Contribution n°22 (Web)
Déposée le 8 février 2025 à 14h16
C'est déjà une chance d'en avoir, avec cet énorme refonte, bye bye la chouette !
Contribution n°21 (Web)
Déposée le 8 février 2025 à 14h11
Dans le padd de 2020, orientation n 4
"Prévoir des amenagements permettant de limiter les risques d accident "..
Votre projet n en tiens pas du tout compte pour la rue de st germain, le trottoir reste un vrai problème de sécurité, et allonger la "ligne droite" ne va pas faire ralentir les véhicules non plus..
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 8 février 2025 à 14h07
Densifier l habitat c'est une chose, mais pour un projet soit disant de développement durable, il me semble qu'il faudrait faire une vraie concertation avec tous les habitants du quartier, et vous auriez alors la compréhension que votre projet ne peut etre durable, car il n'est pas soutenable par ses habitants . Vous n avez pour l'instant répondu à aucun critère des habitants du quartier. Ce projet reste déconnecté de leur vie, la preuve en est, l axe principal d entrée par l'est du bourg serait encore plus dangereux avec votre belle et grande ligne droite!
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 8 février 2025 à 13h12
Les projets de sortie sur les impasses Rue Duguesclin et Rue Paul Féval sont déconnectées de la réalité des lieux qui ne permettent aucunement d'accueillir un flux de véhicules densifié, en raison de leur étroitesse.
Ce quartier paye un lourd tribu en terme de densification alors que d'autres sites sont accessibles à courte échéance, comme l'ancien collège et ancienne école maternelle publique (désormais vouée à la démolition).
La densification se doit d'être raisonnée et raisonnable pour être acceptable par les populations concernées.
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 7 février 2025 à 19h27
Questionnements, incompréhensions, paradoxes et alternatives
OAP n°10: Plusieurs incompréhensions s'élèvent à la lecture de l'OAP concernant le quartier Saint Germain:
-il faut habiter sur les fronts des rues Saint Germain et Chevaigné pour se rendre compte combien le trafic de circulation s'est accentué ces dernières années. C'est un flux constant et régulier de voitures qui passent sur ces rues qui sont devenues de fait des routes d'accès et de passage; La moitié du lotissement des Fontenelles, les nouveaux immeubles Phebus, les nombreuses constructions en front de rue Chevaigné ...ont accentué ce flux vers le rond point de saint Germain qui fluidifie toute cette circulation. C'est sans compter les futures tranches 4 et 5 de la ZAC du Feuil dont la voie principale de sortie se fera au niveau de la rue des basses forges rejoignant la rue de Chevaigné et qui vont encore intensifier la circulation pour se déplacer vers Rennes et pour accéder aux commerces et équipements du centre bourg et de la partie ouest de Melesse.
Ce qui va entrainer une augmentation des pollutions de l'air et pollutions sonores, portant atteinte au cadre de vie et à la qualité de l'environnement de ce quartier, déjà affecté par une densification accélérée des dernières années et supportant ses nuisances
Pourquoi supprimer un rond point qui fluidifie toute cette circulation et qui limite l'émission des GES et des particules fines nocives, par rapport à des arrêts et redémarrages de voitures, tel qu'il est prévu dans l'OAP?
-le projet prévoit la destruction de l'îlot central avec 3 maisons individuelles des années 70 à 80, maisons jugées sans intérêt architectural. Force pourtant est de constater que ces 3 maisons ne présentent aucune signe de vétusté et au contraire sont de bonne qualité dans leur construction et de belle facture dans leur architecture, ce dont ne peuvent se prévaloir toutes les constructions contemporaines; Alors pourquoi démolir 3 maisons de qualité? l'harmonie d'un quartier repose sur un équilibre entre différentes formes d'habitat, petits collectifs, maisons de ville, maisons individuelles mais aussi par différentes époques de construction.
-l'OAP 10 prévoit l'abattage de 4 beaux platanes de 50 ans environ, situés sur une place publique pour y construire une route
Les melessiens réclament plus de nature en centre ville, ils ont vu leur patrimoine arboré diminuer régulièrement ces dernières années, avec toujours une bonne raison, l'arbre étant étrangement gênant, dangereux, malade par nature . Les melessiens comprennent l'importance des arbres dans leur cadre de vie. Pourquoi abattre des arbres sains et adultes qui ont su s'adapter jusqu'ici pour planter des jeunes plants qui n'ont pas montré leur résilience aux changements climatiques? Abattre des arbres matures en bonne santé est un écocide. Ce quartier central avec toute cette circulation exige au contraire plus d'arbres pour tous les services écosystémiques que ces arbres rendent (thermorégulation, purification de l'air...) Au contraire, mettons en valeur cette place arborée de toute beauté et dont on peut apprécier la vue à différents emplacements du quartier.
Considération générale:
-Densifier Melesse jusqu'à quel point et à quel rythme?
Si, en bon élève, Melesse veut répondre aux objectifs du PLH et du PLUI, fixés dans le cadre du SCOT du pays de Rennes, 1080 logements à 2032, je m'interroge sur les impacts en terme de cadre de vie et sur l'environnement: densifier le bâti en front de rue, en coeur d'îlot, les fonds de parcelles, les fonds de jardin, les dents creuses, autant d'éléments de langage pour répondre à une logique de toujours plus construire au détriment d' espaces libres, de sols naturels et de la biodiversité. Cette logique prévaut sur les critères essentiels tels que le bien vivre, le vivre ensemble, le cadre de vie, la qualité de vie, un environnement sain et apaisé, critères non économiques et bien que cités dans les projets et prospectives restent secondaires dans la mise en oeuvre des OAP.
De surcroît, il me parait légitime de requestionner les injonctions chiffrées et leur répartition sur le territoire de la CCVIA. Melesse étant un pôle structurant de bassin de vie, le SCOT du pays de Rennes lui demande beaucoup de constructions en un laps de temps réduit pour rester dans les objectifs du PLH et de la loi cadre ZAN 2031. Un nouvel arbitrage sur le développement équilibré de la CCVIA permettrait éventuellement de rectifier la répartition d'accueil des nouveaux arrivants, en prenant mieux compte les communes avec une halte ferrovière pour un développement plus juste du territoire.
Contradictions:
-l'OAP 10 est en contradiction avec le PADD, plan d'aménagement et de développement durable
partie 1-un territoire vertueux et durable
orientation 2-limiter et anticiper l'impact des opérations d'habitat sur l'environnement
aucune étude d'impact environnementale portant sur les nuisances sonores et les pollutions de l'air n'a été faite
-l'OAP 10 est en contradiction avec le PCAET, plan climat air environnement territoire, approuvé par Melesse en 2019 qui a pour objectif entre autre de réduire les émissions de GES, de prévenir et diminuer la pollution de l'air (P15 et 16 du PCAET), d'anticiper le changement climatique et de s'adapter
-les 8 OAP de renouvellement urbain sont en contradiction aves les attentes des melessiens qui réclament plus de nature en ville, une ville nature, rurale, sobre avec moins de constructions et plus de rénovations. Les melessiens veulent une densification raisonnée avec la conservation du patrimoine naturel et architectural existant
-l'OAP 10 est en contradiction avec les dernières données scientifiques: Le HCCB, haut conseil pour le climat breton qui étudie les ICU, îlot de chaleur urbaine, a montré grâce aux études des relevés des capteurs et station météo mis en place au centre de Melesse et de La mézière, que les ICU concernent aussi des communes comme Melesse. Ces phénomènes nocturnes de restitution de chaleur emmagasinée par les bâtiments en journée sont corrélés à une augmentation de la mortalité. Le HCCB préconise pour lutter contre les ICU, de limiter la densité des bâtiments, de laisser des zones perméables...
Pistes et alternatives:
-nouvelle refonte des 8 OAP en renouvellement urbain en collaboration avec les premiers concernés, les riverains et tout melessien intéressé pour une densification sur mesure et intégrée dans son quartier et environnement
-demande d' études d'impact des 8 OAP sur la circulation et les impacts environnementaux en terme de nuisances sonores et pollutions de l'air
-innovations architecturales qui prennent en compte l'existant de qualité
-Melesse, c'est 2958 logements dont 80% de maisons dont 6% sont vacantes, soit 142 maisons inoccupées.
de plus, le taux d'occupation de ces 80 % de maisons est de 2,5 personnes alors que plus de la moitié des maisons ont plus de 5 pièces.
Réfléchissons à des mesures incitatoires pour pouvoir occuper ces maisons vides et aussi à mieux occuper les maisons sous occupées; le covoiturage fonctionne très bien, de même qu'on partage sa voiture, partageons nos maisons sous occupées, rendons cela possible par des soutiens logistiques, matériels aux aménagements nécessaires à plus de cohabitation et de partage d'habitat. Remplaçons la matière première et la consommation de foncier par la matière grise!
-classement de tous les arbres et arbustes des centres bourgs et quartiers des 19 communes de la CCVIA dans le PLUI pour leur donner une existence sur les documents d'urbanisme donc un statut et une protection, les arbres existants sont nos meilleurs alliés pour continuer à bien vivre dans nos quartiers
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 20h01
Ce quartier où il fait bon vivre serait donc voué à être densifié avec toutes les conséquences négatives auxquelles on peut s'attendre.
Sur la dernière disposition graphique, un nouveau maillage principal est apparu Impasse Duguesclin.
Quelle est l'idée? Dans quel but?
Comment transforme t-on une impasse de 4.40 m de largeur en une rue sachant qu'il serait compliqué pour les habitants de cette impasse de sortir de leurs garages.
On touche à une habitation?
Si cela devait se faire, y'a t-il une échéance ?
Vous avez sans doute travaillé sur un plan cadastral, êtes-vous venus sur le terrain ?
Merci d'apporter une réponse précise
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 16h16
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Dans le cadre de la modification n°4 du PLUi, après lecture du paragraphe 2.2.9 (modification de l'inventaire du bâti d'intérêt architectural), je souhaiterai que le règlement graphique soit également modifié avec une correction de la prescription associée à la parcelle AD 258 dont je suis propriétaire.
L'habitation, construite en 1930, n'est pas identifiée comme 'maison : patrimoine bâti à protéger'. Côté rue, la façade de la construction est très similaire à celle de la parcelle attenante AD 259 mais il s'agit de deux constructions accolées mais distinctes de 1930 et 1931.
Il est à noter également que la mention 'linéaire commercial' présente dans la même prescription est inexacte. Elle provient uniquement d'une erreur de trait sur la représentation graphique.
Vous remerciant pour ces corrections,
Cordialement.
Document joint
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 15h12
- Quel sera l'impact de la circulation des voitures sur le lotissement de la Bohuonnais, un quartier tranquille étant excentré des axes desservant Rennes?
- Le tracé en ligne droite de la rue Saint Germain impliquerait l’abatage des magnifiques arbres, ce qui est contraire avec votre engagement affiché de préserver la biodiversité : « Définir une stratégie foncière en faveur de la compensation (qui n'est Jamais à la hauteur à ce que nous avons perdu !) et de la préservation de la biodiversité et étudier les modalités de sa mise en œuvre, en lien avec les partenaires ». Quelle est la logique ? Quel lien avec les partenaires ?
- Le tracé va en ligne droite de la rue Saint Germain et s'étrangle dans l'impasse Duguesclin. Quelle est la logique ?
- Vous déclarez vouloir « préserver les jardins et espaces verts remarquables ». Comme les arbres centenaires rasés dans le square de la Bohuonnais ? Comme les arbres supprimés qui jalonnaient les rues de la Bohuonnais qui, aujourd'hui sont sans ombrage ? Comme les arbres centenaires dans le centre bourg qui sont remplacés par des plantes en pot ?
- Il est évoqué la volonté de « protéger le jardin du manoir au 22 rue de la Bohuonnais ». Pourquoi cet endroit (privé) devrait-il être protégé plus que les autres espaces, parcelles, jardins, cœurs d'ilots, propriétés du quartier ?
- Les tracés sont réalisés sur des plans qui ne sont pas à jour puisque les trois immeubles Phébus » n'apparaissent pas. Comment travailler avec de plans obsolètes ?
- Il est question d'aménager une placette publique, or 70 logements vont générer une centaine de voitures, où est-t-il prévu d'aménager une « placette » ?
- Il est question de « structurer des fronts bâtis », quel qualité de vie offriront des logements au raz de la route ?
- Toutes ces transformations vont générer des nuisances sonores, impacter la qualité de l'air, augmenter le trafic et donc les risques d'accidents dans une zone jusqu'à présent préservée où circulent de nombreux habitants à pied ou à vélo, quid pour la Bohuonnais ?
Pour finir, je suis très déçu du fait que les habitants n'ont pas été concertés, contrairement à ce qui a été annoncé par la mairie, puisqu'ils n'ont été informés ni de la « balade urbaine », ni des « ateliers participatifs » et ont appris au dernier moment la tenue d'une réunion publique dont le compte-rendu est d'ailleurs incomplet et ne reflète pas la réalité de l'opposition des habitants à ce projet.
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 1 février 2025 à 12h38
Le vide sanitaire était sec depuis la construction en 2000 de la maison. Maintenant à chaque grosse pluie nous avons le désagrément de voir monter l’eau dans le vide sanitaire
Document joint
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 27 janvier 2025 à 00h19
- Le tracé du nouveau maillage principal va en ligne droite de la rue Saint Germain pour aboutir à étrangement dans l'impasse Duguesclin. Quelle est la logique ?
- Ce tracé impliquerait d'abattre des arbres cinquantenaires, ce qui est contraire avec la logique affichée de « Préserver, restaurer et faire vivre le paysage et la biodiversité avec pour principale action de : « Définir une stratégie foncière en faveur de la compensation et/ou de la préservation de la biodiversité et étudier les modalités de sa mise en œuvre, en lien avec les partenaires ». Quelle est la logique ?
- Il est question de « préserver les jardins et espaces verts remarquables ». Le mot « remarquable » est un terme très subjectif. Sur quoi se base-t-on pour déterminer ce qui est remarquable de ce qui ne l'est pas ? La hauteur ? La couleur ? La taille ? La rareté ? Autre ?
- Il est mentionné la volonté de « protéger le jardin du manoir au 22 rue de la Bohuonnais ». Pour quelles raisons cet endroit (privé) devrait-il être protégé plus que les autres espaces, parcelles, jardins, cœurs d'ilots, propriétés du quartier ?
- Il est mentionné de « mettre en valeur la perspective vers l’église depuis la rue de Chevaigné ». L'esthétique (en admettant que la vue sur l'église réjouisse le regard des passants) prévaudrait sur la préservation du cadre de vie des habitants ?
- Les tracés sont réalisés sur des plans qui ne sont pas à jour puisque les trois immeubles Phébus » n'apparaissent pas. Comment faire des projections à partir de plans obsolètes ?
- Il est question d'aménager une placette publique, or 70 logements vont générer au moins le double de véhicules, donc des places de stationnement (en plus de celles publiques déjà existantes), que restera-t-il comme espace pour aménager une « placette » ?
- Il est question de « structurer des fronts bâtis », est-ce raisonnable d'imaginer des logements au raz de la route ?
- Quid des habitations dans l'espace orangé « renouvellement urbain » ?
- Enfin, toutes ces transformations vont générer des nuisances sonores, impacter la qualité de l'air, augmenter le trafic et donc les risques d'accidents dans une zone jusqu'à présent préservée où circulent de nombreux habitants à pied ou à vélo.
Pour finir, je voudrais insister sur le fait que les habitants n'ont pas été concertés, contrairement à ce qui a été annoncé par la mairie de Melesse, puisqu'ils n'ont été informés ni de la « balade urbaine », ni des « ateliers participatifs » et ont appris au dernier moment la tenue d'une réunion publique dont le compte-rendu est d'ailleurs incomplet et ne reflète pas la réalité de l'opposition des habitants à ce projet.