Les contributions

Contribution n°144 (Web)

Par PONCET Anne-Marie
Déposée le 27 juin 2024 à 14h27
L'engagement envers la préservation de notre territoire et la promotion d'une gestion durable des ressources est un combat que je [...]
L'engagement envers la préservation de notre territoire et la promotion d'une gestion durable des ressources est un combat que je soutiens fermement. La Loi Zéro Artificialisation Nette et les Accords de Paris sur le climat sont des références cruciales qui guident mes convictions. Je m'oppose résolument à l'artificialisation des terres agricoles de haute qualité, surtout quand l'autonomie alimentaire de régions comme Grand Chambéry est loin d'être atteinte. La biodiversité est une richesse inestimable, et je refuse de voir des zones naturelles et des zones humides sacrifiées pour des développements à courte vue.
Je plaide pour une valorisation de l'agriculture, non seulement comme pilier de l'économie locale mais aussi comme garant de notre autosuffisance alimentaire. L'optimisation de la zone actuelle, avec des projets tels que Zac 1 et Zac 2, doit se faire dans le respect de l'environnement et avec une vision à long terme, intégrant des solutions de mobilité durable et une densification réfléchie. Enfin, je suis convaincu que l'avenir de notre territoire passe par une participation active des citoyens, à travers des conventions citoyennes locales, pour que chaque voix soit entendue et que chaque décision soit le reflet d'une volonté collective.
Étant à proximité du Lac du Bourget, encadré par la loi littorale, les projets d’urbanisation ont une réglementation particulière visant à protéger les zones naturelles et le paysage. Des projets de grandes envergures sont trop destructeurs.
Vu l'intitulé de la présente concertation évoquant une « évolution du PLUi-HD pour la réalisation de la ZAC 3 Savoie Technolac », il est difficile d'identifier si cette « évolution » correspond bien à un projet de « modification » ou de « révision » du PLUi-HD, nécessaire à la poursuite d'un aménagement qui – aujourd'hui - ne me semble pas indispensable pour la collectivité, voire même nocif en regard de la nécessité de conserver les zones naturelles et agricoles à proximité des villes.
Selon l'article 5 du règlement de la zone 2AU : « les projets ne doivent pas porter atteinte au caractère ou à l'intérêt des lieux avoisinants, aux sites, aux paysages naturels ou urbains ainsi qu'à la conservation des perspectives environumentales ».
Un aménagement de cette zone porterait atteinte aux sites et aux paysages naturels et ce projet lié à l'extension de Savoie Technolac, se ferait au détriment de la nature et des agriculteurs en place.
Selon l''article 6 : Dans les secteurs de zones humides sont généralement interdits : « toute nouvelle construction, extension de construction existante et imperméabilisation ; tout exhaussement et affouillement de sol ; tout nouvel aménagement conduisant au drainage des sols ; tout aménagement susceptible d'altérer le caractère de zone humide ». Je ne vois aucune justification pour une dérogation acceptable.
Biodiversité
Les inventaires réalisés ont mis en évidence la présence de 97 espèces animales au droit de la zone d’étude et en périphérie immédiate dont 62 sont potentiellement impactées par le projet et font donc l’objet de la dérogation à la protection des espèces ».
Une demande de dérogation au régime de protection des espèces autorisant la destruction d’individus et l’altération ou dégradation de leurs milieux particuliers mènerait à une grave atteinte au paysage et à la biodiversité faunistique. Les mesures compensatoires proposées ne nous semblent à pas à la hauteur des enjeux du territoire du Grand Chambéry.
La Loi « Climat et résilience » aborde de nombreux sujets, dont la consommation et l’alimentation, le travail et les déplacements, le logement et la protection juridique de l’environnement et « L’artificialisation des sols, conséquence directe de l’extension urbaine et de la construction de nouveaux habitats en périphérie des villes, est aujourd’hui l’une des causes premières du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité. Le gouvernement souhaite protéger ces espaces naturels, en instaurant l’objectif de “zéro artificialisation nette” prévu par le Plan Biodiversité, et travailler avec les collectivités pour repenser l'aménagement urbain et réduire efficacement l’artificialisation des sols …
Réduction de la capacité des terres agricoles à nous nourrir : l’artificialisation entraîne une perte de productivité agricole et limite la production alimentaire de nos territoires... »
Ce projet de rendre définitivement urbanisable cette zone naturelle et agricole est contradictoire avec les accords de Paris 2015 sur le climat, la «Loi Climat et résilience » et avec les objectifs gouvernementaux de « zéro artificialisation nette des sols ».
Il ne tient pas compte d’une nouvelle pression exercée sur la ressource en eau.
Il est également contraire aux objectifs affichés par la commune de La Motte-Servolex, qui s'est engagée à « préserver le rôle majeur des espaces naturels et agricoles », avec notamment la préservation et la reconstitution de la continuité des trames vertes et bleues, la plantation de haies, des refuges de biodiversités, des ilots de senescence.... Cette orientation lui a valu de recevoir le label « Territoire engagée pour la nature » de la part de l'Office français de la Biodiversité... Une telle évolution mettrait à mal tout cet engagement et ce travail pour les générations futures !
La fertilité des terrains agricoles installés sur les dépôts limoneux du lac et de la Leysse en font les meilleures terres agricole de la zone Grand Chambéry, hors toutes les zones industrielles et commerciales de l'agglomération, ainsi que les ZAC 1 et 2 de Technolac, se sont déjà installées sur les meilleures terres agricoles du territoire, ce qui – du point de vue alimentaire rend notre territoire particulièrement dépendant, avec une faible possibilité d'approvisionnement local, notamment en légumes et en céréales.
Nous donnons un avis très défavorable à toute « évolution » du PLUi-HD lui donnerait la possibilité de rendre les sols définitivement artificialisés, donc impropres à une évolution naturelle et à toute pratique agricole bio et durable.
Outre l'aspect environnemental qui fait parti de notre patrimoine vivant et notre cadre de vie de qualité, je souhaite qu'à travers l'abandon du projet, un pas soit fait vers une meilleure sécurité alimentaire de notre territoire.
Alternatives :
- Des bâtiments entiers sont vides dans la ZAC 1 de Savoie Technolac - tels ceux laissés par EDF en 2019 - pourquoi ne pas les réutiliser plutôt que de continuer à aménager de précieuses zones naturelles et agricoles ?
- De nombreux zones parkings déjà artificialisés, pourraient aussi être réutilisées avec la construction de "tours de parkings". Les voies d'accès à Technolac sont déjà trop encombrées, notamment aux heures de pointes. Un soutien à un développement des cadences de transports en communs et d'alternatives de mobilités douces pourraient aussi diminuer grandement le besoin de places parkings.
Tout en conservant la zone humide identifiée sur 3,2 ha dans la partie N-E de la zone, les terrains agricoles seraient certainement favorables à du maraîchage.

Contribution n°143 (Web)

Anonyme
Déposée le 27 juin 2024 à 14h18
Aujourd'hui des bâtiment sont vides sur le Technolac existant, et les espaces sont structurés selon la logique de l'époque. Avant [...]
Aujourd'hui des bâtiment sont vides sur le Technolac existant, et les espaces sont structurés selon la logique de l'époque. Avant de construire une zone en plus, il est illogique de ne pas d'abord optimiser les espace existants, que ce soit les bâtiments ou les stationnements, quitte à les réorganiser. Le décret tertiaire promeut la réduction rapide des consommations des bâtiments, il devrait en être de même avec la réduction de l'artificialisation des sol. Le territoire a un object de zéro artificialisation nette d'ici 2050. Ces constructions seront un poids conséquent dans l'effort à fournir par les générations à venir. Ne soyons pas égoïste et pensons global, et dans les sens des directions actuelles. L'aspect trafic routier n'est également pas à négliger : en augmentant le nombre de bâtiment, cela créera des embouteillages supplémentaires, ce qui mécontentera les usagers, à moins de travaux conséquents également sur les routes, et donc le budget associé. Pour finir, les terres alentours sont des terres cultivables remarquables, et il serait inadapté, dans la direction que prend le monde aujourd'hui, de les supprimer pour ne pas les remplacer... A l'heure ou le monde change, il est temps de se poser les bonnes questions. Certains doivent-ils gagner encore et toujours plus d'argent, ou bien quelques uns peuvent ils promouvoir de manière exemplaire et reproductible, une alternative au développement urbain/tertiaire massif ?

Contribution n°142 (Web)

Par Josie
Déposée le 27 juin 2024 à 12h50
Notre planète et le vivant sont saturés de béton
Comment pouvoir nous nourrir avec le grignotage continue des terres agricoles faudra [...]
Notre planète et le vivant sont saturés de béton
Comment pouvoir nous nourrir avec le grignotage continue des terres agricoles faudra t il être complètement dependant des importations des voisins avec le coût inerant à ce trafic pollution comprise
Nous voulons accéder à une alimentation saine et accessible financièrement pour tous

Contribution n°141 (Web)

Par Defrance Guillaume
Déposée le 27 juin 2024 à 11h48
Ce projet nous ressert la mythologie "silicon valley" (formation, recherche et entreprises d’innovation, échanges et coopérations [...]
Ce projet nous ressert la mythologie "silicon valley" (formation, recherche et entreprises d’innovation, échanges et coopérations pour favoriser l’innovation... pôles de compétitivité, clusters d’envergure internationale... STOP ! Qui croît encore votre baratin qui vous sert de justificatif à chaque destruction définitive de notre environnement et de celui de nos enfants ? Alors qu'un choc climatique majeur est en train de se produire, les adeptes du profit financier à court terme poursuivent un modèle dépassé, qui a quarante années de retard. Vous voulez favoriser l'innovation sur le Technolac ? Arrêtez d'artificialiser définitivement les sols. Créez des lieux de travail qui soient d'abord des lieux de vie, pour les hommes et les femmes, mais aussi pour la biodiversité. Réintégrer la nature dans nos nos vies et nos espaces de travail. Où sont les infrastructures vertueuses écologiquement permettant l'accès à un Technolac repensé, densifié plutôt qu'étendu par les destructions de zones agricoles qui sont autant d'opportunités ratés de bâtir un futur différent (zones aménagées partagées, biodiversités protégées, jardins partagés et maraîchage école, ce que les citoyen.ne.s qui y vivent et y travaillent décideront collectivement si ils et elles en ont l'opportunité...). Concentrez-vous plutôt sur les tramways, les téléphériques, les trains et les voies ferrées, les pistes piétonnes et vélos, les infrastructures qui permettraient de venir au Technolac sans subir l'agression des bagnoles et de leurs conducteurs énervés par la saturation du trafic aux heures de boulot. Arrêtez de pourrir notre environnement avec de tels projets archaïques et écoutez nous...

Contribution n°140 (Web)

Par Gallice Aurélien
Déposée le 26 juin 2024 à 22h31
Je souhaite faire part de mon opposition au projet d'agrandissement de la ZAC de Technolac. En se faisant au détriment de terres arables, [...]
Je souhaite faire part de mon opposition au projet d'agrandissement de la ZAC de Technolac. En se faisant au détriment de terres arables, ce projet est manifestement incompatible avec le renforcement de l'autonomie alimentaire du territoire et reste sur une version court-termiste.

Contribution n°139 (Web)

Anonyme
Déposée le 26 juin 2024 à 21h50
Bonjour,
je prends la parole en tant qu'employé sur le site de Technolac à l'époque de ce que l'on n'appelait pas encore la "ZAC 1". [...]
Bonjour,
je prends la parole en tant qu'employé sur le site de Technolac à l'époque de ce que l'on n'appelait pas encore la "ZAC 1". J'ai donc vu apparaître la "ZAC-2" et son cortège d'inconvénients : saturation du réseau routier, des transports en communs aux heures de pointe, et augmentation du trafic sur la piste cyclable faisant regretter les premiers moments. On nous propose ici la "ZAC 3", qui va encore rajouter à ces inconvénients, et qui ne propose aucune solution (ni sur le réseau routier, ni sur le dédoublement de la piste cyclable, quant aux transports en communs : comment va-t-on imposer aux sociétés de transport l'achat de nouveaux bus "articulés" pour renforcer ceux qui roulent déjà, pour ne s'en servir qu'aux heures de pointe, le reste du temps, les bus circulant à vide ou presque (j'ai plus que des doutes sur la rentabilité de l'opération)).
La seule justification qui semble motiver ce projet c'est l'éternel "business" qui ne peut être basé que sur l'expansion, alors que ce fond de vallée possède une surface finie et limité (tout comme la planète d'ailleurs). Pour continuer sur cette parenthèse planétaire, on peut remarquer qu'à ce niveau, ce modèle expansionniste conduit à des crises économiques de plus en plus fréquentes (1929 / 1987 / 2008 / 2020, encore que la dernière aura surtout montré comment le système est fragile à la moindre pandémie, donc au moindre dérèglement). Bref, il serait peut-être temps d'arrêter l'expansion pour le plaisir de l'expansion et de repenser les choses.
Ceci m'amène à la troisième partie de mon intervention. Les crises successives amènent à devoir reconsidérer notre dépendance et à revenir à un minimum d'autarcie. Dans ce contexte, pourquoi se priver des terres cultivables de bonne qualité : à la fois de par la nature du sol et de par le fond plat de la vallée à l'endroit de la "ZAC-3" projetée, plus facile à cultiver avec les engins que les zones pentues ? Le bassin chambéro-aixois est déjà très déficitaire au niveau de son auto-alimentation par les cultures avoisinantes : pourquoi aggraver cet état de fait ? Le fond plat de la vallée est déjà utilisé pour les cultures céréalières (maïs, blé, ...). Continuons et renforçons même cet état. Cela évitera un investissement hasardeux dans un système "business" qui paraît à bout de souffle et de moins en moins viable. De la nourriture, nous en avons toujours eu besoin et nous en aurons toujours besoin.
Voilà. En vous remerciant pour l'attention que vous consacrerez à cette contribution.
Avec mes meilleures salutations.

Contribution n°138 (Web)

Par Poulenard
Déposée le 26 juin 2024 à 20h24
Je participe à cette enquête publique à deux titres :
- je travaille à technolac depuis 20 ans et j'ai suivi son évolution
- je suis [...]
Je participe à cette enquête publique à deux titres :
- je travaille à technolac depuis 20 ans et j'ai suivi son évolution
- je suis écologue, spécialiste des sols et je connais bien les sols de cette zone pour présenter la diversité pédologique du site aux étudiants chaque année

Il est évident que le site visé ne présente pas une biodiversité particulièrement remarquable mais il est le bon représentant de site à biodiversité ordinaire ou les sols produisent une série de services écosystémiques fondamentalement nécessaire aux multiples régulations (hydrique, biogéochimique, biologique) clé d'un territoire.
C'est un site commun mais nécessaire au maillage d'espaces non-artificialisé d'un espace particulièrement soumis à d'innombrables pressions anthropiques et à des changements d'usages des sols massifs depuis 25 ans. Il est grand temps de cesser cette phase d'asphaltisation.
Ce n'est clairement pas ici la présence d'une espèce protégée qui justifierais au titre de la réglementation l'arrêt de ce projet mais les fonctions et les services écosystèmiques de cet espace. Il s'agit alors d'aller au-delà du réglementaire pour s'interroger sur le rapport coût/bénéfice de cette asphaltisation massive. Ce rapport est clairement très élevé le coût en terme de service étant très élevé (évidemment avec un raisonnement non court -termiste) et le bénéfice pour la collectivité (outre économique à très court terme) faible. Bref rien ne saurait justifier la poursuite de cette extension. La densification de la zone actuelle pourrait en revanche être envisagée mais il est maintenant nécessaire de se placer dans la perspective du ZAN en envisageant fondamentalement les sols agricoles, forestiers comme un bien commun et un capital collectif à défendre.
Bref un projet d'un autre temps nuisible écologiquement et à l'inutilité économique manifeste.

Contribution n°137 (Web)

Par Bock Josué
Déposée le 26 juin 2024 à 15h11
Bonjour,
Je suis opposé au projet de création de la ZAC 3 Technolac.
J'habite à proximité immédiate de cette zone, et je suis donc [...]
Bonjour,
Je suis opposé au projet de création de la ZAC 3 Technolac.
J'habite à proximité immédiate de cette zone, et je suis donc particulièrement bien informé sur sa nature (à tous les sens du terme).
- sur le plan agricole, ce sont des terres riches et fertiles, limoneuses, qu'il convient de préserver comme telles
- sur le plan de la biodiversité, ces zones humides sont un refuge et un habitat pour de nombreuses espèces. C'est également un corridor écologique unique entre les massifs de l'Epine / Mont du Chat, et le massif des Bauges, qu'il convient à tout prix de préserver et protéger. Ce corridor actuel est d'ores et déjà extrêmement restreint, et le projet de ZAC 3 viendrait encore le réduire davantage.

Au contraire de ce projet de ZAC 3, je suis favorable à la préservation d'une activité agricole sur cette zone, activité agricole dont l'intérêt économique et humain est très important. Sur le bassin chambérien, il me semble indispensable de préserver les zones agricoles , afin de maintenir voire développer l'autonomie et l'autosuffisance alimentaire de la région.

sur un plan juridique, la loi "zéro artificialisation nette" est également indispensable à respecter, et le projet de ZAC 3 ne paraît pas compatible avec cela. A contrario, il semble possible de densifier l'actuel technolac, sans artificialiser plus de surface, mais simplement en repensant l'utilisation des espaces déjà bâtis pour optimiser leur utilisation.
Sur l'actuel Technolac, une surface importante est consacrée à des parkings, rendus nécessaires par l'utilisation importante de la voiture individuelle pour les déplacements. Des réflexions et des actions en faveur des transports collectifs (réouverture de la gare de Voglans ? Mise en place de navettes ?) paraît indispensable pour limiter cette utilisation des véhicules individuels. La construction de parkings à étages serait une bonne manière de maintenir le nombre de places proposées, tout en limitant l'emprise au sol des parkings.

An conclusion je m'oppose au projet de création et ZAC 3 Savoie Technolac.

Contribution n°136 (Web)

Anonyme
Déposée le 26 juin 2024 à 14h17
Les moyens de transport sont déjà insuffisants : route à débit trop faible, pas assez de places de parking, pas assez de bus.

Je [...]
Les moyens de transport sont déjà insuffisants : route à débit trop faible, pas assez de places de parking, pas assez de bus.

Je ne suis pas favorable à l’aggravation de la situation

Contribution n°135 (Web)

Anonyme
Déposée le 26 juin 2024 à 13h21
Les reseaux de transport ne sont pas adpatés à un agrandissement de la zone.

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