Contribution n°21 (Web)
Déposée le 13 octobre 2024 à 12h14
D'autre part, ce projet fait miroiter la création d'emplois ? Quelles donnés objectives permettent de donner corps à cet argument ? Amazon et ses projets d'implantation d'entrepôts font miroiter cet aspect alors que c'est tout le contraire (environ 2,1 emplois supprimés pour 1 emploi, souvent très précaire, créé)
Si ce projet ne montre pas qu'il est indispensable, il faut l'abandonner
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 9 octobre 2024 à 19h03
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 9 octobre 2024 à 10h42
De plus, le dossier concernant les opportunités économiques crées semble désespérément vide. On ne peut plus gaspiller des terres et de l'argent public dans ce genre de projet d'un autre temps.
Au contraire peut-être pourrait-on installer par ici des maraichers qui pourraient alimenter en nourriture saine et de proximité la ville de Besançon qui n'a pas de ceinture maraichère digne de ce nom. Cela devrait même être une priorité, quelle est à l'heure actuelle l'autonomie alimentaire de Besançon et ses alentours?
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 21h36
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 19h01
L'Audab a fait un recensement assez récemment des espaces et bâtiments disponibles, vous l'avez vu ? Ce projet ne tient pas la route
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 14h38
De plus, le dossier concernant les opportunités économiques crées semble désespérément vide. On ne peut plus gaspiller des terres et de l'argent public dans ce genre de projet d'un autre temps.
Au contraire, la priorité doit être mise sur la reconstruction du vivant. peut-être pourrait-on installer par ici des maraichers qui pourraient alimenter en nourriture saine et de proximité la ville de Besançon qui n'a pas de ceinture maraichère digne de ce nom.
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 14h33
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 8 octobre 2024 à 12h16
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 6 octobre 2024 à 21h04
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 22 septembre 2024 à 15h10
Ce genre de projet ne s'inscrit-il pas dans une logique désormais dépassée : terrains agricoles + routes + autoroute + grande ville proche = zone (commerciale, industrielle ou d'activité...).
N'y-a-t-il pas déjà assez de zones "neuves" désertes autour de Besançon ?
En 2024, ne devrions-nous pas explorer les parcelles, très nombreuses, déjà viabilisées ?
Si l'argument fort de cette ZAE est la desserte routière, alors cela veut dire que nous continuons à tout miser sur le transport routier : pour les biens créés (marchandises), pour l'activité en général et pour les employés également ?
Quelle alternative à ce moyen de transport : train ? modes actifs ? TC ?
Autre proposition : les hectares détruits à Marchaux, mais effectivement optimisés vis-à-vis de leur connexion aux réseaux, ne pourraient-ils pas donner lieu à l'effacement d'hectares anthropisés dans d'autres zones inutiles du secteur de GBM ?