Contribution n°54 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 14h23
Contribution n°53 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 14h10
D'autres projets ont été proposés et devraient être considérés par les élus. Pourquoi ne pas faire une convention citoyenne locale sur ce projet, pour convier l'ensemble des parties prenantes, dont les citoyen.ne.s autour de la table et essayer de trouver une solution de compromis ? Nous sommes dans une période générale de déni de démocratie, donc ce serait tout à l'honneur des élus locaux de faire le pari de la co-construction intelligente.
Contribution n°52 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 13h41
Contribution n°51 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 12h34
Ensuite, car ces terres agricoles sont très utiles pour l’agglomération de Grand Chambéry (ces terres se trouvent sur la commune de la Motte-Servolex) : l’agglomération est à moins de 50% de son autonomie alimentaire.
De plus, l’écosystème du sol est totalement détruit après bétonisation et il faut des décennies pour qu’il retrouve un fonctionnement normal après avoir enlevé la dalle.
Il est donc vital pour les générations futures de préserver ces terres qui les nourriront surtout que la croissance de la population continuera au moins jusqu’en 2050, selon les modèles démographiques.
D’autres parts, les zones agricoles visées par le projet contiennent des zones humides et des corridors écologiques très importants pour la biodiversité du site. En aucun cas ce sont des zones « sans vie ».
Contribution n°50 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 12h27
Contribution n°49 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 12h15
Pourquoi la résilience alimentaire ne se retrouve pas dans le DICRIM, de même que la protection d'eau potable ?
Sans cela, comment prendre en compte ces aspects dans le projet actuel ?
Augmenter les émissions de gaz à effet de serre : La collectivité fait-elle des relevés des types de pollution sur l’agglomération ? Existe-t-il une analyse des relations entre décès et pollutions sur le secteur ?
Là aussi, les collectivités locales sont -elles éclairées sur les impacts réels du projet ?
Imperméabiliser irrémédiablement des sols - Détruire la biodiversité
La vie existe-t-elle sur le goudron, le béton ?
Les élus se souviennent-ils de ce qu'il rencontraient en terme de biodiversité lorsque étaient jeunes ?
Savent-il" simplement" ce que contient le concept de biodiversité ?
Mme, M. les commissaires, si cela vous parle en tant que personnes, pouvez-vous considérer que ces points sont des points à déclarer à reprendre en compte et à affiner avant que je prendre une décision ?
Cordialement,
JMH
Contribution n°48 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 12h13
L'artificialisation est quasi-irréversible, en pratique.
Ce projet est à l'encontre de l'ambition ZAN. Peut être qu'une compensation est prévue: or les mesures de compensation ne sont pas réalisées et quand elles le sont, c'est un pis-aller notoirement inefficace: on ne "compense" pas un écosystème qui s'est établi sur des milliers d'années, dans un biotope différent. Il est crucial d'aller vers une "Zéro Artificialisation Brute" (cf Bihouix, Jandet, Selva, in La Ville Stationnaire) dont le diagnostic est imparable.
L'ensemble de la région de plus en plus massacré par ces édifices dont la laideur fera honte dans quelques années.
Ces espaces sont rapidement délaissés quand leur architecture devient désuète, et d'autres sont alors construits. C'est le cas ici. Il faut rompre cette chaîne.
L'essoufflement de la croissance est indifférent aux perfusions de ce type (), dont le coût environnemental disqualifie de toutes façons cette tentative de conjurer le sort.
Ce projet n'est compatible qu'avec le projet écologique du RN et de LR. Il est incompatible avec les ambitions environnementales affichées de tous les autres partis. Or les politiques RN/LR sont notoirement écocides, comme en témoigne sans ambiguité l'analyse fine des programmes établie par le RAC.
C'est un projet anachronique, au coût environnemental exorbitant, pour un gain social éphémère et mineur.
Je suis absolument contre le déploiement de Technolac3.
Contribution n°47 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 12h08
Contribution n°46 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 11h07
Le contexte actuel du changement climatique doit nous obliger à repenser nos modes d'utilisation des espaces/
Aussi, je suis fondamentalement opposé au projet ZAC 3 de technoloac, qui va artificialiser 21 ha de terres agricoles, terres qu'il faut conserver à l'etat agricoles afin de :
- limiter l'artificialisation des sol et ses impacts: moindre infiltration des eaux de pluies, ilots de chaleur urbains...
- conserver de zones de productions agricoles à proximité directe de Chambery, afin d'améliorer la résilience du territoire
- limiter l'érosion de la biodiversité
Par ailleurs, la loi ZAN devrait agir comme un garde fou afin d'arrêter dès à présent ce type de projet d'extension de zones d'activités.
Il existe d'autres solutions pour répondre aux besoins sur la zone (densification...), et une concertation citoyenne de grande ampleur est indispensable pour définir les solutions les plus à même de répondre aux différents besoins du territoire.
Contribution n°45 (Web)
Déposée le 21 juin 2024 à 11h02
Il n'est donc pas concevable que des zones cultivables soient artificialisées au détriment d'une capacité à produire localement et durablement. En soutenant les agriculteurs locaux, nous dynamisons l'économie régionale tout en renforçant notre sécurité alimentaire.
Au lieu d'étendre l'urbanisation sur de nouvelles terres (inondables de surcroit), nous devons optimiser l'utilisation des zones actuelles comme la ZAC 1 et la ZAC 2. Il serait judicieux dans un premier temps d'occuper les nombreux bureaux qui sont vides. Et si ce n'est pas possible, il faut envisager la mise en place de nouveau modes de transports pour acheminer les habitués de Technolac (transports par câble, tramways, écomobilité,...) dans une zone où les différentes voies d'accès sont en tension quotidienne en semaine, voire même en bouchons matins et soirs. Dans le pire des cas, si un aménagement des transports n'est pas envisageables, alors il reste la possibilité de raser des bâtiments inoccupés pour construire des parkings sur plusieurs niveaux.
Le développement agricole durable à Grand Chambéry est une priorité qui nécessite la protection des terres agricoles, le soutien aux agriculteurs locaux, l'optimisation des zones existantes.
En adoptant ces mesures, nous pouvons garantir un avenir prospère et durable pour notre territoire, où l'agriculture joue un rôle central dans notre économie et notre sécurité alimentaire.