Les contributions

Contribution n°134 (Web)

Par Schwartzmann
Déposée le 26 juin 2024 à 12h53
Je m'oppose à ce projet.
Ces terres agricoles sont précieuses pour la production alimentaire locale, surtout dans une région comme [...]
Je m'oppose à ce projet.
Ces terres agricoles sont précieuses pour la production alimentaire locale, surtout dans une région comme la Savoie qui valorise ses produits du terroir. Il est possible de promouvoir le développement économique en réhabilitant et en revalorisant les zones déjà urbanisées, au lieu de consommer de nouvelles terres agricoles.

Je travaille dans un des derniers bâtiments construits, Andromède. Il a mis plus de 3 ans à se remplir ! Et les 1er années, de nombreux faisans, complètement déboussolés, divagué sur le parking, certains se faisant même écrasés ! Aujourd'hui, je n'en croise plus un seul...
Quant au bâtiment Supernova construit sur une zone inondable, le parking se retrouve régulièrement sous l'eau !

Sans parler de la circulation ! Pour aller sur Chambéry ou sur Aix-les bains, il y a des bouchons quasiment tous les jours en heure de pointes. Personnellement, je viens du côté de Yenne et niveau transport en commun, c'est la cata ! Le seul bus qui y passe nous dépose à l'autre bout de Technolac, avec peux d'horaires et sans abonnement le prix est vraiment abusé (mieux vaut ne pas avoir une panne de voiture qui s'éternise). Donc, pour l'heure, les transports en commun ne sont pas au point pour palier le sur-plus de voitures.

Contribution n°133 (Web)

Anonyme
Déposée le 26 juin 2024 à 11h26
Ce projet me semble positif car il permet l implantation d entreprises œuvrant pour les énergies renouvelables en remplacement d une [...]
Ce projet me semble positif car il permet l implantation d entreprises œuvrant pour les énergies renouvelables en remplacement d une culture de céréales grosse consommatrice d eau et de pesticides j ai noté que la moitié de la superficie restait en zone naturelle.
Le projet de maraîchage ne me paraît pas réaliste sur une zone polluée et alors que les agriculteurs partant en retraite ne trouvent pas de repreneurs

Contribution n°132 (Web)

Par Catherine
Déposée le 26 juin 2024 à 10h59
Il est grand temps de préserver nos terres arables et les citoyens et citoyennes qui font de la production locale. Cette fuite en [...]
Il est grand temps de préserver nos terres arables et les citoyens et citoyennes qui font de la production locale. Cette fuite en avant qui met en danger la planète doit s'arrêter.
Il est clair que toute personne informée ne peut soutenir se projet. Nous ne devons pas céder devant les lobbies qui n'ont aucun intérêt à part les leurs.

Contribution n°131 (Web)

Par Girault Camille
Déposée le 26 juin 2024 à 10h05
Le projet de ZAC 3 Savoie Technolac peut sembler justifier au regard des dynamiques économiques et de l'attractivité du site de Technolac. [...]
Le projet de ZAC 3 Savoie Technolac peut sembler justifier au regard des dynamiques économiques et de l'attractivité du site de Technolac. Cependant, il reflète des enjeux de sociétés plus profonds et pourrait être penser comme un projet de bifurcation nécessaire dans le contexte actuel de crise écologique. En effet, le projet actuel induit l'artificialisation d'une vaste zone agricole où les sols sont riches et de grande qualité. Alors que la bifurcation sociétale devrait en partie passer par des formes de reterritorialisation de la production alimentaire, il me semble fondamentale de penser un projet alternatif qui préserve ces espaces agricoles, afin de renforcer l'autonomie alimentaire de Grand Chambéry à l'échelle locale, et de contribuer à véritablement respecter les Accords de Paris et la Loi Zéro Artificialisation Nette à l'échelle nationale. Par ailleurs, cet espace non bâti et cultivé présente un intérêt certain pour les écosystèmes : il contribue à la continuité écologique, une continuité qu'il faudrait consolider et non amoindrir, notamment en limitant fortement l'assèchement des zones humides. Ce serait l'occasion de promouvoir une agriculture qui promeut la biodiversité et le respect des sols, voire de tester des formes d'agriculture novatrice, en lien avec le travail scientifique. Parmi les solutions alternatives, il semble que la zone actuellement aménagée pour être optimisée, à la fois en densifiant le bâti, en mettant en œuvre un plan de gestion des mobilités ambitieux à l'échelle de Grand Chambéry pour offrir des alternatives crédibles et massives aux déplacements automobiles. Au niveau de la démocratie locale, la participation de la population à un tel projet pourrait être renforcée via une convention citoyenne locale, en acceptant et en discutant de propositions vraiment différentes et en acceptant de sortir d'une logique strictement aménagiste.

Contribution n°130 (Web)

Par Phiippe VACHETTE
Déposée le 26 juin 2024 à 09h20
Malgré un dossier bien présenté et étudié, il s'agit là d'un dossier type des années 90 quand la transition pour gérer l'urgence climatique [...]
Malgré un dossier bien présenté et étudié, il s'agit là d'un dossier type des années 90 quand la transition pour gérer l'urgence climatique n'était pas la priorité! Heureusement, c'est un des axes majeur de Grand Chambéry et de Grand Lac et du SCOT, mais comme cette tranche III est programmée et -bien étudiée- depuis longtemps, des élus veulent la réaliser. C'est une erreur MAJEURE d'appréciation, erreur d'autant plus difficile à comprendre que des élus majeurs comme Luc BERTHOUD font un travail remarquable d'anticipation et de programmation sur de nombreux dossiers pertinents et utiles à la transition sur La Motte et sur l'agglo : on dispose de place sur Technolac en réduisant les parking, si on met en place des moyens réalistes forts pour décourager l'autosolisme (ligne de bus en site propre, abonnement étudiant à prix trés faible, parking payant à l'USMB pour ceux qui viennent seuls en voiture, prime aux co-voitureurs dans les entreprises, actions de conseil individualisé d'ECOMOBILITE dans chaque entreprise pour réduire l'autosolisme.....) On peut récupérer ainsi en deux ans, 2 ha pour faire face aux demandes des nouvelles entreprises et donc ne pas prendre sur ces terres agricoles indispensables.
Par ailleurs il faut maintenir ces terres agricoles pour notre future autonomie alimentaire et pour le fonctionnement d'un VRAI couloir écologique pour la vie animale entre Bauges et Chartreuse.
Pour toutes ces raisons VITALES, il est urgent d'abandonner cette ZAC III

Contribution n°129 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 juin 2024 à 19h27
Bonjour,
Le projet prévu impact durablement plusieurs zones :
La zone de construction zac3, avec un artificialisationdes sols. Les [...]
Bonjour,
Le projet prévu impact durablement plusieurs zones :
La zone de construction zac3, avec un artificialisationdes sols. Les projets d agricultures de proximité de Chambéry se verront contraints. Les communes environnantes perdent aussi une zone tampon importante pour les eaux pluviales en cas de fortes précipitations.
Les zones limitrophes de chambery à Aix les bains qui vont subir un flux de véhicules en augmentation, alors que la zone est déjà saturée et que le nombre de voies est contraint par la géographie.
La densification des zones existantes, complétée de poyens de transports collectif est une réponse plus cohérente aux besoins économiques. Par ailleurs, certaines entreprises peuvent aussi faire le choix de s implanter en ville (notamment tertiaire) en partenariat avec les municipalités, afin d avoir de flux de transport limité et vert (velo, bus...).
Il ne faut pas engorger une zone déjà très dense de circulation aux heures de bureau et en période touristique, ce qui engageait entrepreneurs et salarie potentiellement à s en éloigner.
Merci

Contribution n°128 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 juin 2024 à 12h06
Laissons à nos enfants une Savoie vivable... nous n'avons pas le droit de les priver d'une qualité de vie identique à la notre... [...]
Laissons à nos enfants une Savoie vivable... nous n'avons pas le droit de les priver d'une qualité de vie identique à la notre... Comment pourront ils se payer des denrées alimentaires de plus en plus inaccessibles, car venues de loin et cultivées de plus en plus difficilement en raison des changements climatiques.
Oui à notre autosuffisance alimentaire !

Et quid de la qualité des eaux du Lac du Bourget: ce n'est pas le béton d'une nouvelle ZAC qui filtrera les polluants pour nous assurer un lieu de réécréation si prisé...
Soyons sérieux...

Contribution n°127 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 juin 2024 à 12h03
Penchons-nous cette fois sur le volet économique de la chose:

je pourrais comprendre qu'on veuille redynamiser un territoire sinistré, [...]
Penchons-nous cette fois sur le volet économique de la chose:

je pourrais comprendre qu'on veuille redynamiser un territoire sinistré, touché par de forts taux de chômage etc en donnant la priorité à l'installation d'entreprises de la tech etc.

Mais il n'en est rien en Savoie, département attractif, jouissant d'une croissance régulière, et où sauf erreur de ma part, nous bénéficions de ce qu'on appelle le "plein emploi"...

Remettons les choses à leur juste place, et cessons d'être la seule espèce capable de courir à sa propre perte.
Non à l'artificialisation nette, d'espaces naturels sensibles qui plus est...

Contribution n°126 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 juin 2024 à 12h01
Je vous propose un exercice de projection : RDV dans le bassin Chambérien dans 20 ans.

Le coût de l'alimentation aura continué d'augmenter, [...]
Je vous propose un exercice de projection : RDV dans le bassin Chambérien dans 20 ans.

Le coût de l'alimentation aura continué d'augmenter, atteignant des niveaux records en raison du déséquilibre entre l'offre (production agricole en baisse, dû au manque de terres fertiles, changement climatique, pollutions, besoin de se fournir loin, etc.) et la demande (augmentation de la population).
Que penserez-vous de cette décision prise 20 ans plus tôt, de privilégier l'installation d'entreprises du domaine de l'innovation et de l'énergie, secteur dans lequel il est certes important d'investir, mais, il me semble, de façon bien moins prioritaire que dans celui de notre souveraineté/autosuffisance alimentaire ?
L’agriculture est non seulement une activité économique cruciale pour nos besoins vitaux, mais elle fait aussi partie de notre patrimoine culturel, à plus forte raison encore sur le territoire savoyard.

Contribution n°125 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 juin 2024 à 11h59
Un grand chef indien disait: "Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors [...]
Un grand chef indien disait: "Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson capturé, alors le visage pale s'apercevra que l'argent ne se mange pas..."

Au vu de l'ampleur des défis qui nous attendent... il me paraît plus qu'imprudent de bétonner une zone agricole de haute qualité, surtout dans un contexte où l’autonomie alimentaire de Grand Chambéry est inférieure à 50%. Relever ce défi de l'autosuffisance alimentaire sera d'autant plus ardu sur notre département que nous serons impactés de façon plus marquée par les changements climatiques que des territoires de plaines, moins sensibles à ces évolutions et aux événements extrêmes (source: GIEC)

Une telle décision serait aussi en désaccord avec la Loi Zéro Artificialisation Nette et les Accords de Paris 2015 sur le climat.

Je ne vous parle même pas des conséquences d'une telle artificialisation de zones naturelles, sur la biodiversité. Qui filtrera / dépolluera les eaux du Bourget quand les espèces animales et végétales ne pourront plus nous rendre tous les services environnementaux qu'elles nous rendent ? Aujourd'hui, les écosystèmes parviennent tant bien que mal à survivre grâce à un équilibre très précaire. Ne leur rendons pas la vie plus difficile...

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