Contribution n°376 (Mairie de Saulcet)
Déposée le 21 juin 2024 à 10h43
Document joint
Contribution n°375 (Mairie de Saulcet)
Déposée le 21 juin 2024 à 09h15
Document joint
Contribution n°374 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 11h19
Ce projet est une version édulcorée, au même emplacement du premier projet présenté en 2020. Deux procédures simultanées pour un seul endroit et par un seul promoteur !
La préfecture dans son refus d’autorisation environnementale en Juin 2021 mettait en avant
Impact Ecologique ;
• Enjeux écologiques forts à très forts sur la totalité de la zone d’implantation
• Site peu compatible avec le développement même avec des mesures de réduction
ou de compensation
• Démarches ERC (Eviter – Réduire – Compenser) insatisfaisantes
• La fiabilité et l’efficacité du système d’effarouchement proposé pour réduire les impacts sur
l’avifaune n’est pas démontré
Impact Paysage
• Rapport d’échelle totalement inadapté au paysage du bocage
• Le projet génère un impact paysager fort à l’échelle des hameaux de l’aire d’étude immédiate
(1000m)
En avril 2023, la Cour Administrative d’appel de Lyon a pris également le parti de la biodiversité en Bourbonnais mettant en avant l’impact trop fort sur la biodiversité et spécialement sur l’avifaune protégée.
Cet acharnement montre bien le mépris des riverains, de la nature et même des institutions qui se sont déjà prononcées à ce sujet. Le projet n’a pas changé, 4 éoliennes sont prévues et les abaisser de 40m ne va pas changer grand-chose. Cela reste les mêmes machines gigantesques Vestas V150 de 200m de haut avec des rotors de 150m de large balayant 1,8 hectares à chaque rotation.
Merci de prendre en compte
Salutations
B MERCIER
Contribution n°373 (Web)
Déposée le 24 juin 2024 à 10h51
Contribution n°372 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 21h58
Contribution n°371 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 19h16
Contribution n°370 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 17h36
Merci de respecter la population
Contribution n°369 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 16h47
En dehors de cet avantage exorbitant qui lui confère une faveur pouvant poser problème de conflit d'intérêt, un certain nombre d'observations produites au cours de la formation des commissaires enquêteurs tendraient à minorer sans fondement la pertinence et la validité des observations formulées par le public, alors qu'elles sont techniquement ou réglementairement incertaines, par exemple en termes de démantèlement, d'environnement ou de santé.
Il est donc rappelé qu'aucune de ces communications d'Abowind ne saurait être prise en compte dans la présente enquête, ni que ces observations auraient pu être validées par le tribunal Administratif.
Document joint
Contribution n°368 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 16h33
- l'impact sonore et nocif sur nos bêtes.
- L'impact désastreux sur notre beau paysage bourbonnais
Contribution n°367 (Web)
Déposée le 23 juin 2024 à 16h05
En seulement quelques lignes, (3.2.3.4) l'étude d'impact prétend qu'aucune espèces végétale n'est menacée. Il n'est donc pas démontré que le projet a un impact sur les espèces protégées du secteur par une simple phrase sur 3 lignes, alors que cette seule étude nécessite au moins 3 semaines de travail pour une équipe de 5 personnes.
Il n'est pas mentionné la liste particulière de l'Allier Dans le département de l’Allier, plusieurs espèces végétales et animales sont protégées. Voici quelques-unes d’entre elles :
Espèces végétales :
La Marsilée à quatre feuilles (Marsilea quadrifolia)
La Boulette d’eau (Pilularia globulifera)
La Lindernie rampante (Lindernia palustris)
La Pulicaire commune (Pulicaria vulgaris)
La Grande douve (Ranunculus lingua)
Le Flûteau nageant (Luronium natans)
Le Spiranthe d’été (Spiranthes aestivalis), qui n’a pas été observé depuis près de 100 ans dans l’Allier.
Les observations de terrain proviennent pour l’essentiel du programme de cartographie de la flore d’Auvergne, lancé par le CBN Massif central à partir de 1997, avec l’appui d’un réseau de botanistes départementaux. Cet important programme a conduit en 2006 à la parution de l’atlas de la flore d’Auvergne (Antonetti, Brugel, Kessler 2006). À cette occasion, l’Allier a bénéficié de prospections plus importantes que les autres départements auvergnats en raison d’une connaissance fragmentée, bien que certains secteurs fussent bien parcourus par des botanistes de renom comme Robert Deschâtres jusqu’en 2014. Deux botanistes du CBN Massif central, Eric Brugel (entre 2001 et 2006) et Francis Kessler (de 2003 à 2005), ont ainsi parcouru la majorité des mailles du département de l’Allier pour améliorer la connaissance sur la répartition de la flore.
Des inventaires floristiques ont par la suite été menés sur différents sites dont des espaces naturels sensibles du département : Boire des Carrés, Coqueteaux, Boire des Jélines, Tourbière du Mathé ou Chavennes, ou lors de travaux d'inventaire et de cartographie de la végétation. Plus d'une cinquantaine d'études ont ainsi été menées dans ce cadre.
Toutefois, les données considérées comme récentes, datées des 15 dernières années, ne représentent que moins d’un tiers des observations totales.
La liste des espèces menacées n'est même pas citée, ni les zones ou les échantillons de recensement des espèces existantes, ni les méthodes de recensement de la flore par un organisme indépendant agréé par l'Administration. Pourtant cette méthode est utilisée pour la faune ou pour d'autres recensements.
De qui se moque t on ?
l' arrêté du 20 janvier 1982 et celui modifié arrêté du 30 Mars 1990 complétant la liste nationale ne sont même pas énumérés.