Contribution n°64 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 16h48
Dans le contexte actuel de changement climatique, il me paraît aberrant de bétonner 21 hectares de terre agricole alors que des solutions autres existent.
S'il vous plaît, préservons la nature ?
Merci
Contribution n°63 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 16h39
Les voies d'accès routiers sont déjà saturées aux heures de pointes, et les bus ne peuvent pas circuler efficacement car ils restent coincés dans ces bouchons.
Un projet qui manque de vision urbanistique, et qui ne relève aucunement les enjeux liés à la loi ZAN et ses objectifs.
Contribution n°62 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 16h25
Contribution n°61 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 16h02
Le contexte actuel de changement climatique, il me paraît aberrant de bétonner 21 hectares de terre agricole alors que des solutions autres existent. Utiliser ce qui ne l'est pas encore et bâtir en vertical plutôt qu'en horizontal me paraît une bonne solution pour répondre aussi bien aux besoins de place.
Contribution n°60 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 15h28
La localisation de la ZAC3 est située dans une zone d'aléa au PPRI. Même si le PPRI va être revu, est-il pertinent de construire des bâtiments dans cette zone ?
Il vaudrait mieux la laisser non imperméabilisée et permettre à l'eau de s'infiltrer dans les sols, au risque de voir la vulnérabilité augmenter sur d'autres secteurs.
Cordialement.
Contribution n°59 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 15h21
- Condamnation à jamais des terres agricoles de grande qualité et disparition 9 exploitants agricoles, jeunes pour la plupart du fait de la proximité avec les agglomérations chambérienne et aixoise
- Cette disparition impacte directement le développement des circuits courts entre producteurs et consommateurs, seule solution économiquement viable face à une grande distribution émettrice de gaz à effet de serre et productrice de déchets.
- Aucun véritable développement associé des transports en commun hormis un « maillage mode actif à l’échelle de l’opération en liaison avec l’existant et mise en œuvre de PDE et de PDIE (Mobilac) ». Rien de concret donc. Les « modes doux » tel le vélo ne peuvent être utilisés que par une minorité de personne car dépendant de la zone d’habitat, des capacités physiques, des horaires de travail, des conditions météo…
- Augmentation du volume de déplacement domicile-travail en voiture particulière contribuant un peu plus à l’engorgement des axes routiers, au CO2, et ce même avec le développement du covoiturage (qui est laissé à l’initiative des futurs utilisateurs).
- Hausse de la consommation énergétique liée aux bâtiments et aux trafics routiers supplémentaires.
- Augmentation progressive des teneurs en polluants dont l’émission est directement liée aux volumes de trafic. Cette évolution suit l’avancement du projet dans ses trois phases d’aménagement.
- Modification de la structure et de l’ambiance paysagère du site, transformant le paysage naturel en paysage périurbain.
- Disparition des surfaces non imperméabilisées (surfaces agricoles sur 18.2 ha) qui formaient jusqu’à présent un espace perméable aux déplacements de la faune.
- Augmentation du trafic sur les voiries du secteur notamment sur la RD1504.
- Densification des espaces urbanisés entraine une modification du paysage, en supprimant le paysage « rural ».
Tout ceci alors que des espaces sont inutilisés dans les ZAC 1 et 2 et que le besoin n’est pas avéré (il est en gestation depuis 2015…).
Les porteurs de projets annoncent la création de 6300 emplois : comment s’est faite cette estimation et qui ira vérifier ?
Saisissons l’occasion d’encourager le développement de l’agriculture, du maraîchage et des circuits courts, qui en plus d’être vitales sont aussi des activités économiques à part entière.
Contribution n°58 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 15h04
En effet, il me semble indispensable de conserver le maximum de surfaces agricoles du territoire pour assurer une alimentation locale de qualité. Urbaniser ces terres empêchera durablement leur usage agricole, tout en accompagnant une hausse de la population sur le bassin. Alors que notre résilience alimentaire territoriale est déjà extrêmement faible, que penser d'un projet qui supprime des terres agricoles pour y installer plus de personnes ?
Le porteur de projet semble minimiser l'intérêt des parcelles agricoles actuelles, en dénigrant le maïs conventionnel. Ce faisant, il oublie que ces céréales permettent l'alimentation des vaches laitières sur le bassin ; mais surtout qu'une fois recouvert de 96cm de bitume, de parking et de bâtiments, il sera ensuite complètement impossible d'y faire pousser quoi que ce soit !
Les ZACs 1 et 2 ont été construites sur un schéma aujourd'hui complètement dépassé, où la voiture individuelle est reine. L'emprise au sol des parkings est titanesque, et les accès cyclables délaissés, quand ils n'ont pas été complètement oubliés.
Outre l'emprise au sol, les voies d'accès sont saturées aux heures de pointe et les voitures coincées empêchent l'accès rapide en transport en commun ; toujours dépourvu de site propre.
Même les surfaces bâties de ces zones ne sont pas utilisées pleinement. De nombreux locaux sont vides, ou sous-utilisés.
Ces remarques, ainsi que de nombreuses critiques formulées dans les différents avis, semblent être comprises par le porteur de projet, mais il repousse leur réalisation APRES l'urbanisation de la ZAC 3.
Soyons logique, et commençons par régler le problème des mobilités, de la densification et de la non-utilisation des locaux actuels AVANT de penser à détruire notre patrimoine agricole et naturel !
Contribution n°57 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 14h45
Je ne suis pas favorable à l'extension de Technolac pourtant je suis une citoyenne active qui travaille dans le domaine du développement durable.
Aujourd'hui, il est possible de densifier les 2 premières ZAcs et le télétravail réduit le besoin en surface de bureau.
Merci à vous,
Florence
Contribution n°56 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 14h40
Niveau 0 pour les parkings (voire -1 si possible) et les bureaux sont au-dessus.
Qu'en est-il des transports en commun à haute fréquence pour cette zone ? Des pistes cyclables en site propre ?
Qu'en est-il de l'utilisation des locaux actuellement existants ?
La préservation de terres agricoles en proche périphérie n'est pas négociable pour une telle extension.
Cordialement.
Contribution n°55 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 14h33