservant notre planète ?
Alors, Messieurs les décideurs, répondez avec franchise et transparence. Clarifiez ces enjeux pour que le débat puisse être mené dignement, sans intimidation, sans manipulation. Car l’avenir de notre territoire ne peut se construire dans la peur ni dans le mépris des voix qui s’élèvent pour le bien commun.
Contribution n°42 (Web)
Déposée le 7 novembre 2024 à 16h19
Je suis pour cette zone.
Il est impensable de stopper toute activité économique locale : cela reviens à tout acheter à l'étranger = politique de l'autruche. Je ne vois pas le problème donc il n'existe pas.
Du maraichage avec ou sans serre ? : problème d'irrigation et manque de profondeur du sol.
Indispensable de revoir les transports en commun : Marchaux très mal desservi alors que l'on paye les abonnements aussi chers que le Bisontins. Et revoir les pistes cyclables, déjà pour la ZA Les planches de Cromary existante.
Projet semble avoir pris conscience de beaucoup de problèmes (ruissellement, végétélisation, parking, photovoltaque) et semble mesuré (1/2 de la surface initiale). Ce dans une zone qui ne gène pas les villages et en sortie d'autoroute.
Il reste cependant encore beucoup de travail pour aboutir.
Peut être réfléchir à ramener des productions liées aux besoins essentiels : logement, habillement, santé...
Merci pour votre présentation.