Contribution n°107 (Web)
Par Chambery Grand Lac économie
Déposée le 24 juin 2024 à 15h46
Déposée le 24 juin 2024 à 15h46
Une anticipation des besoins de la ZAC 3 grâce à l'étude prospective "Savoie Technolac 2050" relative au développement économique, urbanistique et aux mobilités de Savoie Technolac. Schéma directeur du 10 juin 2022 pour anticiper le développement de la ZAC 3.
Document joint
Contribution n°106 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 juin 2024 à 15h40
Déposée le 24 juin 2024 à 15h40
Je m'oppose vivement au projet de création de la ZAC « SAVOIE TECHNOLAC -ZAC 3 » sur la commune. Dans un contexte de Loi Zéro Artificialisation Nette, il est totalement aberrant de bétonner une zone agricole de haute qualité alors que nous sommes à moins de 50% d'autonomie alimentaire sur Grand Chambéry. De plus, dans un contexte de crise de biodiversité, supprimer des terres servant de corridor écologique, des zones humides servant de hot spot de biodiversité apparait irresponsable comme en atteste la Tribune signée par de nombreux scientifiques experts.
Des experts en urbanisation ont par ailleurs montré qu'il était possible de densifier le bâtis déjà existant. Il est encore temps de faire marche arrière pour le vivant, pour les générations futures.
Refus d'artificialiser des zones naturelles qui servent de corridor écologique, et d'assécher des zones humides, avec toutes ses conséquences sur la biodiversité
Promotion d'une solution d'activité agricole, en rappelant que l'agriculture est une activité économique aussi importante que d'autres activités économiques, et donner la priorité à l'autosuffisance alimentaire de notre Territoire
Promotion de l'optimisation de la zone actuelle (Zac 1 et Zac 2) aussi bien en terme de densification (parking en silos...) qu'en terme de déplacements (aides et site internet dédié au covoiturage, location de vélo à assistance électrique, ...)
Volonté d'associer la population à l'avenir de notre territoire via une convention citoyenne locale
Des experts en urbanisation ont par ailleurs montré qu'il était possible de densifier le bâtis déjà existant. Il est encore temps de faire marche arrière pour le vivant, pour les générations futures.
Refus d'artificialiser des zones naturelles qui servent de corridor écologique, et d'assécher des zones humides, avec toutes ses conséquences sur la biodiversité
Promotion d'une solution d'activité agricole, en rappelant que l'agriculture est une activité économique aussi importante que d'autres activités économiques, et donner la priorité à l'autosuffisance alimentaire de notre Territoire
Promotion de l'optimisation de la zone actuelle (Zac 1 et Zac 2) aussi bien en terme de densification (parking en silos...) qu'en terme de déplacements (aides et site internet dédié au covoiturage, location de vélo à assistance électrique, ...)
Volonté d'associer la population à l'avenir de notre territoire via une convention citoyenne locale
Contribution n°105 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 juin 2024 à 15h10
Déposée le 24 juin 2024 à 15h10
Je suis contre ce projet. Nous voyons chaque jour les dégâts que peut causer l'artificialisation des sols, que faut-il de plus pour cesser de bétonner ? Il existe certainement déjà des locaux dans l'agglo chambérienne qui pourraient accueillir les entreprises.
Cordialement,
Cordialement,
Contribution n°104 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 juin 2024 à 14h36
Déposée le 24 juin 2024 à 14h36
IL n'y a plus de terrain pour les entreprises. Si ce projet permet d'accueillir des entreprises mais pas que des bureaux) en développement, pourquoi pas
Contribution n°103 (Web)
Par Cherpin anne
Déposée le 24 juin 2024 à 13h50
Déposée le 24 juin 2024 à 13h50
L'artificialisation des sols augmente la chaleur ambiante. L'eau à du mal à s'évacuer. Les réseaux routiers sont saturés. L'offre de transport en commun n'est pas bonne, surtout pendant les heures de pointe et les vacances. Le site est exceptionnel. Gardons la nature sinon, il n'y aura plus aucun attrait pour la région. Merci. Image 9 juin 2024 pluie à Voglans.
Document joint
Contribution n°102 (Web)
Par Cherpin anne
Déposée le 24 juin 2024 à 13h40
Déposée le 24 juin 2024 à 13h40
Les réseaux routiers sont saturés. L'offre de transport en commun n'est pas bonne, surtout pendant les heures de pointe et les vacances. Le site est exceptionnel. Gardons la nature sinon, il n'y aura plus aucun attrait pour la région. Merci.
Contribution n°101 (Web)
Par rabret
Déposée le 24 juin 2024 à 12h53
Déposée le 24 juin 2024 à 12h53
Ce projet est en contradiction avec l'objectif de Zéro Artificialisation Nette en 2030. Ce projet implique d'artificialiser et d'imperméabiliser des terres agricoles et des zones humides qui contribuent à la résilience territoriale, à la captation du CO2 atmosphérique et à la préservation de la biodiversité. Les axes routiers sont saturés autour de Savoie Technolac en raison de transports en commun sous-dimensionnés et insuffisamment cadencés. L'absence de coordination entre Grand Chambéry et la CALB ne permettent pas une continuité des lignes de bus. A quand un tramway reliant Chambéry, Savoie-Technolac et Aix-les-bains ?
Contribution n°100 (Web)
Par Bruno MONTEL
Déposée le 24 juin 2024 à 12h17
Déposée le 24 juin 2024 à 12h17
Bonjour,
Au regard des nombreuses contributions déjà publiées, je partage sans entrer dans le détail des arguments de fond déjà exprimés, notamment :
- le refus de bétonner une zone agricole de haute qualité dans le monde d'aujourd'hui (loi Zéro Artificialisation Nette, accord de Paris 2015 sur le climat....) avec toutes ses conséquences sur la biodiversité;
- la promotion d'une solution d'activité agricole pour mener notre territoire vers plus d'autosuffisance alimentaire;
- la promotion de l'optimisation de la zone actuelle (Zac 1 et Zac 2) aussi bien en terme de densification qu'en terme de déplacements (réduction de la voiture);
- la volonté d'associer la population à l'avenir de notre territoire via une convention citoyenne locale.
En complément, je souhaite principalement orienter ma contribution sur la gestion de l’eau comme ressource vitale et d’intérêt public.
Nous savons que les situations de stress hydrique ne vont faire que de se renforcer dans les années qui viennent. Hors il me semble qu’il faut distinguer les besoins en eau (boire, se laver, se nourrir via des choix agricoles adaptés au manque d’eau) et les demandes en eau (tous les usages de l’eau, du remplissage des piscines privées à la production de neige artificielle, les mégabassines, les process industriels, etc).
En remettant les besoins en eau au centre des choix, il nous faut privilégier des choix agricoles avec des pratiques agroécologiques, pertinentes du point de vue de l’adaptation au dérèglement climatique, que ce soit la capacité de résilience face aux événements climatiques extrêmes (sécheresses, vagues de chaleur, pluies intenses, tempêtes) ou la capacité d’avoir plus d’autonomie alimentaire.
Par conséquent, le projet d’extension de la Zac3, qui consiste à bétonner des terres agricoles de bonne qualité et surtout « les pieds dans l’eau », est à contre courant complet de ce qu’il nous faut faire. On peut aussi relever le paradoxe entre, d’une part, la publication du dernier numéro de Savoie Mag (revue du département de la Savoie numéro 68) dont le titre est « dossier eau : préservons notre ressource », et d’autre part et en même temps, l’enquête publique sur un projet de bétonisation de terres agricoles dramatique sur la gestion des besoins en eau.
Je demande :
1. Que la proposition d’une alternative agricole soit étudiée avec les mêmes moyens publics que le projet Zac 3 ;
2. Qu’une convention citoyenne locale soit organisée sur l’avenir de ce territoire sur la commune de La Motte-Servolex.
Merci d’avance de votre écoute.
Bien cordialement.
Au regard des nombreuses contributions déjà publiées, je partage sans entrer dans le détail des arguments de fond déjà exprimés, notamment :
- le refus de bétonner une zone agricole de haute qualité dans le monde d'aujourd'hui (loi Zéro Artificialisation Nette, accord de Paris 2015 sur le climat....) avec toutes ses conséquences sur la biodiversité;
- la promotion d'une solution d'activité agricole pour mener notre territoire vers plus d'autosuffisance alimentaire;
- la promotion de l'optimisation de la zone actuelle (Zac 1 et Zac 2) aussi bien en terme de densification qu'en terme de déplacements (réduction de la voiture);
- la volonté d'associer la population à l'avenir de notre territoire via une convention citoyenne locale.
En complément, je souhaite principalement orienter ma contribution sur la gestion de l’eau comme ressource vitale et d’intérêt public.
Nous savons que les situations de stress hydrique ne vont faire que de se renforcer dans les années qui viennent. Hors il me semble qu’il faut distinguer les besoins en eau (boire, se laver, se nourrir via des choix agricoles adaptés au manque d’eau) et les demandes en eau (tous les usages de l’eau, du remplissage des piscines privées à la production de neige artificielle, les mégabassines, les process industriels, etc).
En remettant les besoins en eau au centre des choix, il nous faut privilégier des choix agricoles avec des pratiques agroécologiques, pertinentes du point de vue de l’adaptation au dérèglement climatique, que ce soit la capacité de résilience face aux événements climatiques extrêmes (sécheresses, vagues de chaleur, pluies intenses, tempêtes) ou la capacité d’avoir plus d’autonomie alimentaire.
Par conséquent, le projet d’extension de la Zac3, qui consiste à bétonner des terres agricoles de bonne qualité et surtout « les pieds dans l’eau », est à contre courant complet de ce qu’il nous faut faire. On peut aussi relever le paradoxe entre, d’une part, la publication du dernier numéro de Savoie Mag (revue du département de la Savoie numéro 68) dont le titre est « dossier eau : préservons notre ressource », et d’autre part et en même temps, l’enquête publique sur un projet de bétonisation de terres agricoles dramatique sur la gestion des besoins en eau.
Je demande :
1. Que la proposition d’une alternative agricole soit étudiée avec les mêmes moyens publics que le projet Zac 3 ;
2. Qu’une convention citoyenne locale soit organisée sur l’avenir de ce territoire sur la commune de La Motte-Servolex.
Merci d’avance de votre écoute.
Bien cordialement.
Contribution n°99 (Web)
Par blanc
Déposée le 24 juin 2024 à 11h16
Déposée le 24 juin 2024 à 11h16
Ce projet, un de plus, est une aberration, une de plus, à l'heure d'un changement de paradigme de nos sociétés occidentales. Il est plus que de temps que les élu.es, agissent enfin avec respect des enjeux climatiques, humains, alimentaires.
Des locaux sont vides sur les ZAC 1 et 2 ! Optimisons d'abord ce qui existe !
Ce projet est comparable avec celui de la ZAC de Grignon sur la commune de Pontcharra.
STOP à la bétonisation.
Des locaux sont vides sur les ZAC 1 et 2 ! Optimisons d'abord ce qui existe !
Ce projet est comparable avec celui de la ZAC de Grignon sur la commune de Pontcharra.
STOP à la bétonisation.
Contribution n°98 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 juin 2024 à 10h45
Déposée le 24 juin 2024 à 10h45
Pourquoi continuer le développement de cette zone qui n'est aujourd'hui accessible que en voiture ? Alors même s'il y a une ligne de bus et une piste cyclable, la situation de cette zone, contribue fortement à l'usage de la voiture individuelle : les surfaces de parkings sur le campus sont énormes et pourtant saturés....
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
Déposer une contribution