Les contributions

Contribution n°327 (Web)

Par Rimbaud Mireille
Déposée le 19 juin 2024 à 14h03
Bonjour,
Malgré la beauté et la diversité du paysage varié alternant des prairies, des forêts et la belle architecture propre à ce [...]
Bonjour,
Malgré la beauté et la diversité du paysage varié alternant des prairies, des forêts et la belle architecture propre à ce département qui forment une unité.
Malgré le nombre important de bovins paissant dans des prés verdoyant.
Malgré de nombreux monuments de caractère qui font le patrimoine historique de cette magnifique région.
Malgré le passage de milliers d'oiseaux.
Malgré le peu de vent.
Des éoliennes de 200 m de haut doivent être implantées sur ce territoire.
Alors, plus de paix ni pour les animaux domestiques, la faune sauvage, les oiseaux, une grave atteinte à la biodiversité et au tourisme.
Plus de paix aussi pour les habitants de cette contrée, au vu des nuisances apportées par ces machines industrielles: bétonnage des terrains agricoles, bruit, infrasons, perte de valeurs des habitations, mésentente de la population......
Pourquoi détruire cette harmonie, cette vie calme des personnes qui ont choisi de vivre à la campagne malgré le peu de services existants! ce serait la double peine!!!
N'y a-t-il pas d'autres moyens de produire de l'électricité sans le saccage de cette région?
An nom de l'association Stop Eole Collectif Auvergne, dont je suis administratrice et trésorière depuis 2012, Je demande l'arrêt de ce projet.

Le 19 juin 2024. Mireille Rimbaud

Contribution n°326 (Web)

Anonyme
Déposée le 19 juin 2024 à 10h22
En épluchant bien les photomontages du promoteur, je suis surpris par le peu de netteté des photos d'éoliennes. Elles apparaissent [...]
En épluchant bien les photomontages du promoteur, je suis surpris par le peu de netteté des photos d'éoliennes. Elles apparaissent que très peu : est-ce voulu ? ne devraient-ils pas les coloriés pour que l'on puisse mieux comprendre, découvrir l'implantation.
De toutes façons leur présence sera nuisible aux paysage de notre Bourbonnais.
Je Très OPPOSE à ces éoliennes.

Contribution n°325 (Web)

Par Jeanne de Lorgeril
Déposée le 19 juin 2024 à 09h08
Venant fréquemment en vacances à Laféline, j'apprécie beaucoup la beauté de la nature, des paysages, de l'environnement qui tirent [...]
Venant fréquemment en vacances à Laféline, j'apprécie beaucoup la beauté de la nature, des paysages, de l'environnement qui tirent leur richesse de la préservation et de la diversité écologique. Ayant appris l'existence du projet éolien "BRANSAT 2", je m'y oppose en raison des atteintes faites aux paysages et au patrimoine, afin de pouvoir continuer à venir me ressourcer dans cette magnifique région très préservée du Bourbonnais.

Contribution n°324 (Web)

Anonyme
Déposée le 19 juin 2024 à 00h02
En tant que bransatois soucieux de l'environnement et de la biodiversité, je tiens à exprimer mon profond désaccord avec le projet [...]
En tant que bransatois soucieux de l'environnement et de la biodiversité, je tiens à exprimer mon profond désaccord avec le projet éolien de Bransat. Plusieurs points essentiels méritent d'être mis en lumière concernant l'impact néfaste sur la biodiversité.
Les méthodologies utilisées pour évaluer les enjeux écologiques semblent inadéquates et incohérentes. Par exemple, l'évaluation des espèces et habitats a été réalisée avec des inventaires anciens, non actualisés, ce qui remet en question la fiabilité des données sur lesquelles se base le projet. Le choix de la zone d'implantation des éoliennes, proche des haies et boisements, expose des espèces sensibles telles que le Grand-Duc d'Europe et les chauves-souris migratoires à des risques accrus, ce qui n'est pas correctement pris en compte dans les études.
Les mesures proposées pour éviter et réduire les impacts sur la biodiversité sont largement insuffisantes et mal appliquées. L'Autorité Environnementale a recommandé à plusieurs reprises de revoir les mesures de protection, notamment pour le Grand-Duc d'Europe et les périodes de migration de l'avifaune et des chiroptères. Pourtant, ces recommandations ne semblent pas avoir été intégralement intégrées dans la variante finale du projet. Cette négligence met en péril les espèces protégées et compromet la biodiversité locale.
Il est également préoccupant de constater que les impacts environnementaux négatifs ne sont pas correctement compensés. Les mesures de suivi proposées ne sont pas suffisamment robustes pour garantir la protection de la flore et de la faune durant et après la phase de construction. Par ailleurs, les retours d'expérience des parcs éoliens existants n'ont pas été suffisamment pris en compte pour ajuster les mesures d'évitement et de réduction.
Les incohérences et les insuffisances manifestes dans les études d'impact et les mesures proposées pour la protection de la biodiversité rendent ce projet particulièrement dangereux pour l'environnement local. Je demande instamment à la commission d'enquête de reconsidérer ce projet à la lumière de ces points critiques et de prendre des mesures pour protéger efficacement notre précieuse biodiversité.

Contribution n°323 (Web)

Par DESMON Myriam
Déposée le 18 juin 2024 à 23h17
Messieurs les commissaires enquêteurs,

Je reviens sur la contribution 300 et d’autres avant mettant en avant un changement notable [...]
Messieurs les commissaires enquêteurs,

Je reviens sur la contribution 300 et d’autres avant mettant en avant un changement notable ou substantiel de gabarit sans pour autant nécessiter une nouvelle étude d’impact ou autorisation environnementale. Ainsi un simple arrêté rectificatif produit par la préfecture suffit à valider ces changements.

Dans les cas présentés ci-dessous, on note jusqu’à 30% de puissance supplémentaire ou 30% de hauteur supplémentaire.

La CAA Nantes en 22 septembre 2023 (N°22NT02992) a jugé qu’il n’y avait pas de modification substantielle au changement de gabarit de 3 éoliennes dont la hauteur totale est passée de 160 à 180 mètres et le diamètre du rotor est passé de 103 à 138 mètres et deux des éoliennes sont déplacées de 19 et 32 mètres

La CAA de Bordeaux en février 2024 (N°21BX03287) a jugé qu’il n’y avait pas de modification substantielle au changement de puissance de 3,3 à 4,3 MW de chacune des 19 éoliennes de 180 mètres

La CAA de Nantes en février 2024 (N°22NT02681) a jugé qu’il n’y avait pas de modification substantielle au changement des 3 éoliennes passant de 150 à 180 mètres.

Ceci n’est pas une liste exhaustive…


Je rejoins l’interrogation de certaines observations :

Le facteur de charge moyen observé sur 10 ans en France est de 23% pour une puissance de site métropolitain moyen de 11,9 MW avec des éoliennes de bien plus petit gabarit que celui de Bransat.

QUESTION:

Pourquoi investir des dizaines de millions d’euros dans des machines les plus puissantes du marché (5,6MW) et les plus haute de France pour un facteur de charge de 23,4% inférieur au 25% de moyenne du parc de Quinssaines (éolienne de 2MW et 2,2MW, 150m de haut, diamètre 100m) ou 28% pour le parc de Saint Nicolas des Biefs (éoliennes de 2MW, 150m de haut, diamètre 90m).

https://data.enedis.fr/explore/dataset/production-electrique-par-filiere-a-la-maille-commune/table/?flg=fr&dataChart=eyJxdWVyaWVzIjpbeyJjaGFydHMiOlt7InR5cGUiOiJjb2x1bW4iLCJmdW5jIjoiU1VNIiwieUF4aXMiOiJuYl9zaXRlc19waG90b3ZvbHRhaXF1ZV9lbmVkaXMiLCJzY2llbnRpZmljRGlzcGxheSI6dHJ1ZSwiY29sb3IiOiJyYW5nZS1jdXN0b20ifV0sInhBeGlzIjoiYW5uZWUiLCJtYXhwb2ludHMiOm51bGwsInNvcnQiOiIiLCJ0aW1lc2NhbGUiOiJ5ZWFyIiwic2VyaWVzQnJlYWtkb3duIjoiZG9tYWluZV9kZV90ZW5zaW9uIiwic3RhY2tlZCI6Im5vcm1hbCIsImNvbmZpZyI6eyJkYXRhc2V0IjoicHJvZHVjdGlvbi1lbGVjdHJpcXVlLXBhci1maWxpZXJlLWEtbGEtbWFpbGxlLWNvbW11bmUiLCJvcHRpb25zIjp7ImZsZyI6ImZyIiwic29ydCI6ImFubmVlIn19fV0sInRpbWVzY2FsZSI6IiIsImRpc3BsYXlMZWdlbmQiOnRydWUsImFsaWduTW9udGgiOnRydWV9&sort=energie_produite_annuelle_eolien_enedis_mwh&refine.code_departement=03&refine.domaine_de_tension=HTA&location=5,46.88925,1.30221&basemap=jawg.streets

https://www.georisques.gouv.fr/donnees/bases-de-donnees/eolien-terrestre

En P.J. le facteur de charge des parcs de l'Allier

TOUJOURS FAROUCHEMENT opposée à ce projet qui n'est pas un projet de territoire

Cordialement,
M.Desmon

Document joint


Contribution n°322 (Web)

Par DESMON Myriam
Déposée le 18 juin 2024 à 22h41
Concernant le protocole de mesure de bruit annulé par le conseil d'Etat en Mars 2024, vous trouverez en P.J. une interview de Veronique [...]
Concernant le protocole de mesure de bruit annulé par le conseil d'Etat en Mars 2024, vous trouverez en P.J. une interview de Veronique Louwagie, députée de l'Orne (avant la dissolution) .
La députée s'interroge sur le vide juridique amené par la décision du Conseil d'Etat et sur le devenir des autorisations environnementale actuelles et à venir...

CONTRE CE PROJET qui n'est pas un projet de territoire

Cordialement,
M.Desmon

Document joint


Contribution n°321 (Web)

Par VALAIRE FRED
Déposée le 18 juin 2024 à 21h03
Article de l'ingénieur polytechnicien M. JANCOVICI, un des meilleurs spécialiste de la question énergétique, conseiller au gouvernement, [...]
Article de l'ingénieur polytechnicien M. JANCOVICI, un des meilleurs spécialiste de la question énergétique, conseiller au gouvernement, analysant très précisément chaque source d’énergie à notre disposition.

L’éolien a produit 12 TWh en France, soit environ 2,4% de notre production électrique totale, ou encore 1% de notre consommation d’énergie totale. Les chiffres montrent par ailleurs que les pays qui ont investi massivement dans l’éolien, comme le Danemark, n’ont pas beaucoup changé la structure de leur approvisionnement énergétique, ni leurs émissions de gaz à effet de serre.

Faut-il passer des années à se focaliser sur 1%, quand, dans le même temps, un programme un peu sérieux d’économies d’énergie – comme par exemple l’isolation des logements existants, qui ne demanderait pas plus d’argent public – pourrait facilement faire baisser la consommation d’énergie de 10%, c’est à dire 10 fois plus ?

Faut-il valoriser à ce point dans les discours publics une production qui n’amène ni économies de CO2 significatives, ni amélioration de la balance commerciale (au contraire, on importe les éoliennes !), ni sécurisation du réseau électrique (au contraire), et qui risque de pousser à la construction de centrales à gaz en économie « libéralisée » ? Faut-il le faire alors que nous allons avoir des récessions de plus en plus fréquentes ?

L’engouement auquel nous assistons actuellement pour l’éolien n’est donc pas fondé par des ordres de grandeur en rapport avec le problème (économiser l’énergie de manière massive est bien plus urgent que de planter des éoliennes en faisant croire que ça sera un déterminant significatif de la solution). Il s’agit, comme souvent hélas, de la conséquence logique d’un débat médiatique qui a beaucoup de mal avec les ordres de grandeur.

Si la première priorité pour l’avenir est de diminuer les émissions de gaz à effet de serre, il y a bien plus efficace à faire que de mettre des éoliennes partout. La Suisse, qui n’a quasiment pas d’éoliennes, a des émissions directes par habitant deux fois moindres que celles du Danemark (qui fait partie des premiers pollueurs par habitant en Europe question gaz à effet de serre), et une fois et demi moindre que les nôtres, et pourtant il y fait froid l’hiver (30% de la consommation d’énergie en France est liée au « confort sanitaire », chauffage pour l’essentiel et eau chaude). L’Allemagne, qui vient juste après le Danemark (pour la production éolienne) a aussi des émissions de gaz à effet de serre par habitant bien au-dessus de la moyenne européenne.

Plus généralement, si notre première priorité est de minimiser notre impact sur l’environnement, penser qu’il suffit de mettre des éoliennes partout pour y parvenir est hélas un rêve. Il nous faudra pour cela renoncer à la poursuite de la croissance en volume. Dans quelle mesure les éoliennes ne sont-elles pas « aimées » parce que bien des gens y voient une alternative aux économies d’énergie, pensant que quelques éoliennes suffiront à nous éviter de changer quoi que ce soit à notre consommation d’énergie actuelle ?

Si la première priorité est de nous mettre dans un monde avec « juste des renouvelables », il est incontournable de diminuer au préalable notre consommation d’énergie d’un facteur trois à quatre : aucune solution à base de renouvelables n’est dans les bons ordres de grandeur pour nous permettre un approvisionnement à notre niveau actuel, et il s’en faut de beaucoup.

Et enfin, toutes les renouvelables ne sont pas égales ! Mettre sur un pied d’égalité la biomasse , les carburants d’origine agricole, l’éolien, le solaire, la géothermie et l’énergie hydroélectrique est ignorer que chaque forme a ses avantages et ses inconvénients, et que toutes sont très loin d’avoir le même potentiel.

Au niveau actuel de consommation d’énergie que nous avons, miser beaucoup d’argent et de discours sur l’éolien servira juste à nous précipiter un peu plus vite vers les ennuis, parce, hélas pour nous, le monde est fini et donc le temps pour mettre en oeuvre les « vraies » solutions aussi !

Contribution n°320 (Web)

Par LAVAL René
Déposée le 18 juin 2024 à 20h58
Pour une seule machine de 200 m, 1000m3 pour une seule fondation soit 2500 tonnes de béton et de ferraille, puis on ajoute le mat [...]
Pour une seule machine de 200 m, 1000m3 pour une seule fondation soit 2500 tonnes de béton et de ferraille, puis on ajoute le mat porteur et la nacelle. Le tout multiplié par cinq soit 12 500 TONNES DE PRODUITS INDUSTRIELS POLLUANTS pour les sols et pour les paysages. C’est ce qu’on appelle respecter l’environnement ! Quelle hypocrisie, que de mensonges !!!

Construire des éoliennes, c’est fabriquer beaucoup de ciment (très polluant) pour faire du béton, c’est transporter la terre des excavations, faire des routes d’accès, faire des drainages, faire des tranchées pour les câbles, faire les plateformes pour les postes de transformation, etc… et, … ensuite … refaire toutes les routes défoncées par les engins, sur des dizaines de km, à la fin du chantier.
Une belle aubaine pour les entreprises de béton!

Contribution n°319 (Web)

Par Couteau Fabrice
Déposée le 18 juin 2024 à 20h56
Dans l'Hérault, le parc éolien de Font Froide a été revendu la même année à l’assureur allemand ALLIANZ qui récupère les certificats [...]
Dans l'Hérault, le parc éolien de Font Froide a été revendu la même année à l’assureur allemand ALLIANZ qui récupère les certificats carbone (droit à polluer) pour les revendre aux industriels allemands qui produisent l’électricité avec du charbon. Ce « trafic financier hypocrite» est validé par la Grande Europe, puisque c’est l’Allemagne qui pilote l’ensemble et en tire évidemment tous les avantages.

Les citoyens deviennent les rouages d’une machine économique, orientée vers le profit de multinationales étrangères et d’élites détachées de toute appartenance et de toute solidarité.

Contribution n°318 (Web)

Anonyme
Déposée le 18 juin 2024 à 20h53
L'immense majorité des promoteurs cachent de grandes multinationales polluantes utilisant des ressources fossiles (charbon, pétrole [...]
L'immense majorité des promoteurs cachent de grandes multinationales polluantes utilisant des ressources fossiles (charbon, pétrole gaz). Sachant que ces énergies vont disparaitre, ces multinationales se « reconvertissent » dans des opérations spéculatives en « verdissant » par la même occasion, leur image. Certains parcs pour des raisons de rentabilité, sont vendus et rachetés en très peu de temps, comme dans le Lévézou en Aveyron (revendus 3 fois en 5 ans).

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