Contribution n°99 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 11h16
Des locaux sont vides sur les ZAC 1 et 2 ! Optimisons d'abord ce qui existe !
Ce projet est comparable avec celui de la ZAC de Grignon sur la commune de Pontcharra.
STOP à la bétonisation.
Contribution n°98 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 10h45
Contribution n°97 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 09h04
Contribution n°96 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 08h23
La disparation de terre agricole et de biodiversité du site de technolac au profit du tout béton n'est pas une bonne idée.
Nous pouvons voir qu'il y a un changement climatique important avec des pluies abondante et le "tout béton" est totalement inapproprié. La zone est particulièrement humide, et est très bien à l'état naturel.
Les terres agricoles sont importante dans notre bassin de vie, elles sont un vivier de biodiversité, mais aussi pour nous nourrir.
Le corridor écologique du sud du Lac du Bourget doit encore exister. Des travaux ont été entrepris par le département dans ce sens. Alors pourquoi bétonnisé ?!
"Il tient à la fois le rôle de réservoir de biodiversité (milieux humides remarquables) et de corridor favorable au brassage génétique de nombreuses espèces entre les massifs des Bauges, de la Chambotte et de l'Epine." alors continuons d'avoir ce corridor pour les animaux et arrêtons de bétonniser en masse.
Contribution n°95 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 05h44
Ceci ne sont que quelques raisons pour lesquelles ce projet n'est pas viable, des raisons basées sur mon expérience et mes quelques connaissances de la région, mais d'autres personnes sont mieux placées pour rentrer plus en détail dans les raisons relatives à la biodiversité, à l'environnement, à l'économie et tous les domaines dans lesquels ce projet ne peut fonctionner.
Contribution n°94 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 22h24
Merci,
Amaury
Contribution n°93 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 20h56
les espaces dits "naturels" se font de plus en plus rares sur le bassin chambérien et il est donc important de conserver ceux qui existent encore, d'autant plus que la zone concernée est d'une part dans une zone humide riche en biodiversité et servant de corridor écologique, d'autre part concerne des terres agricoles importantes pour contribuer à l'alimentation des habitants de l’agglomération chambérienne et atteindre des 50% d'autonomie alimentaire sur le Grand Chambéry.
Pour développer la zone, il pourrait être intéressant, sans toucher à la ZAC3, d'optimiser /densifier l'espace déjà construit des zones ZAC 1et 2.
je suis donc contre le projet d'extension et de bétonisation de la ZAC3
Contribution n°92 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 19h21
De plus, selon l'observatoire de la Savoie il se trouve que le Département a un potentiel de 104 ha de friches.
"L'EPFL de la Savoie a mis en place depuis 2017 un observatoire des friches
économiques¹. Début 2023 il comptabilise sur le département 102 sites en
friches et 23 sites vacants.
Les friches recensées représentent une surface totale d’environ 104 ha, sur
lesquels 13 ha de bâtiments seront à traiter. Les deux tiers des sites ne font
l’objet d’aucun projet à ce jour ; 60 % relèvent de la propriété privée ; la
moitié fait moins de 6 000 m²."
Il se trouve que ces sites sont répartis sur le territoire et ils seraient bien de réfléchir à l'implantation de ces nouvelles entreprises sur des territoires moins attractifs qui permettraient de les revaloriser au lieu de concentrer tout l'emploi et la population sur le bassin chambérien.
N'oublions pas que si nous urbanisons ces terres elles ne pourront plus jamais produire de denrées alimentaires.
Contribution n°91 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 18h15
Ce projet va à l’encontre de notre avenir à tous !
Contribution n°90 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 17h37
un projet alternatif avec un développement équilibré, la réhabilitation de l'existant permettant un développement harmonieux tant sur le ,plan économique qu'agricole, permettant des projets innovants inscrit dans un processus plus en lien avec la lutte contre l'artificialisation des sols, la lutte contre le réchauffement, la chute de la biodiversité et l'appauvrissement en terres arables de qualité, dans un environnement privilégiant les accès par transports doux et alternatifs plutôt qu'ajouter des équipements toujours dédiés à la voiture individuelle et aux équipements déjà largement saturés