Contribution n°124 (Web)
Déposée le 25 juin 2024 à 10h36
Contribution n°123 (Web)
Déposée le 25 juin 2024 à 10h34
L'extension sur la zone "Zac 3" se fera au détriment de nombreuses espèces animales et végétales vivantes sur le secteur. C'est est une zone "humide" qui est essentielle à la biodiversité et encore plus en ces périodes de sécheresse répétés qui s'amplifient d'année en année à cause du dérèglement climatique.
Les terres de la zone "Zac 3" sont des terres agricoles, qui deviennent de plus en plus rares avec l'expansion des villes. Je suis d'avis que si la zone doit être utilisée économiquement, alors autant en profiter pour redynamiser l'activité agricole de notre territoire afin de subvenir pleinement à nos besoins alimentaires, l'autosuffisance alimentaire étant un des grands enjeux d'aujourd'hui pour lutter contre le dérèglement climatique.
Dernièrement, une autre solution pourrait être de redynamiser les zones "Zac 1" et "Zac 2" plutôt que d'étendre le site TECHNOLAC sur une troisième zone.
Contribution n°122 (Web)
Déposée le 25 juin 2024 à 10h08
Contribution n°121 (Web)
Déposée le 25 juin 2024 à 08h00
Contribution n°120 (Web)
Déposée le 25 juin 2024 à 07h58
L'objectif Zéro Artificialisation Net ne peuT être atteint si nous ne revoyons pas nos modes de fonctionnement.
Commençons par utiliser/rénover l'xistant avant de se projeter dans de nouvelles constructions, analysons le besoin réel sur le territoire en tenat compte de ce qu'il est en mesure d'absorber. la situation en particulier de circulation ne laisse aucune option à ce jour à une augmentation des fréquentations de la zone.
Acceptons enfin que la priorité tant locale que régionale est l'autonomie alimentaire, les circuit court, le maintien d'un activité agricole qui elle aura à coeur de nourrir les populations
Contribution n°119 (Web)
Déposée le 25 juin 2024 à 07h43
Pour un projet qui prend en compte les déplacements afin de limiter l'usage de la voiture.
Pour un projet qui valorise les espaces et bâtiments libres existants.
Contribution n°118 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 23h59
Je suis actuellement dans le bâtiment "Dauphin".
Je constate la consommation croissante d'espaces naturels avec une stratégie qui vise à garantir une impossibilité de retour en arrière (pourquoi sinon avoir bâti les bâtiments Andromède et Supernova aussi loin de l'INES ?)
Je constate et me désole chaque jour du ballet des autosolistes.
Je constate et me désole de l'absence de véritable politique ambitieuse de développement des transports en commun. Et ne me parlez pas de bus. L'offre est ridicule et sous-dimensionnée (je le sais, je l'ai pris !).
Et vous voulez encore agrandir le site ? Avec quelles conséquences ? si ce n'est plus de bouchons, plus de pollution, plus de parkings stériles et plus de routes... qui seront encore bouchées dans quelques temps.
Pourquoi agrandir ? Alors que nombre de bâtiments sont vides (ex: EDF CIH) ou sous-occupés (post crise covid, le recours au télétravail a fortement augmenté, nos bureaux sont à moitié vides).
S'il vous plait, faites un effort d'imagination ...
Les parkings représentent une fraction conséquente de l'espace actuellement occupé. Si vous souhaitez accueillir plus d'entreprises, réduisez l'autosolisme et utilisez ces espaces !
Les terres sur lesquelles la ZAC3 envisage de se construire ne sont actuellement pas les mieux exploitées (maïs, soja, ...) mais elles ont au moins le mérite d'offrir une respiration entre les espaces urbanisés de Voglans et de Technolac. Elles nous permettent de voir encore Belledonne et la Chartreuse au loin quand on revient du travail.
Elles ont aussi une fonction d'absorption des eaux de pluie, qui sinon viendraient encore gonfler les cours d'eau lors des épisodes orageux intenses. Avec les conséquences que l'on connaît ailleurs.
Enfin, elles figurent parmi les dernières terres fertiles de la vallée qui pourraient encore héberger des alternatives nourricières, en capacité de fournir fruits et légumes localement.
Ce territoire mérite un meilleur projet.
Contribution n°117 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 22h56
Je vous prie de bien prendre en compte les nombreux avis dont le mien contre ce projet de ZAC3
Ce projet validait il y a plus de 10ans n'a plus aucun sens actuellement..
De quoi nourrirons la population du bassin Chambérien dans les prochaines années ? Pas de billet de banque me semble t il...?
Vous pouvez avoir je l'espère encore un impact décisif pour le respect de notre environnement en protégeant ces 21hectares de vivant contre la bétonisation aberrante.
L'annulation de ce projet permettrait de limiter l’imperméabilisation des sols, produire les denrées alimentaires au plus proches de la population, préserver de la biodiversité, stocker du carbone, ….
De nombreux jeunes agriculteurs rêvent de s'installer dans un projet de polyculture élevage qui réenchanterait le lieux et rassemblerait les habitants
Des entreprises souhaitent cette extension, alors même que de nombreux locaux sont vides sur les zones déjà urbanisées (ZAC 1 et 2), et qu’existent de nombreuses possibilités de densification.
Il est temps d’arrêter ce gaspillage de surfaces agricoles dont nous aurons besoin !
Merci de mener à bien votre mission !
Contribution n°116 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 22h06
Contribution n°115 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 21h42
Je suis en accord avec de nombreuses contributions déjà bien argumentées.
L'objectif Zero Artificialisation Net ne peux être atteint si nous ne revoyons pas nos modes de reflexion. Sur le territoire de nombreuses solutions sont possibles pour accueillir de nouvelles activités sans artificialiser des sols agricoles ou naturels. Une fois betonné/bitumé il est très difficile et couteux de retrouver un état écologique compatible avec des milieux naturels et de l'agriculture. Des alternatives doivent être proposées: locaux vides a rehabiliter, developpement des transports en commun casi inexistant depuis Aix ou Bissy/La Motte permettant de reduire le nombre de vehicules, decongestionner l'accès et liberer des zones de parking à technolac, Voglans ou les Landiers par exemple, pour de nouveaux batiments (si jugé necessaire après une remise à plat des études préalables). Soyons serieux, il s'agit de l'avenir de nos terres encore fertiles et de notre résilience alimentaire et climatique.