Contribution n°285 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 13h02
Contribution n°284 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 12h39
Contribution n°283 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 13h57
Contribution n°282 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 12h36
Contribution n°281 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 12h11
J'espère que le Commissaires Enquêteurs et le Ministère sauront voir que tous les Corses qui naviguent, vivent et travaillent sont unanimement défavorables à ce Décret. Et que surtout dans qu'une fois que l'association Corse de protection de la nature a sollicité ses 30 adhérents les premiers jours de l'Enquête, elle a demandé la mobilisation d'une Association située à Paris et proche du CNPN pour adresser des centaines de contributions. Soutiens qui ne vivent pas en Corse, qui ne connaissent rien à Scandola, qui n'ont aucun argument mais seulement une trame commune : protégeons Scandola.
On peut lire que les gens qui travaillent en mer ne pensent qu'à l'argent (et qu'ils sont stupides), que les pécheurs mentent (!), et même un responsable d'association super skipper qui dit que Spartiventu (la passe) "est aussi venté que l'ouest de Gargalu (l'ile) par vent du large". Même la toponymie Corse héritée de nos ancêtres est moins savante qu'eux!.
Il est facile d'interdire quand cela ne nous concerne pas et que l'on ne connait rien au site et à la vie des habitants. Des associations écolos appuyés par des scientifiques tout puissants qui vivent à Paris viennent expliquer à un peuple paysan, berger et marin comment protéger la nature. Il me semble qu'on ne s'est pas trop mal débrouillé jusqu'à présent. Que les décideurs n'oublient pas que l'homme à sa place dans la nature depuis qu'il existe. Et que vivre et travailler chez soi est un droit élémentaire. Ce Décret va contre . Je suis défavorable au Décret et je conteste sa méthode de mise en oeuvre.
Contribution n°280 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 12h03
Contribution n°279 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 09h05
Un juste équilibre entre la protection des sites classés et l’activité économique (qui fait vivre un grand nombre de familles de la micro région) est largement envisageable.
Mise en place d’un système de licence pour les professionnels et numerus clausus pour les plaisanciers = activité contrôlée.
Contribution n°278 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 08h38
Interdire l’accès à la réserve, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, est inadmissible. Elle doit rester accessible à tous, avec une régulation intelligente du flux des bateaux. Les professionnels jouent un rôle clé dans sa préservation.
Contribution n°277 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 07h34
Pour ma part il est indéniable qu’une mise à jour des réglementations est indispensable dans un avenir proche et que la réserve de scandola doit être préservée. Cependant deux points importants méritent d’être revus à mon sens :
- la fermeture de la zone intégrale : pour commencer cette mesure n’est pas concevable pour une question de sécurité (en cas de coup de vent nous sommes souvent contraints de devoir emprunter cet itinéraire afin de pouvoir nous mettre à l’abris), de plus cette zone est un des points clé de notre itinéraire et ce serait un coup dur d’un point de vue économique de ne plus pouvoir accéder à cette partie de la réserve. Ne serait il pas envisageable de créer un système de licence pour les professionnels, comme évoqué par l’office de l’environnement afin de pouvoir continuer à exercer notre activité de manière pérenne et dans le plus grand respect des sites ?
- Les zones de quiétude des nids de balbuzards : les professionnels ayant été particulièrement respectueux des zones de quiétude misent en place lors des saisons précédentes, il a été mis en évidence que le respect de la faune est d’une importance cruciale à nos yeux. Cependant il serait d’une part inutile d’un point de vue environnemental d’appliquer ce décret autour de nids inhabités et particulièrement contraignant pour notre activité de devoir contourner des zones (perte de temps et dépense de carburant inutile) pour de simples amas de bois.
Pour conclure, je suis pour protéger la réserve de scandola et mettre à jour la réglementation mais contre le fait d’en exclure des personnes dont l’avenir en dépend.
Contribution n°276 (Web)
Déposée le 29 janvier 2025 à 06h33