Contribution n°163 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h21
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h21
DDAE - PG - V3 Page 59 : Plan des installations de traitement :
Aucune zone liée aux déchets ne figure sur le plan.
Pour autant ils existent bel et bien.
- Où sont-ils stockés,
- comment sont-ils isolés, traités, stockés, évacués … ?
Merci de demander à GSM de répondre à ces questions, d'indiquer leurs réponses dans le paragraphe concerné, de réimprimer et de publier à nouveau le document afin que le lecteur ne soit pas trompé.
Aucune zone liée aux déchets ne figure sur le plan.
Pour autant ils existent bel et bien.
- Où sont-ils stockés,
- comment sont-ils isolés, traités, stockés, évacués … ?
Merci de demander à GSM de répondre à ces questions, d'indiquer leurs réponses dans le paragraphe concerné, de réimprimer et de publier à nouveau le document afin que le lecteur ne soit pas trompé.
Contribution n°162 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h16
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h16
DDAE - PG - V3 : Page 58 : Synoptique du principe d'exploitation :
il est daté de 2005 et ne mentionne aucun déchet.
Comment nous assurer de l'absence de tout déchet ?
À titre subsidiaire, comment sont-ils traités, classifiés, stockés, évacués le cas échéant ?
Merci de demander à GSM de se positionner sur ces questions, d'indiquer leurs réponses dans le document au droit du paragraphe concerné, de réimprimer et éditer à nouveau le document afin que le lecteur ne soit pas trompé.
il est daté de 2005 et ne mentionne aucun déchet.
Comment nous assurer de l'absence de tout déchet ?
À titre subsidiaire, comment sont-ils traités, classifiés, stockés, évacués le cas échéant ?
Merci de demander à GSM de se positionner sur ces questions, d'indiquer leurs réponses dans le document au droit du paragraphe concerné, de réimprimer et éditer à nouveau le document afin que le lecteur ne soit pas trompé.
Contribution n°161 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h12
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h12
DDAE - PG - V3 : Page 56 :
1) séparation sous eau des éléments :
mes questions sont simples :
- d'où vient l'eau ?
- où est-elle rejetée ?
- comment sont traités les éléments qui la charge après séparation ?
2) Hydroséparation, Lavage, Essorage :
Je pose les mêmes questions :
- d'où vient l'eau ?
- où est-elle rejetée ?
- comment sont traités les éléments qui la charge après usage ?
Merci de demander à GSM d'apporter les réponses à ces questions en les inscrivant dans le paragraphe visé, de réimprimer et éditer à nouveau le document complété.
1) séparation sous eau des éléments :
mes questions sont simples :
- d'où vient l'eau ?
- où est-elle rejetée ?
- comment sont traités les éléments qui la charge après séparation ?
2) Hydroséparation, Lavage, Essorage :
Je pose les mêmes questions :
- d'où vient l'eau ?
- où est-elle rejetée ?
- comment sont traités les éléments qui la charge après usage ?
Merci de demander à GSM d'apporter les réponses à ces questions en les inscrivant dans le paragraphe visé, de réimprimer et éditer à nouveau le document complété.
Contribution n°160 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h03
Déposée le 28 septembre 2024 à 10h03
DDAE - PG - V3 : page 56 : vue satélitaire de l'ensemble (renouvellement et extension) :
A qui correspond la référence "B" dans la légende ?
Un gros trait noir figure sur la photo sans qu'on ne sache à quoi il correspond.
Merci de demander à GSM une explication sur ce point, de refaire le cartouche, réimprimer et publier à nouveau le dossier pour que le lecteur ne soit pas trompé.
A qui correspond la référence "B" dans la légende ?
Un gros trait noir figure sur la photo sans qu'on ne sache à quoi il correspond.
Merci de demander à GSM une explication sur ce point, de refaire le cartouche, réimprimer et publier à nouveau le dossier pour que le lecteur ne soit pas trompé.
Contribution n°159 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h56
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h56
DDAE - PG - V3 Page 54 : 2nd paragraphe sur la stabilité des pentes des talus d'exploitation :
Si j'ai bien compris, il s'agit là des pentes des cavités qui auront un angle de 45°. GSM vous assure que ces pentes seront stables......
Sur quels éléments se base l'entreprise pour être aussi affirmative ?
Cela veut aussi dire que GSM est assurée de mettre tous les moyens en oeuvre pour que des animaux nuisibles très friands de ce genre d'endroit ne puissent EN AUCUN CAS prendre leurs marques sur les berges.
Je parle ici de RAT MUSQUÉ (ou rat d'Amérique) ou encore de RAGONDIN (ou myocastor) que l'on trouve par exemple à foison sur les pourtours du lac de Grand Lieu !!
Il est évident qu'ils viendront creuser leurs terriers rendant ainsi les sols meubles et instables.
Ces deux espèces font l’objet d’une lutte intensive dans les zones agricoles.
il est important de noter que ces espèces sont invasives, influençant et transformant considérablement leurs habitats, ils sont reconnus nuisibles dans plusieurs pays européens dont la France et font l’objet de plans de lutte collectifs.
La création de plans d'eau va donc installer sciemment un indéniable désordre dont il sera impossible de se défaire !!
A moins que GSM ne s'engage à refaire les berges en permanence pour "garantir une parfaite stabilité des terrains alentours" pour reprendre leurs propres mots ......
Je n'ai rien lu en ce sens dans le dossier !!
Si j'ai bien compris, il s'agit là des pentes des cavités qui auront un angle de 45°. GSM vous assure que ces pentes seront stables......
Sur quels éléments se base l'entreprise pour être aussi affirmative ?
Cela veut aussi dire que GSM est assurée de mettre tous les moyens en oeuvre pour que des animaux nuisibles très friands de ce genre d'endroit ne puissent EN AUCUN CAS prendre leurs marques sur les berges.
Je parle ici de RAT MUSQUÉ (ou rat d'Amérique) ou encore de RAGONDIN (ou myocastor) que l'on trouve par exemple à foison sur les pourtours du lac de Grand Lieu !!
Il est évident qu'ils viendront creuser leurs terriers rendant ainsi les sols meubles et instables.
Ces deux espèces font l’objet d’une lutte intensive dans les zones agricoles.
il est important de noter que ces espèces sont invasives, influençant et transformant considérablement leurs habitats, ils sont reconnus nuisibles dans plusieurs pays européens dont la France et font l’objet de plans de lutte collectifs.
La création de plans d'eau va donc installer sciemment un indéniable désordre dont il sera impossible de se défaire !!
A moins que GSM ne s'engage à refaire les berges en permanence pour "garantir une parfaite stabilité des terrains alentours" pour reprendre leurs propres mots ......
Je n'ai rien lu en ce sens dans le dossier !!
Contribution n°158 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h38
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h38
DDAE - PG - V3 page 54 : la photo des moyens techniques :
En regardant avec attention la photo et son sous-titre, je pense qu'il y a une inversion dans la présentation des moyens !!
Ainsi :
- la dragueline est indiquée comme se trouvant à gauche.... or sauf erreur elle est à droite
- la pelle à long bras est indiquée comme se trouvant à droite .... or sauf erreur elle est à gauche
Merci donc de demander à GSM de faire la correction qui s'impose, de réimprimer et publier à nouveau son document modifié de sorte que les lecteurs ne soient pas trompés.
En regardant avec attention la photo et son sous-titre, je pense qu'il y a une inversion dans la présentation des moyens !!
Ainsi :
- la dragueline est indiquée comme se trouvant à gauche.... or sauf erreur elle est à droite
- la pelle à long bras est indiquée comme se trouvant à droite .... or sauf erreur elle est à gauche
Merci donc de demander à GSM de faire la correction qui s'impose, de réimprimer et publier à nouveau son document modifié de sorte que les lecteurs ne soient pas trompés.
Contribution n°157 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h29
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h29
DDAE - PG - V3 Page 53 : il est fait état de merlons de 3 m de haut.
ma question :
Qui détermine la hauteur des merlons et pourquoi certains font 2,50 de haut alors que d'autres font 3 m ?
Au vu de leurs positionnement, je n'arrive pas à savoir si ils sont censés cacher les excavations pour protéger les habitations ou pour servir de tremplin aux projections de sable sur les habitations riveraines ou encore pour masquer les opérations de remblaiement réalisées avec des matériaux inappropriés genre ni vu ni connu.......
ma question :
Qui détermine la hauteur des merlons et pourquoi certains font 2,50 de haut alors que d'autres font 3 m ?
Au vu de leurs positionnement, je n'arrive pas à savoir si ils sont censés cacher les excavations pour protéger les habitations ou pour servir de tremplin aux projections de sable sur les habitations riveraines ou encore pour masquer les opérations de remblaiement réalisées avec des matériaux inappropriés genre ni vu ni connu.......
Contribution n°156 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h23
Déposée le 28 septembre 2024 à 09h23
Monsieur,
Mes contributions à venir concernent directement les documents versés par GSM.
Document DDAE -PG - V3 : Page 53 Paragraphe 4 : il est écrit : "localement ces caractéristiques varier selon...." .
Vous ne pourrez que constater qu'il manque un mot !! et il est d'importance.
Ce mot pourrait être : peuvent / ne peuvent ou vont / ne vont pas ou encore doivent / ne doivent pas.....
Je vous remercie de voir avec GSM pour qu'ils corrigent cette faute, réimprime et publie a nouveau le dossier afin qu'il soit juste et sans ambiguïté au moins sur ce point.
Mes contributions à venir concernent directement les documents versés par GSM.
Document DDAE -PG - V3 : Page 53 Paragraphe 4 : il est écrit : "localement ces caractéristiques varier selon...." .
Vous ne pourrez que constater qu'il manque un mot !! et il est d'importance.
Ce mot pourrait être : peuvent / ne peuvent ou vont / ne vont pas ou encore doivent / ne doivent pas.....
Je vous remercie de voir avec GSM pour qu'ils corrigent cette faute, réimprime et publie a nouveau le dossier afin qu'il soit juste et sans ambiguïté au moins sur ce point.
Contribution n°155 (Web)
Par Benoit
Déposée le 27 septembre 2024 à 20h02
Déposée le 27 septembre 2024 à 20h02
Bonjour Monsieur,
Dans le dossier de Déclaration de projet emportant mise en compatibilité du PLU Saint-Colomban, une question est posée par le Département de Loire Atlantique :
Est-ce que les sables utilisés par les maraichers pourraient faire l'objet d'un recyclage par les carriers ?
La réponse de GSM est la suivante : "Des tests ont été réalisé il y a quelques années mais pour l'instant la qualité de ces sables au regard des besoins liés au BTP ainsi que la réalité économique de l'opération ne permettent pas de le faire aujourd'hui. Pour rappel 25% du sable extrait de la carrière est à destination du maraichage (mais en baisse depuis quelques années)."
Compte-tenu des enjeux important de préservation de la ressource sable (qui n'est pas renouvelable) et des engagements de GSM pour préserver cette ressource, leur réponse parait à minima un peu légère et en tous cas très peu argumentée.
Aussi, il serait souhaitable à GSM de pouvoir :
- disposer des rapports relatifs à ces tests
- justifier pourquoi la réalité économique ne permet pas de le faire aujourd'hui alors qu'à priori elle devait l'être auparavant
Sur le 2ème point, c'est peut-être tout simplement parce-que du sable vendu à 30€/m3 est sans doute bien plus intéressant que s'embêter à le recycler.
Pourtant il y a un fort enjeu local...
En effet, on les voit dans les articles de presse relatifs au dernier conseil communautaire très soucieux du sable disponible pour nos entreprises de BTP locales, ce qui est tout à fait louable. Hors un très rapide parcours des dossiers montre que seulement 37% de la production GSM sert tout l'ensemble du Pays de Retz...Mais dans cette part, les 2/3 en fait (25% de leur prod, voir ci-dessus) alimente le maraichage !
C'est là une très grosse part du gâteau du sable local qui pourrait être facilement réorienté.
Le gaspillage de cette ressource ne m'incite donc certainement pas à être favorable à l'extension présentée dans ces dossiers.
Dans le dossier de Déclaration de projet emportant mise en compatibilité du PLU Saint-Colomban, une question est posée par le Département de Loire Atlantique :
Est-ce que les sables utilisés par les maraichers pourraient faire l'objet d'un recyclage par les carriers ?
La réponse de GSM est la suivante : "Des tests ont été réalisé il y a quelques années mais pour l'instant la qualité de ces sables au regard des besoins liés au BTP ainsi que la réalité économique de l'opération ne permettent pas de le faire aujourd'hui. Pour rappel 25% du sable extrait de la carrière est à destination du maraichage (mais en baisse depuis quelques années)."
Compte-tenu des enjeux important de préservation de la ressource sable (qui n'est pas renouvelable) et des engagements de GSM pour préserver cette ressource, leur réponse parait à minima un peu légère et en tous cas très peu argumentée.
Aussi, il serait souhaitable à GSM de pouvoir :
- disposer des rapports relatifs à ces tests
- justifier pourquoi la réalité économique ne permet pas de le faire aujourd'hui alors qu'à priori elle devait l'être auparavant
Sur le 2ème point, c'est peut-être tout simplement parce-que du sable vendu à 30€/m3 est sans doute bien plus intéressant que s'embêter à le recycler.
Pourtant il y a un fort enjeu local...
En effet, on les voit dans les articles de presse relatifs au dernier conseil communautaire très soucieux du sable disponible pour nos entreprises de BTP locales, ce qui est tout à fait louable. Hors un très rapide parcours des dossiers montre que seulement 37% de la production GSM sert tout l'ensemble du Pays de Retz...Mais dans cette part, les 2/3 en fait (25% de leur prod, voir ci-dessus) alimente le maraichage !
C'est là une très grosse part du gâteau du sable local qui pourrait être facilement réorienté.
Le gaspillage de cette ressource ne m'incite donc certainement pas à être favorable à l'extension présentée dans ces dossiers.
Contribution n°154 (Web)
Par de Pommery Charles-Pierre
Déposée le 27 septembre 2024 à 17h36
Déposée le 27 septembre 2024 à 17h36
Monsieur,
Je souhaite attirer votre attention sur le risque routier bien réel lié à l'activité de remblaiement et à celle de l'extension des sablières GSM de Sant Colomban.
En lisant avec soin le dossier constitué, il apparait que l'entreprise compte faire rentrer sur son site aux environs de 80 camions par jour qui sont uniquement destinés au remblaiement des cavités crées par l'extraction du sable.
Chaque camion chargé pèse plusieurs dizaines de Tonnes, 38 il me semble......
En multipliant le poids de ces camions par leurs nombres, on arrive à 3 040 Tonnes : TROIS MILLES TONNES CIRCULANTES PAR JOUR !!!
À ce chiffre il convient évidement d'ajouter les camions liés à l'extraction, que je n'ai pas inclus dans le calcul de mon observation !!
J'y vois là un risque accidentogène majeur.
La Route Départementale 178 (qui est toute proche de l'entrée des sablières) est en effet très fréquentée, étant un axe très roulant permettant aux habitants de Saint Colomban, Corcoué sur Lognes et Legé de rejoindre facilement Nantes via la 4 voie menant au périphérique.
GSM pourrait-il nous renseigner sur les mesures que la société compte prendre pour minimiser au mieux ce risque ?
Quelles analyses ont été faites ?
Par quelle autorité ?
Qui va prendre en charge les réparations des chaussées immanquablement dégradées trop rapidement et de façon répétitive ?
À ce jour, il me semble que ce sont nos impôts.......
Mais dans ce cas, pour une fois, tout le monde sera pénalisé : les PRO comme les ANTI dossier !!!
D'autre part, je veux revenir sur un autre point lié aux conditions de circulation :
Sauf erreur de ma part, la circulation des poids lourds de plus de 19 tonnes était interdîte sur la route des Gardes (de La Brosse Gaspaille à La Garde), sur la route reliant la route départementale RD 117 (qui passe par le marais gâté) à la route départementale RD 63 (au lieu dit La Gergue) ainsi que sur la route qui mène de La Douve à la route départementale RD 63 (à Lincuire).
Des panneaux en ce sens étaient posés à chaque extrémité de ces voies. Ainsi AUCUN camion poids lourds ne pouvait emprunter ces axes pour arriver ou repartir des sablières.
Aujourd'hui je constate que PLUS AUCUN PANNEAU NE SUBSISTE.
Ceci signifie que demain, N'IMPORTE QUEL POIDS LOURDS peut si il le souhaite rouler et traverser les hameaux en toute impunité...... hameaux dans lesquels vivent des enfants, des animaux de compagnie..... !!
Et que dire du croisement entre un car de ramassage scolaire et un de ces camions sur l'un de ces itinéraires ?
C'est techniquement impossible à faire.
L'un d'eux doit reculer..... !!!!
Je vous invite donc à assister à une telle manoeuvre aux cotés de l'un des deux chauffeurs.....
et à en tirer les conclusions qui s'imposent.
N'est-ce pas là non plus un risque accidentogène ??
Ceci ne semble en rien gêner la Mairie..... les panneaux n'ont cependant pas été retirés tout seuls !
Pour autant, je me répète, j'ai la quasi certitude qu'ils étaient bien en place il y a peu.
Il y a donc là un risque accidentogène aggravé auquel il convient que GSM et la Mairie apportent une réponse autrement qu'en positionnant des ralentisseurs tels ceux du Marais Gâté d'ailleurs non conformes à la règlementation applicable (cf la hauteur et la longueur de chaque ralentisseur) !!
Merci.
Je souhaite attirer votre attention sur le risque routier bien réel lié à l'activité de remblaiement et à celle de l'extension des sablières GSM de Sant Colomban.
En lisant avec soin le dossier constitué, il apparait que l'entreprise compte faire rentrer sur son site aux environs de 80 camions par jour qui sont uniquement destinés au remblaiement des cavités crées par l'extraction du sable.
Chaque camion chargé pèse plusieurs dizaines de Tonnes, 38 il me semble......
En multipliant le poids de ces camions par leurs nombres, on arrive à 3 040 Tonnes : TROIS MILLES TONNES CIRCULANTES PAR JOUR !!!
À ce chiffre il convient évidement d'ajouter les camions liés à l'extraction, que je n'ai pas inclus dans le calcul de mon observation !!
J'y vois là un risque accidentogène majeur.
La Route Départementale 178 (qui est toute proche de l'entrée des sablières) est en effet très fréquentée, étant un axe très roulant permettant aux habitants de Saint Colomban, Corcoué sur Lognes et Legé de rejoindre facilement Nantes via la 4 voie menant au périphérique.
GSM pourrait-il nous renseigner sur les mesures que la société compte prendre pour minimiser au mieux ce risque ?
Quelles analyses ont été faites ?
Par quelle autorité ?
Qui va prendre en charge les réparations des chaussées immanquablement dégradées trop rapidement et de façon répétitive ?
À ce jour, il me semble que ce sont nos impôts.......
Mais dans ce cas, pour une fois, tout le monde sera pénalisé : les PRO comme les ANTI dossier !!!
D'autre part, je veux revenir sur un autre point lié aux conditions de circulation :
Sauf erreur de ma part, la circulation des poids lourds de plus de 19 tonnes était interdîte sur la route des Gardes (de La Brosse Gaspaille à La Garde), sur la route reliant la route départementale RD 117 (qui passe par le marais gâté) à la route départementale RD 63 (au lieu dit La Gergue) ainsi que sur la route qui mène de La Douve à la route départementale RD 63 (à Lincuire).
Des panneaux en ce sens étaient posés à chaque extrémité de ces voies. Ainsi AUCUN camion poids lourds ne pouvait emprunter ces axes pour arriver ou repartir des sablières.
Aujourd'hui je constate que PLUS AUCUN PANNEAU NE SUBSISTE.
Ceci signifie que demain, N'IMPORTE QUEL POIDS LOURDS peut si il le souhaite rouler et traverser les hameaux en toute impunité...... hameaux dans lesquels vivent des enfants, des animaux de compagnie..... !!
Et que dire du croisement entre un car de ramassage scolaire et un de ces camions sur l'un de ces itinéraires ?
C'est techniquement impossible à faire.
L'un d'eux doit reculer..... !!!!
Je vous invite donc à assister à une telle manoeuvre aux cotés de l'un des deux chauffeurs.....
et à en tirer les conclusions qui s'imposent.
N'est-ce pas là non plus un risque accidentogène ??
Ceci ne semble en rien gêner la Mairie..... les panneaux n'ont cependant pas été retirés tout seuls !
Pour autant, je me répète, j'ai la quasi certitude qu'ils étaient bien en place il y a peu.
Il y a donc là un risque accidentogène aggravé auquel il convient que GSM et la Mairie apportent une réponse autrement qu'en positionnant des ralentisseurs tels ceux du Marais Gâté d'ailleurs non conformes à la règlementation applicable (cf la hauteur et la longueur de chaque ralentisseur) !!
Merci.
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