Contribution n°457 (Web)
Anonyme
Déposée le 28 juin 2024 à 13h28
Déposée le 28 juin 2024 à 13h28
Pourquoi abimer notre si belle campagne. Je m'oppose au projet éolien.
Contribution n°456 (Web)
Par Hélène Coppin
Déposée le 28 juin 2024 à 11h52
Déposée le 28 juin 2024 à 11h52
Une enquête publique a eu lieu en 2020. Qui pourrait prétendre honnêtement que l’avis des riverains ait changé ? La conscience que nous avons des risques et pollutions liés à l’éolien terrestre, elle, a crû. A l’heure où la France bouillonne et où grandit le clivage entre Paris, ses élites éloignées des réalités, et la Province, victime de décisions qu’elle vit mal, est-il raisonnable d’avaliser ce que nous vivons déjà, ici, comme un déni de démocratie ?
Tirons un trait définitif sur ce projet ! C’est urgent.
Tirons un trait définitif sur ce projet ! C’est urgent.
Contribution n°455 (Web)
Par Association St Didier Environnement
Déposée le 28 juin 2024 à 11h36
Déposée le 28 juin 2024 à 11h36
La commune de Bransat se trouve sur un couloir de migration. Il est bon, qui plus est, de rappeler la présence avérée de milans royaux, espèce protégée, particulièrement menacée par les hautes éoliennes. L’obtention d’une dérogation « espèces protégées », nous paraîtrait improbable tant elle serait incompatible avec la survie de cette espèce localement, comme à celle d’autres, chiroptères en particulier. Le sachant, le promoteur éolien n’a pas risqué un refus de dérogation. Ceci, en soi, suffit au préfet à refuser les autorisations nécessaires à la réalisation du projet.
Contribution n°454 (Web)
Par de GARDELLE Bertrand
Déposée le 28 juin 2024 à 11h05
Déposée le 28 juin 2024 à 11h05
NON AUX EOLIENNES incidences de sa technologie aux nombreux motifs :
- non utilisable et non pilotable selon les caprices du vent
- doublage du réseau en raison du transport d'électricité liè à l'éparpillement des lieux de production
- dépendance au niveau des approvisionnements étrangers en terme de turbines, pales et autres
- inutile en cas d'aléas climatiques : en cas de vents forts ou de gels les éoliennes sont arrêtées pour éviter la casse alors que c'est pendant ces périodes où nous avons le plus besoin d'énergie
- non utilisable et non pilotable selon les caprices du vent
- doublage du réseau en raison du transport d'électricité liè à l'éparpillement des lieux de production
- dépendance au niveau des approvisionnements étrangers en terme de turbines, pales et autres
- inutile en cas d'aléas climatiques : en cas de vents forts ou de gels les éoliennes sont arrêtées pour éviter la casse alors que c'est pendant ces périodes où nous avons le plus besoin d'énergie
Contribution n°453 (Web)
Par NOYANT-AIR
Déposée le 28 juin 2024 à 11h02
Déposée le 28 juin 2024 à 11h02
Messieurs les Commissaires Enquêteurs,
Nous sommes face à un déni de démocratie où l’on fait fi de l’inacceptabilité du projet par la population et de la destruction des paysages.
Après Bransat 1, la série continue avec Bransat 2, un feuilleton horrible pour tous les habitants de Bransat, des villages environnants et du département de l’Allier.
Les adhérents de Noyant-Air, (association créée il y a quelques années pour la sauvegarde de notre environnement sur les communes de la Com Com du Bocage Bourbonnais ), sont tous très soucieux de l’avenir du département de l’Allier, de la beauté de nos collines, de nos paysages bocagers qui nous donnent cette spécificité, très recherchés par le tourisme « vert », toujours émerveillé de parcourir nos contrées encore préservées et souvent « sauvages » comme ils aiment à le répéter.
On le sait, on le voit dans le Nord de la France, dans le Grand Est, etc … : quand un parc éolien est installé, d’autres suivent ! Un chapelet de mâts de 200 m de haut (voire plus) verra le jour si nous ne vous alertons pas !
Il est à noter que la démocratie n’est pas respectée, puisque plus de 1300 contributions ont dit NON au projet éolien Bransat 1 et dans le lot bon nombre d’élus de communes, communautés de communes, du département et députés, se sont exprimés.
Dans l’étude de ce dossier Bransat 2, on observe que le promoteur enlève 2 éoliennes et diminue leur hauteur pour les ramener à 200 m. En quoi cela va-t-il changer pour les habitants, les oiseaux, les chiroptères, les petites bêtes et insectes des zones humides ? RIEN NE CHANGERA !
Le bruit sera présent, sauf si le promoteur applique ce que nous demandons depuis 2017, c’est-à-dire de mettre la distance entre une éolienne et une habitation à 10 fois la hauteur de l’éolienne pales comprises, soit 2 kms puisque les éoliennes ont une hauteur de 200 m dans le cas présent.
On le sait, on le voit : les régions du Nord et du Grand Est de la France sont envahies de ces aérogénérateurs, les villages sont encerclés. Les habitants sont désemparés, les élus ont créé une SOUFFRANCE que personne n’a vu venir. Peut-on résoudre le bruit ? NON. Proches de nous, les habitants de Quinssaines et des Noës (42) témoignent de leur souffrance quotidienne.
Quelques témoignages recueillis dans le journal La Montagne, publiés le 11/01/2024 :
« Ce n’est pas un petit bruit. C’est gênant, il y a de quoi péter un boulon ! Cà nous bouche une oreille. On ressent une pression acoustique ». Témoignage de Aurélien, un Angevin qui vit à quelques kms d’un parc éolien. Aurélien insiste sur la pression sur le tympan : « c’est comme si on plongeait à 4 mètres » - « çà nous réveille la nuit » ajoute Lucie sa compagne. Lorsque les élus s’engagent dans de tels projets : ont-ils vraiment conscience de cette souffrance à venir ? Nous pensons que non mais alors pourquoi s’obstiner et fermer les yeux alors que de plus en plus de témoignages affluent sur le sujet ?
Le heurt des oiseaux, des chiroptères avec les éoliennes. En quoi cela va-t-il changer pour eux, d’avoir diminuer la hauteur et le nombre d’éoliennes ? RIEN NE CHANGERA !
Les pales tourneront toujours à une vitesse de 300 km /h et le risque de heurt sera toujours présent.
Il est à noter que le Grand Duc d’Europe a été recensé à proximité du projet. Pour ce Grand Duc d’Europe, la loi préconise, entre autre, de ne pas le perturber intentionnellement, de ne pas détruire, altérer et dégrader son milieu. Or, nous constatons que les éoliennes sont à moins de 200 m des haies, milieu où justement cet oiseau chasse et se cache le jour. En général, les oiseaux ont besoins de deux choses : de la nourriture et de la protection.
L’homme est devenu leur principal prédateur, surtout quand il implante des éoliennes à proximité de leur lieu de vie.
Le besoin en énergie pour la France.
Dans son livre, « L’étrange débâcle », Henri Proglio, ancien Directeur Général d’EDF, nous explique qu’avec les centrales nucléaires, la France produisait de l’énergie au coût de production. Elle était autonome, indépendante et exportatrice d’électricité. Tout cela permettait d’avoir une compétitivité économique. Le service public d’électricité permettait à tous de s’éclairer, de se chauffer, de produire décemment, ce qui n’est plus le cas depuis l’abandon voulu du nucléaire au profit des énergies renouvelables. Il nous suffit de voir dans nos villages Bourbonnais, les épiceries et les bars ouverts qu’une demi-journée par jour ; les boulangers nous disent qu’ils ne peuvent faire qu’une fournée de pain par jour et toujours pour la même cause ; le coût trop élevé de l’électricité.
La voilà la vérité ! Celle que nous subissons quotidiennement et non celle exposée par le promoteur.
La dégradation de notre environnement.
Encore une fois, le promoteur minimise les incidences, les impacts sonores et paysagers. Les éoliennes sont présentées comme des allumettes sur les photos mais la réalité est toute autre. Souvent les élus se rendent compte trop tard du mensonge des promoteurs. Les nuisances visuelles, sont elles aussi, bien réelles. Ces monstres d’acier sont prégnants, souvent pour les villages voisins, ceux dont les élus ont refusé le projet.
Une injustice, une autre forme de souffrance, celle de voir la démocratie bafouée et piétinée.
Nous avons également relevé que le promoteur fait régulièrement référence à des documents obsolètes comme le SRCAE et SRE annulés pour cause de non prise en compte des paysages.
Pour ces raisons et bien d’autres reprises, à juste titre, dans bon nombre d’observations déposées en opposition à ce projet, l’association Noyant-Air donne évidemment un avis DEFAVORABLE à ce projet éolien BRANSAT 2.
Cordialement,
Le Président de l’association
René CORDIER
Nous sommes face à un déni de démocratie où l’on fait fi de l’inacceptabilité du projet par la population et de la destruction des paysages.
Après Bransat 1, la série continue avec Bransat 2, un feuilleton horrible pour tous les habitants de Bransat, des villages environnants et du département de l’Allier.
Les adhérents de Noyant-Air, (association créée il y a quelques années pour la sauvegarde de notre environnement sur les communes de la Com Com du Bocage Bourbonnais ), sont tous très soucieux de l’avenir du département de l’Allier, de la beauté de nos collines, de nos paysages bocagers qui nous donnent cette spécificité, très recherchés par le tourisme « vert », toujours émerveillé de parcourir nos contrées encore préservées et souvent « sauvages » comme ils aiment à le répéter.
On le sait, on le voit dans le Nord de la France, dans le Grand Est, etc … : quand un parc éolien est installé, d’autres suivent ! Un chapelet de mâts de 200 m de haut (voire plus) verra le jour si nous ne vous alertons pas !
Il est à noter que la démocratie n’est pas respectée, puisque plus de 1300 contributions ont dit NON au projet éolien Bransat 1 et dans le lot bon nombre d’élus de communes, communautés de communes, du département et députés, se sont exprimés.
Dans l’étude de ce dossier Bransat 2, on observe que le promoteur enlève 2 éoliennes et diminue leur hauteur pour les ramener à 200 m. En quoi cela va-t-il changer pour les habitants, les oiseaux, les chiroptères, les petites bêtes et insectes des zones humides ? RIEN NE CHANGERA !
Le bruit sera présent, sauf si le promoteur applique ce que nous demandons depuis 2017, c’est-à-dire de mettre la distance entre une éolienne et une habitation à 10 fois la hauteur de l’éolienne pales comprises, soit 2 kms puisque les éoliennes ont une hauteur de 200 m dans le cas présent.
On le sait, on le voit : les régions du Nord et du Grand Est de la France sont envahies de ces aérogénérateurs, les villages sont encerclés. Les habitants sont désemparés, les élus ont créé une SOUFFRANCE que personne n’a vu venir. Peut-on résoudre le bruit ? NON. Proches de nous, les habitants de Quinssaines et des Noës (42) témoignent de leur souffrance quotidienne.
Quelques témoignages recueillis dans le journal La Montagne, publiés le 11/01/2024 :
« Ce n’est pas un petit bruit. C’est gênant, il y a de quoi péter un boulon ! Cà nous bouche une oreille. On ressent une pression acoustique ». Témoignage de Aurélien, un Angevin qui vit à quelques kms d’un parc éolien. Aurélien insiste sur la pression sur le tympan : « c’est comme si on plongeait à 4 mètres » - « çà nous réveille la nuit » ajoute Lucie sa compagne. Lorsque les élus s’engagent dans de tels projets : ont-ils vraiment conscience de cette souffrance à venir ? Nous pensons que non mais alors pourquoi s’obstiner et fermer les yeux alors que de plus en plus de témoignages affluent sur le sujet ?
Le heurt des oiseaux, des chiroptères avec les éoliennes. En quoi cela va-t-il changer pour eux, d’avoir diminuer la hauteur et le nombre d’éoliennes ? RIEN NE CHANGERA !
Les pales tourneront toujours à une vitesse de 300 km /h et le risque de heurt sera toujours présent.
Il est à noter que le Grand Duc d’Europe a été recensé à proximité du projet. Pour ce Grand Duc d’Europe, la loi préconise, entre autre, de ne pas le perturber intentionnellement, de ne pas détruire, altérer et dégrader son milieu. Or, nous constatons que les éoliennes sont à moins de 200 m des haies, milieu où justement cet oiseau chasse et se cache le jour. En général, les oiseaux ont besoins de deux choses : de la nourriture et de la protection.
L’homme est devenu leur principal prédateur, surtout quand il implante des éoliennes à proximité de leur lieu de vie.
Le besoin en énergie pour la France.
Dans son livre, « L’étrange débâcle », Henri Proglio, ancien Directeur Général d’EDF, nous explique qu’avec les centrales nucléaires, la France produisait de l’énergie au coût de production. Elle était autonome, indépendante et exportatrice d’électricité. Tout cela permettait d’avoir une compétitivité économique. Le service public d’électricité permettait à tous de s’éclairer, de se chauffer, de produire décemment, ce qui n’est plus le cas depuis l’abandon voulu du nucléaire au profit des énergies renouvelables. Il nous suffit de voir dans nos villages Bourbonnais, les épiceries et les bars ouverts qu’une demi-journée par jour ; les boulangers nous disent qu’ils ne peuvent faire qu’une fournée de pain par jour et toujours pour la même cause ; le coût trop élevé de l’électricité.
La voilà la vérité ! Celle que nous subissons quotidiennement et non celle exposée par le promoteur.
La dégradation de notre environnement.
Encore une fois, le promoteur minimise les incidences, les impacts sonores et paysagers. Les éoliennes sont présentées comme des allumettes sur les photos mais la réalité est toute autre. Souvent les élus se rendent compte trop tard du mensonge des promoteurs. Les nuisances visuelles, sont elles aussi, bien réelles. Ces monstres d’acier sont prégnants, souvent pour les villages voisins, ceux dont les élus ont refusé le projet.
Une injustice, une autre forme de souffrance, celle de voir la démocratie bafouée et piétinée.
Nous avons également relevé que le promoteur fait régulièrement référence à des documents obsolètes comme le SRCAE et SRE annulés pour cause de non prise en compte des paysages.
Pour ces raisons et bien d’autres reprises, à juste titre, dans bon nombre d’observations déposées en opposition à ce projet, l’association Noyant-Air donne évidemment un avis DEFAVORABLE à ce projet éolien BRANSAT 2.
Cordialement,
Le Président de l’association
René CORDIER
Contribution n°452 (Web)
Par de GARDELLE
Déposée le 28 juin 2024 à 10h58
Déposée le 28 juin 2024 à 10h58
NON AUX EOLIENNES / nuisances pour les riverains pour les motifs suivants :
- bruits entêtants : moteur en fond sonore et sifflements persistants
- acouphènes : invasion de maux de tête
- insomnies
- troubles du comportement
- projections de pales et du rotor en cas d'incendie & de glace en hiver
- effets stroboscopiques avec clignotement de l'ombre des pales projetée sur les paysages
- bruits entêtants : moteur en fond sonore et sifflements persistants
- acouphènes : invasion de maux de tête
- insomnies
- troubles du comportement
- projections de pales et du rotor en cas d'incendie & de glace en hiver
- effets stroboscopiques avec clignotement de l'ombre des pales projetée sur les paysages
Contribution n°451 (Web)
Par Coppin Hubert
Déposée le 28 juin 2024 à 10h46
Déposée le 28 juin 2024 à 10h46
Abo Wind prétendait nécessaire l’érection d’éoliennes culminant à 240 mètres de haut lors du dépôt de son premier projet et ce, arguant du fait que les ressources en vent étaient insuffisantes à une altitude inférieure. Je ne ferai pas l’injure au lecteur de tenter de lui faire croire que les ressources en vent augmentent avec les ans ; alors faut-il accorder foi à ce qu’écrivait ABO WIND ? Le but à atteindre n’est-il donc que la captation de subventions ou est-ce une simple affaire d’amour propre ? En tout état de cause, la poursuite d’une telle chimère est injustifiable.
Contribution n°450 (Web)
Par HERISSAY Ombeline
Déposée le 28 juin 2024 à 10h02
Déposée le 28 juin 2024 à 10h02
Je m’oppose aux éoliennes dans notre région du bourbonnais pour plusieurs raisons :
- Impact visuel : Elles défigurent nos paysages naturels.
- Dommages à la faune : Elles tuent de nombreux oiseaux et chauves-souris et sont nocives pour les bêtes. Nous sommes sur une terre d’élevage.
- Intermittence : Leur production d'énergie est instable et dépend du vent, souvent trop faible dans notre région.
- Pollution : des tonnes de ciment à vie dans notre terre agricole, certains matériaux utilisés non recyclables.
- Et encore tant de choses à dire contre ce projet…
- Impact visuel : Elles défigurent nos paysages naturels.
- Dommages à la faune : Elles tuent de nombreux oiseaux et chauves-souris et sont nocives pour les bêtes. Nous sommes sur une terre d’élevage.
- Intermittence : Leur production d'énergie est instable et dépend du vent, souvent trop faible dans notre région.
- Pollution : des tonnes de ciment à vie dans notre terre agricole, certains matériaux utilisés non recyclables.
- Et encore tant de choses à dire contre ce projet…
Contribution n°449 (Web)
Par De Seze Charles
Déposée le 28 juin 2024 à 09h27
Déposée le 28 juin 2024 à 09h27
C'est affligeant d'imaginer ces beaux paysages de figures par ces machines industrielles que sont les éoliennes, pour un coût énorme et une rentabilité très incertaine pour le contribuable. Ce n'est sûrement rentable que pour le promoteur.
Il faut renoncer à ce projet, laisser la place au bon sens.
Il faut renoncer à ce projet, laisser la place au bon sens.
Contribution n°448 (Web)
Par De Seze Charles
Déposée le 28 juin 2024 à 09h25
Déposée le 28 juin 2024 à 09h25
C'est affligeant d'imaginer ces beaux paysages de figures par ces machines industrielles que sont les éoliennes, pour un coût énorme et une rentabilité très incertaine pour le contribuable. Ce n'est sûrement rentable que pour le promoteur.
Il faut renoncer à ce projet, laisser la place au bon sens.
Il faut renoncer à ce projet, laisser la place au bon sens.
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