Les contributions

Contribution n°10 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 janvier 2025 à 10h30
Monsieur (Madame) le Commissaire enquêteur,



Habitante du quartier impacté, ayant contribué à « l’étude de renouvellement urbain [...]
Monsieur (Madame) le Commissaire enquêteur,



Habitante du quartier impacté, ayant contribué à « l’étude de renouvellement urbain » en septembre 2024, puis ayant participé à la réunion collective organisée par la mairie de Melesse en date du 24 octobre 2024, je suis stupéfaite par les modifications de l’OAP N°10 « Centre-ville Est » que vous présentez.



Cela m’amène à plusieurs questions en préambule :



M. Jaouen, Maire de Melesse et Président de la communauté de communes et M. Alain Mori, Adjoint à l’urbanisme ; tous deux présents à cette concertation publique n’auraient-il donc aucune considération pour l’expression citoyenne ?



Mépriseraient-ils à ce point les habitants du quartier pour passer outre les avis qu’ils ont eux-mêmes sollicités ?



Se sentiraient-ils tant « au-dessus » de la mêlée pour en oublier qu’ils sont les obligés de cette mêlée et non le contraire ?



En effet, depuis le lancement de ce projet, la consultation publique organisée par la Mairie de Melesse relève au mieux de l’incompétence, au pire de la mascarade dont j’espère vous ne vous rendrez pas complices en validant cette demande de modification.



Contestation de la consultation des citoyens :



- Le 30/09/21, une balade urbaine, servant de fondement à ce projet, a été organisée et n’a réuni que 12 habitants sur les quelques 7 000 que compte la commune. Sur ces 12 habitants aucun n’était du quartier Saint Germain.

Une telle participation pose question. En tant que professionnelle de la communication je peux attester que soit la commune de Melesse manque cruellement de compétences au niveau de son équipe communication, soit l’objectif réel n’était pas de consulter les premiers impactés. À ce propos aucun courrier spécifique n’a été adressé à ce moment-là aux habitants du quartier.



- Les 12 habitants présents ont cependant été chargés de remplir un document listant les points négatifs, les points positifs et les pistes d’amélioration à ce « projet ». Ce document a été appelé « DIAGNOSTIC », ce qui constitue à minima un abus de langage. Pourtant c’est ce document qui a servi de validation à la poursuite de l’étude et qui est à la base de cette demande de modification. Aucun projet alternatif n’a été envisagé à ce jour.



- Le 24 octobre 2024 a eu lieu la réunion publique de concertation sur ce projet. Là encore, aucune information diffusée par la Mairie de Melesse aux habitants du quartier directement impactés. Selon celle-ci, un problème de publipostage serait cette fois-ci à l’origine de la méprise. Cependant, le bouche à oreille ayant fait son œuvre, les participants furent tellement nombreux que la salle choisie par la Mairie n’a pu tous les contenir : nombre d’entre eux sont restés debout et plusieurs sont même restés dehors, sur le trottoir.



Monsieur le Maire, présentant tantôt les stigmates de la peur, tantôt ceux de l’agacement a répété une bonne cinquantaine de fois qu’il ne s’agissait que d’une « HYPOTHÈSE » et non d’un projet comme il était pourtant écrit sur le support de présentation et tous les documents officiels. Force est de constater aujourd’hui que ses propos étaient mensongers.



Le « projet – hypothèse » a été jugé non abouti par les participants : Aucune étude d’impact environnementale, aucune étude en termes de nuisance sonore et de circulation sur les zones impactées, aucun projet alternatif. Rien de sérieux, ni de chiffré. Que des approximations fleurtant avec l’amateurisme.

Il a alors été demandé par la salle une nouvelle réunion avec des éléments factuels et chiffrés, demande relayée ensuite par une pétition, restée lettre morte à ce jour.

Le compte rendu de cette réunion, rédigé par les services de la Mairie est incomplet et approximatif. L’article de Ouest France en date du 2/11/24 est bien plus fidèle. Pour toute réponse voici donc ce projet de modification de PLUI que vous nous présentez ici en ligne et qui n’intègre aucune des remarques exprimées lors de la réunion publique.



Contestation sur le fond du projet :



Il constitue un écocide environnemental

L’objectif affiché de « Préserver les jardins et espaces verts remarquables » n’est pas respecté, bien au contraire :

- Le projet prévoit l’abattage de plusieurs arbres cinquantenaires au profit de la construction de plus de 70 logements.

- La modification de circulation via l’avenue Lamennais, ainsi que la construction de ces 70 logements vont augmenter la circulation sur l’avenue Chateaubriand qui deviendra la voie principale de contournement du bourg. La zone humide et protégée des Landelles qui abrite une grande biodiversité est limitrophe de l’avenue Chateaubriand et sera impactée de plein fouet par la pollution et les nuisances sonores conséquentes à ce projet.

- Enfin, ce projet est en contradiction avec le projet de territoire de la communauté de communes qui prévoit dans la partie territoire durable de :

« Préserver, restaurer et faire vivre le paysage et la biodiversité avec pour principale action de : « Définir une stratégie foncière en faveur de la compensation et/ou de la préservation de la biodiversité et étudier les modalités de sa mise en œuvre, en lien avec les partenaires »



Il constitue une atteinte à notre patrimoine historique

- Ce projet est en contradiction avec la nécessaire préservation du patrimoine historique dans nos communes. En effet les arbres en question sont implantés dans un rayon inférieur à 500 mètres autour de l’église de Melesse classée monument historique, et sont visibles en même temps qu’elle. Ils bénéficient donc d’une protection de plein droit contre l’abattage.


Il constitue une atteinte grave aux conditions de vie de plusieurs centaines d’habitants

- La construction de plus de 70 logements, va augmenter le trafic de manière terrifiante. Plusieurs centaines de passages par jour a minima avec ce que cela engendre de nuisance pour les riverains en termes de pollution et d’impact sonore.

- Très inquiétant également : le changement de circulation qui est envisagé et motivé par un pseudo « ancien tracé de la voie départementale (rue de la Bouhonnais et rue Lamennais) » qui sert de justification et dont personne n’a mémoire. Il aboutira à la fermeture de la rue de Saint Germain et au report de la totalité du trafic ver la rue de la Bohuonnais et la rue Lamennais avec des conséquences là encore déplorables sur les conditions de vie des habitants et les risques pour les piétons, en grande partie des enfants et des personnes âgées.

- La dépréciation de plusieurs centaines de logements dont la plupart des propriétaires sont ici depuis des décennies, sont âgés et n’ont plus l’énergie de se battre pour faire respecter leurs droits et entendre leurs voix.



Un projet amateuriste qui sert l’intérêt des promoteurs

En donnant votre accord sur ce projet, vous signez un chèque en blanc à des promoteurs peu scrupuleux.



À ce jour, malgré les nombreuses alertes des citoyens et riverains, aucune étude d’impact n’a été réalisée. Que ce soit au niveau environnemental, de la circulation, du bruit, de la dépréciation des logements, du risque d’accident, de la dégradation des conditions de vie. Rien. Pourtant sans être une experte du domaine, je doute qu’elles en soient améliorées…



Pour toute réponse, la Mairie mentionne dans son compte rendu de réunion de concertation P. 4 « Des études de circulations globales seront demandées aux opérateurs immobiliers au moment des études de conception des projets ».



Comment ne pas douter de l’objectivité de ces études commanditées par le donneur d’ordre, la Mairie, et réalisées par les opérateurs immobiliers, les bénéficiaires ?

L’un comme l’autre ont tout intérêt à ce que ces études minimisent l’impact sur les conditions de vie des riverains, afin de réaliser le projet.



Par ailleurs, comment ces études faites à postériori de la validation du projet pourraient-elles influencer la réalisation du projet déjà validé ?

`

Et que veut dire « acceptable » ? Acceptable pour qui ? Pour des élus qui habitent dans un autre quartier et qui seront chargés de décider de ce qui sera acceptable pour nous riverains ?



Par ailleurs, comment est-ce possible qu’aucun projet alternatif n’ait été envisagé par la commune de Melesse afin de prendre réellement en compte A PRIORI les enjeux environnementaux et sociétaux et de respecter le projet de territoire de la communauté de communes dans lequel il est censé s’inscrire ?



Enfin, le plan présenté ici relève encore une fois de l’amateurisme. Il n’est absolument pas explicite : aucun nom de rue n’est mentionné. Et à titre d’exemple, le « maillage principal » donc la voie de circulation principale mentionnée sur ce plan prévoit un passage « principal de circulation » par une impasse … l’impasse Duguesclin !

Sans commentaire.



J’espère sincèrement que vous aurez le courage et la liberté d’exercer votre mission et que vous invaliderez les modifications de l’OAP N°10 « Centre-ville Est ».

Contribution n°9 (Web)

Par Karine ORSI
Déposée le 25 janvier 2025 à 10h00
Monsieur (Madame) le Commissaire enquêteur,

Habitante du quartier impacté, ayant contribué à « l’étude de renouvellement urbain [...]
Monsieur (Madame) le Commissaire enquêteur,

Habitante du quartier impacté, ayant contribué à « l’étude de renouvellement urbain » en septembre 2024, puis ayant participé à la réunion collective organisée par la mairie de Melesse en date du 24 octobre 2024, je suis stupéfaite par les modifications de l’OAP N°10 « Centre-ville Est » que vous présentez.

Cela m’amène à plusieurs questions en préambule :

M. Jaouen, Maire de Melesse et Président de la communauté de communes et M. Alain Mori, Adjoint à l’urbanisme ; tous deux présents à cette concertation publique n’auraient-il donc aucune considération pour l’expression citoyenne ?

Mépriseraient-ils à ce point les habitants du quartier pour passer outre les avis qu’ils ont eux-mêmes sollicités ?

Se sentiraient-ils tant « au-dessus » de la mêlée pour en oublier qu’ils sont les obligés de cette mêlée et non le contraire ?

En effet, depuis le lancement de ce projet, la consultation publique organisée par la Mairie de Melesse relève au mieux de l’incompétence, au pire de la mascarade dont j’espère vous ne vous rendrez pas complices en validant cette demande de modification.

Contestation de la consultation des citoyens :

- Le 30/09/21, une balade urbaine, servant de fondement à ce projet, a été organisée et n’a réuni que 12 habitants sur les quelques 7 000 que compte la commune. Sur ces 12 habitants aucun n’était du quartier Saint Germain.
Une telle participation pose question. En tant que professionnelle de la communication je peux attester que soit la commune de Melesse manque cruellement de compétences au niveau de son équipe communication, soit l’objectif réel n’était pas de consulter les premiers impactés. À ce propos aucun courrier spécifique n’a été adressé à ce moment-là aux habitants du quartier.

- Les 12 habitants présents ont cependant été chargés de remplir un document listant les points négatifs, les points positifs et les pistes d’amélioration à ce « projet ». Ce document a été appelé « DIAGNOSTIC », ce qui constitue à minima un abus de langage. Pourtant c’est ce document qui a servi de validation à la poursuite de l’étude et qui est à la base de cette demande de modification. Aucun projet alternatif n’a été envisagé à ce jour.

- Le 24 octobre 2024 a eu lieu la réunion publique de concertation sur ce projet. Là encore, aucune information diffusée par la Mairie de Melesse aux habitants du quartier directement impactés. Selon celle-ci, un problème de publipostage serait cette fois-ci à l’origine de la méprise. Cependant, le bouche à oreille ayant fait son œuvre, les participants furent tellement nombreux que la salle choisie par la Mairie n’a pu tous les contenir : nombre d’entre eux sont restés debout et plusieurs sont même restés dehors, sur le trottoir.

Monsieur le Maire, présentant tantôt les stigmates de la peur, tantôt ceux de l’agacement a répété une bonne cinquantaine de fois qu’il ne s’agissait que d’une « HYPOTHÈSE » et non d’un projet comme il était pourtant écrit sur le support de présentation et tous les documents officiels. Force est de constater aujourd’hui que ses propos étaient mensongers.

Le « projet – hypothèse » a été jugé non abouti par les participants : Aucune étude d’impact environnementale, aucune étude en termes de nuisance sonore et de circulation sur les zones impactées, aucun projet alternatif. Rien de sérieux, ni de chiffré. Que des approximations fleurtant avec l’amateurisme.
Il a alors été demandé par la salle une nouvelle réunion avec des éléments factuels et chiffrés, demande relayée ensuite par une pétition, restée lettre morte à ce jour.
Le compte rendu de cette réunion, rédigé par les services de la Mairie est incomplet et approximatif. L’article de Ouest France en date du 2/11/24 est bien plus fidèle. Pour toute réponse voici donc ce projet de modification de PLUI que vous nous présentez ici en ligne et qui n’intègre aucune des remarques exprimées lors de la réunion publique.

Contestation sur le fond du projet :

Il constitue un écocide environnemental
L’objectif affiché de « Préserver les jardins et espaces verts remarquables » n’est pas respecté, bien au contraire :
- Le projet prévoit l’abattage de plusieurs arbres cinquantenaires au profit de la construction de plus de 70 logements.
- La modification de circulation via l’avenue Lamennais, ainsi que la construction de ces 70 logements vont augmenter la circulation sur l’avenue Chateaubriand qui deviendra la voie principale de contournement du bourg. La zone humide et protégée des Landelles qui abrite une grande biodiversité est limitrophe de l’avenue Chateaubriand et sera impactée de plein fouet par la pollution et les nuisances sonores conséquentes à ce projet.
- Enfin, ce projet est en contradiction avec le projet de territoire de la communauté de communes qui prévoit dans la partie territoire durable de :
« Préserver, restaurer et faire vivre le paysage et la biodiversité avec pour principale action de : « Définir une stratégie foncière en faveur de la compensation et/ou de la préservation de la biodiversité et étudier les modalités de sa mise en œuvre, en lien avec les partenaires »

Il constitue une atteinte à notre patrimoine historique
- Ce projet est en contradiction avec la nécessaire préservation du patrimoine historique dans nos communes. En effet les arbres en question sont implantés dans un rayon inférieur à 500 mètres autour de l’église de Melesse classée monument historique, et sont visibles en même temps qu’elle. Ils bénéficient donc d’une protection de plein droit contre l’abattage.

Il constitue une atteinte grave aux conditions de vie de plusieurs centaines d’habitants
- La construction de plus de 70 logements, va augmenter le trafic de manière terrifiante. Plusieurs centaines de passages par jour a minima avec ce que cela engendre de nuisance pour les riverains en termes de pollution et d’impact sonore.
- Très inquiétant également : le changement de circulation qui est envisagé et motivé par un pseudo « ancien tracé de la voie départementale (rue de la Bouhonnais et rue Lamennais) » qui sert de justification et dont personne n’a mémoire. Il aboutira à la fermeture de la rue de Saint Germain et au report de la totalité du trafic ver la rue de la Bohuonnais et la rue Lamennais avec des conséquences là encore déplorables sur les conditions de vie des habitants et les risques pour les piétons, en grande partie des enfants et des personnes âgées.
- La dépréciation de plusieurs centaines de logements dont la plupart des propriétaires sont ici depuis des décennies, sont âgés et n’ont plus l’énergie de se battre pour faire respecter leurs droits et entendre leurs voix.

Un projet amateuriste qui sert l’intérêt des promoteurs
En donnant votre accord sur ce projet, vous signez un chèque en blanc à des promoteurs peu scrupuleux.

À ce jour, malgré les nombreuses alertes des citoyens et riverains, aucune étude d’impact n’a été réalisée. Que ce soit au niveau environnemental, de la circulation, du bruit, de la dépréciation des logements, du risque d’accident, de la dégradation des conditions de vie. Rien. Pourtant sans être une experte du domaine, je doute qu’elles en soient améliorées…

Pour toute réponse, la Mairie mentionne dans son compte rendu de réunion de concertation P. 4 « Des études de circulations globales seront demandées aux opérateurs immobiliers au moment des études de conception des projets ».

Comment ne pas douter de l’objectivité de ces études commanditées par le donneur d’ordre, la Mairie, et réalisées par les opérateurs immobiliers, les bénéficiaires ?
L’un comme l’autre ont tout intérêt à ce que ces études minimisent l’impact sur les conditions de vie des riverains, afin de réaliser le projet.

Par ailleurs, comment ces études faites à postériori de la validation du projet pourraient-elles influencer la réalisation du projet déjà validé ?
`
Et que veut dire « acceptable » ? Acceptable pour qui ? Pour des élus qui habitent dans un autre quartier et qui seront chargés de décider de ce qui sera acceptable pour nous riverains ?

Par ailleurs, comment est-ce possible qu’aucun projet alternatif n’ait été envisagé par la commune de Melesse afin de prendre réellement en compte A PRIORI les enjeux environnementaux et sociétaux et de respecter le projet de territoire de la communauté de communes dans lequel il est censé s’inscrire ?

Enfin, le plan présenté ici relève encore une fois de l’amateurisme. Il n’est absolument pas explicite : aucun nom de rue n’est mentionné. Et à titre d’exemple, le « maillage principal » donc la voie de circulation principale mentionnée sur ce plan prévoit un passage « principal de circulation » par une impasse … l’impasse Duguesclin !
Sans commentaire.

J’espère sincèrement que vous aurez le courage et la liberté d’exercer votre mission et que vous invaliderez les modifications de l’OAP N°10 « Centre-ville Est ».

Contribution n°8 (Web)

Anonyme
Déposée le 25 janvier 2025 à 01h06
D'après cette étude, il serait donc envisagé d'anéantir la qualité de vie d'un quartier et sa tranquillité en provoquant des nuisances [...]
D'après cette étude, il serait donc envisagé d'anéantir la qualité de vie d'un quartier et sa tranquillité en provoquant des nuisances sonores, de pollution et de dangerosité routières...

Bravo Mr le maire , pourquoi ne pas implanter 80 logements devant votre petit jardin ?
Et pourquoi pas faire passer l'axe de Guipel > St gregoire dans votre rue ?
ça serait sympa d'avoir un flot continuel de véhicules jour et nuit devant votre maison.
Ha bah non ... c'est pas pareil , vous êtes sur que ça n'arrivera jamais , puisque vous faites ça chez les autres, le petit peuple qui doit se taire !

S'attaquer au cadre de vie d'un citoyen c'est un peu comme prendre des croquettes dans la gamelle d'un pitbull

Contribution n°7 (Web)

Anonyme
Déposée le 24 janvier 2025 à 22h54
Concernant la densification, elle ne doit pas se faire au détriment du cadre de vie des habitants. Certains vivent depuis de nombreuses [...]
Concernant la densification, elle ne doit pas se faire au détriment du cadre de vie des habitants. Certains vivent depuis de nombreuses années dans ce quartier parce qu'ils s'y sentent vraiment bien.
Concernant le nouveau schéma de circulation (qui aurait dû être pensé et étudié avant le projet de construction de logements) il va avoir des conséquences sur notre quartier : .plus de trafic donc des nuisances sonores et autres
.des arbres en moins alors que l'on connaît les bienfaits des arbres qui sont d'ailleurs rappelés dans la charte.
Quand bien même certains arbres ne sont pas considérés d'intérêt communal, tous assurent diverses fonctions éco systématiques fondamentales.
Parmi ces arbres figure un sorbier des oiseleurs (arbre nourricier pour les oiseaux).
Il faut donc faire attention à ne pas dévaloriser les quartiers.
Que l'on soit habitants ou élus, nous devons tous pouvoir dire "il fait bon vivre à Melesse"

Contribution n°6 (Web)

Par Pinson Philippe
Déposée le 24 janvier 2025 à 15h37
Rester logique dans la densification des centres bourg. Le stationnement dure à gérer
Donc le doublement de stationnements
1,2 c’est [...]
Rester logique dans la densification des centres bourg. Le stationnement dure à gérer
Donc le doublement de stationnements
1,2 c’est invivable et impensable
Quelque fois il faut passer outre les normes
Merci

Contribution n°5 (Web)

Par Audrain Guillouche
Déposée le 22 janvier 2025 à 23h40
OAP N°10 Centre ville Est

En premier lieu, les choix de densification et la programmation semblent aller à l’encontre des objectifs [...]
OAP N°10 Centre ville Est

En premier lieu, les choix de densification et la programmation semblent aller à l’encontre des objectifs globaux du PLUi, à savoir la pérennisation du centre bourg, la préservation des espaces verts et de la végétation et une mobilité apaisée.

Sur le volet mobilité, la déviation évoquée ne réduira en aucun cas le passage des véhicules et mettra en tension les rues calmes Lamennais et de la Buhonnais et les rues du lotissement au sud du quartier. Les enfants et adultes y passent à vélo, en particulier la population qui arrive des Fontenelles pour aller vers les écoles. Ensuite, il est incontestable que l’arrivée de deux collectifs dans une zone aussi étroite en circulation va provoquer une augmentation du trafic, une tension sur les croisements de véhicules, un risque accidentogène accru, une augmentation de pollution de l'air et une nuisance sonore.

Concernant le végétal, ce projet semble peu cohérent avec les orientations du projet global. Il va amener une artificialisation à cause des immeubles et des besoins de stationnement, de plus, comment envisager de supprimer les 4 platanes cinquantenaires (à l'est de l'ilot St germain) qui constituent un espace de respiration, procurent de l'ombre et de la biodiversité, ce qui manque déjà fortement dans notre village ?

L'espace vert prévu sur le plan (à la place de l'actuel parking) n'apportera pas de respiration conséquente car en plus du bâtiment il y aura des places de stationnement privées et publiques. Il est mentionné « Parking à réorganiser en conservant un usage public complémentaire des parkings du cœur de ville ». Que restera-t-il vraiment pour la verdure ?

Cette logique de densification ne doit pas se faire au détriment du cadre de vie des habitants du quartier. Les immeubles en remplacement de l’école ont trouvé leur place mais ont déjà fortement tendu les conditions de circulation. La zone est encore aérée et reste relativement cohérente. Apporter deux nouveaux collectifs changera radicalement l’ambiance du quartier et en dépréciera l’intérêt (qualité de vie, valorisation).

Si les trois terrains de l'ilot qui apparaissent en rouge sont voués à être transformés en immeubles et/ou commerces. Ne serait-il pas plus opportun de faire de cet espace un lieu d"habitation et/ou d'activités inclusif (personnes à mobilité réduite, séniors, intergénérationnel, petite enfance etc...) qui nécessiterait peu de stationnement et ne génèrerait pas de circulation supplémentaire ?

Enfin, dans la mesure où le quartier est constitué de maisons remarquables anciennes en terre, quelles seront les matériaux privilégiés pour les futures constructions afin de conserver une cohérence architecturale et écologique ?

Et dernier point : l'espace consacré au collectif donnant sur la rue Lamennais est ridiculement étroit et nécessite de décaler la route vers l'ouest et donc d'abattre les 4 platanes ? Où est la cohérence d'un tel choix d'emplacement (sans compter l'étrange orientation des logements vers l'est et qui seront collés à la route ! )

Contribution n°4 (Web)

Anonyme
Déposée le 17 janvier 2025 à 14h54
COMMUNE DE MELESSE - OAP n° 10 CENTRE VILLE EST

L'étude menée par la ville de Melesse ne prend pas en compte une modification des [...]
COMMUNE DE MELESSE - OAP n° 10 CENTRE VILLE EST

L'étude menée par la ville de Melesse ne prend pas en compte une modification des conditions de circulation sur le secteur et nous n'avons pas vu d'enquête sur ce sujet.

La modification des axes principaux va fortement impacter les conditions de circulation sur les avenues Chateaubriand, Laennec et Jacques Cartier. Cette zone résidentiel sera un point de passage de nombreux véhicules du fait de la densification (70 logements), du nouveau tracé de circulation et de la suppression du rond point. Les personnes résidentes sur ce secteur vont passer par ces rues pour rejoindre le bas du bourg et les axes importants vers Rennes notamment.

Il y a une mixité des usagers sur ce secteur, piétons et vélos qui arrivent du quartier des Fontenelles via les accès créés pour accéder au centre bourg, piétons et vélos des habitants du lotissement. Il y a également de nombreux véhicules motorisés. Nous constatons déjà une forte augmentation du passage des véhicules motorisés lors des déviations mises en place lors d'évènements ponctuels et nous pouvons déjà mesurer les effets négatifs. Qu’en est-il de la sécurité des usagers ?

Autre effet néfaste, la pollution de l'air dû au passage des véhicules (impact carbone) et la pollution sonore dans une zone résidentielle (qualité de vie).

De pus, les axes routiers ne sont pas prévus pour un grand nombre de passage. L'accès de la rue st Germain vers la rue Paul Féval va également impacter les rues déjà citées.

Quid du projet immobilier de l'ancienne école Ste Anne, qui aura vraisemblablement une sortie vers ces rues, encore plus de circulation !

Autre point, la modification des axes routiers va nécessiter la suppression d'arbres magnifiques (4 platanes). L'objectif indiqué dans votre OAP est "de préserver les jardins et espaces vert" qu'en est-il de ces arbres qui ne sont pas loin d'être cinquantenaire.

Dans cette OAP, vous parlez d'implantation de commerce dans la rue de la Bohuonnais, pouvez-vous préciser sur quel emplacement ? (expropriations?)

Et enfin la suppression d’un parking rue de Bohuonnais pour y implanter des logements alors que l’aménagement de celui-ci pourrait servir et accentuer un accès des piétons vers le centre ville.

Contribution n°3 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 janvier 2025 à 15h00
Le P L. U. I sur la commune de St Aubin Daubigné. Un terrain 3500 m Possibilité de deux voitures les parents avec les enfants en grandissant [...]
Le P L. U. I sur la commune de St Aubin Daubigné. Un terrain 3500 m Possibilité de deux voitures les parents avec les enfants en grandissant deux voitures de plus avec les amis des enfants total de six voitures sur un terrain toujours de 3500 m. Maintenant l’entreprise Bouygues va construire un bâtiment avec 51 appartements 62, place de parking
2 bâtiments un avec un parking souterrain et l’autre non pourquoi…
1,2 c’est ridicule mais c’est la norme…
où ranger les voitures des visiteurs et puis le surplus de voitures des habitants de cette résidence,
posez-vous des bonnes questions, c’est vraiment ridicule de construire un bâtiment de 51 appartements , sachant qu’il y a pas de place pour mettre les voitures dans la rue. Jean Huet
Début d’une nouvelle aventure

Contribution n°2 (Web)

Anonyme
Déposée le 8 janvier 2025 à 17h34
Bonjour
Concernant la densification de Melesse, précisément sur la zone du "quartier St Germain",
Le plan de circulation devrait [...]
Bonjour
Concernant la densification de Melesse, précisément sur la zone du "quartier St Germain",
Le plan de circulation devrait être le point d'entrée pour un réaménagement du secteur.
(A la fois pour la circulation douce et carbonée,) J'ai déjà été touché par 2 fois par des rétroviseurs de livreur, en marchant sur le trottoir trop étroit justement, et qu’un véhicule s'est déjà encastré dans le mur de la longère, venant pourtant du rond-point)
De plus l'impact coût économique, écologique, et impact carbone n'est pas non plus au centre du projet. Il semblerait que justement nous ayons le projet du "pire " possible, dont le coût de l'étude (60 000 €) laisse songeur mes apprentis !
Beaucoup d'autres pistes sont possibles, notamment l'interdiction de traverser du bourg par les transports de MARCHANDISES en transit, élargissement de la voie des espaces piétons sur la zone, notamment du virage dont les voies devraient être séparer par un terre-plein pour faire ralentir les véhicules, et qui du problème des poubelles qui squattent le trottoir le rendant inutilisable plusieurs jours par semaine ! (Problème de poubelle qui et aussi à revoir dans son ensemble. (!)
En fait plein d'autres pistes existent, mais je ne suis pas payé pour les développer !
De plus si on veut densifier l’urbanisation, pourquoi autorisez-vous encore les permis de construire de plusieurs maisons individuelles, parfois jusqu'à 5 maisons sur des terrains de moins 1500m2, alors qu'il y aurait eu la possibilité de faire des "petits collectifs " de 6 à 10 logements max ! Plus grand, c’est vouloir ressembler au quartier dortoir autour de Rennes et alentours, Il n'y a qu'à voir le résultat de la défiguration de notre bourg par la nouvelle "porte de st Malo " !! Regardez aussi dans certains quartiers de Melesse, et « l’ambiance agréable" qui règne entre les riverains... (trafics, intimidations, violence.)
Discutez avec les gendarmes et vous comprendrez que l'arrivée de la LGV sur Rennes, devraient également apporter son lot de réflexion sur l'aménagement des collectivités situées à moins de 20km de la gare !!
L'urbanisation ne peut se concevoir dans un petit bout de quartier mais à l'échelle d'un territoire complet, et c'est bien là le problème !
Actuellement j'ai plus l'impression d'avoir des projets qui soit n'impactent pas les responsables (déconnectés, ou épargnés ?), soit servent de "faire valoir" à leur auteur, (cf. ma question finale !) mais qui ne tiennent jamais compte des personnes réellement impliquées sur le terrain et qui vivent les problématiques au quotidien !
Ce n'est pas qu'une dérive nationale, ce projet en est encore un bel exemple !
On meurt en France, de décision d'incompétences ou de cooptation, payées au prix cher !
Et j'aurai finalement qu'une question :

Quel est notre intérêt, dans nos quartiers, à adhérer à "Melesse, petite ville du futur », sachant que nous ne pouvons plus nous déplacer à pied, sereinement le soir pour nos différentes activités, ni aller de rejoindre les "villes et villages " alentours à vélo, (voir en transport en commun) en pleine heure de pointe ?


Sincèrement navré par cette proposition que vous avez osé présenter et que, au final nous avons payé ! Il n'y a pas besoin d'avoir "la science infuse" pour ce rendre compte que ce projet ne peut pas emporter l'adhésion des habitants!

Contribution n°1 (Web)

Anonyme
Déposée le 9 décembre 2024 à 20h16
La réunion faisant part du mécontentement de la population de Melesse , n'as donc pas été pris en compte ?

Le projet de destruction [...]
La réunion faisant part du mécontentement de la population de Melesse , n'as donc pas été pris en compte ?

Le projet de destruction du cadre de vie d'un quartier historique est donc toujours en route ?

et ceux pour faire des beaux quartier pour des nouveaux arrivants ???

Vous trouvez normal de priver des Melessiens de la tranquillité qui les a fais acheter des maison à Melesse ?

Si c'est une bataille que vous souhaitez engager avec une bonne partie de la population, continuez dans ce sens ...

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