Contribution n°89 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 16h51
Contribution n°88 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 15h34
Je suis pour réduire les impacts environnementaux négatifs
des activités humaines.
Contribution n°87 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 15h11
Je ne suis pas d'accord avec le projet d'artificialisation des terres agricoles. Les zones artisanales devraient être densifiees au besoin ( bâtiments plus hauts) sans compter tous ceux qui sont inoccupés. Et les parkings ne devraient plus être construits et remplacer par des transports en commun et des pistes cyclables et le partage des voitures. Soyez intelligents et les citoyens d'aujourd'hui et de demain vous le rendront.
Contribution n°86 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 12h51
l'extension de la ZAC 3 de Technolac ne fait pas partie de l'héritage que je souhaite léguer
aux générations futures.
21 ha de Vie, 21 ha pour la Vie,
21 ha rescapés...
c'est une surface bien modeste en regard de la zone verte qui existait ici
il y a seulement quelques décennies.
En totale contradiction avec les connaissances actuelles sur les conséquences de l'artificialisation des sols, la ZAC 3 a d'autres solutions à mettre en oeuvre :
plus responsables, plus innovantes, plus respectueuses de notre à venir.
Heureusement, il est encore temps de renoncer à ce projet
de destruction (gaspillage !!) de ressources naturelles et de biodiversité.
Contribution n°85 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 11h58
Contribution n°84 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 11h43
Contribution n°83 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 11h33
Artificialiser des sols pour des bureaux (!) Ne devrait pas être un projet sérieux en Savoie aujourd'hui.
Contribution n°82 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 05h53
Contribution n°81 (Web)
Déposée le 22 juin 2024 à 19h26
Il est dit que la destruction des zones humides sera compensée à 100%. Les zones de compensation choisies ne sont pas équivalentes en terme de qualité. Entre des terres agricoles et une ancienne décharge (Vallon des Cavettes au Viviers du Lac) la différence est là. je m'interroge sur la pertinence de ce choix. De plus la zone humide choisie ne contribuera pas à épurer la nappe puisqu'elle ne se situe pas au même endroit et par conséquent fragilisera la qualité de l'eau de la nappe.
Les nombreux parkings vont continuer de favoriser la voiture et pour un projet qui veut mettre l'accent sur les modes de déplacements doux cela est contradictoire. La place de la voiture n'est pas remis en cause. Pire, ce projet amplifiera le nombre de voitures saturant encore plus la D1504 aux heures de pointe. Cela saturera également les parkings déjà présents et ceux envisagés. Pourquoi ne pas renoncer à faire ces parkings et développer une réelle alternative "douce". De plus, si l'espace dédié aux vélos est dans la continuité des "pistes cyclables" type ZAC2 (larges trottoirs où doivent cohabiter les piétons et les vélos), cela interroge toujours sur la réelle volonté de développer les modes de transports doux.
Le projet se concentre sur un développement économique high tech mais l'agriculture constitue un projet économique viable. Il y a une contradiction avec la volonté affichée de relocaliser l’alimentation au niveau du bassin chambérien et ce projet. C'est une terre de qualité pour l'agriculture. Ce point constitue le cœur du problème de ce projet. Les choses ont évolué depuis 30 ans. Notre importante dépendance aux chaines d'approvisionnement longue nous fragilise et le changement climatique accroit cette problématique. Cela n'est absolument pas abordé dans le projet.
Quelques pistes de solutions repris sur le site (https://natureenville.org/pour-un-projet-agricole-a-technolac)
1- Densification optimisée des ZAC 1 et 2, par élévation/transformation des bâtiments existants, par la location des bureaux vides et par de nouvelles constructions éco-conçues sur une partie des espaces de stationnement qui représentent actuellement 28 % de la surface déjà artificialisée !
2- Réduction des déplacements en voitures “autosolistes” par un ambitieux plan de déplacement collectif et décarboné (bus, navettes, covoiturage, vélos et VAE,…). En effet, aujourd’hui les accès routiers à Technolac sont déjà saturés aux heures de pointe, une extension générerait des flux, des nuisances et pollutions supplémentaires.
3- Utilisation des espaces disponibles sur les différentes autres zones économiques existantes, par une meilleure répartition des activités, en développant les mutualisations, les synergies et les démarches d’économie circulaire.
4- Protection et valorisation des terres agricoles et de la biodiversité, en proposant aux agriculteurs (actuels et à venir) d’être accompagnés dans le cadre d’un Plan Alimentaire Territorial exemplaire, alimentant progressivement en circuit court les salarié·es de Savoie Technolac, la restauration collective de proximité, les riverains.
Contribution n°80 (Web)
Déposée le 22 juin 2024 à 18h27
D.B.