Contribution n°8 (Web)
Déposée le 9 février 2025 à 18h30
il y a assez de toits un peu partout, sur les supermarchés, les batiments agricoles, les maisons d'habitations, pour pouvoir y implanter des panneaux
... et laisser les forets et les prairies à ceux qui les utilisent (éleveurs, promeneurs, chasseurs, herboristes ...)
Contribution n°7 (Web)
Déposée le 5 février 2025 à 21h09
j'ai l'honneur de vous signifier mon désaccord total et définitif du projet de parc photovoltaïque sur la commune de Cressia
Sachez tout d'abord , que je me suis opposé aussi , récemment , au projet sur Loulle-Mont sur Monnet
La raison en est la même : pourquoi détruire une parcelle de Nature, si petite soit-elle, alors que l'on peut, dans la plupart des cas, installer ces panneaux sur des toits existants, commerciaux , agricoles , etc..
D'autre part, je constate qu'il n'est pas indiqué dans les mesures préconisées par le SDIS,
que le site est classé en ZONE ROUGE !
Ensuite ,je remarque que l'on parle, dans le rapport du service Eau Bio diversité Patrimoine des deux prairies concernées par le projet, et que l'on oublie, de citer la petite chênaie qui en fait partie et qui comprend de nombreux arbres âgés de 30 ans pour la plupart
Pour finir, je note l'ABSENCE du rapport de la DDT . Or, il s'avère que la même DDT accorda son autorisation à la création de l'enseigne hyper marché Leclerc en 2012 à Champagnole, en vertu, je cite: "des engagements pris au regard de l'environnement par Leclerc"
Ces engagements , N'ONT JAMAIS ETE RESPECTES, ils comprenaient , entre autres, et ce n'est pas un gag ,l'équipement complet du toit en panneaux photovoltaïques! je peux fournir le document qui en atteste)
Vous comprendrez donc , Mr le préfet, que mon opposition à ce projet soit totalement
motivé et dénué de toute sensiblerie naturaliste.
Néanmoins, vous aurez compris que la disparition d'une seule alouette lulu, d'un seul chat forestier, d'une seule couleuvre verte et jaune est déjà trop, quand il s'agit de considérer la Nature , non pas comme une chose qui nous appartient, mais à laquelle nous appartenons
et que nous devons protéger ; nous, défenseurs de la Nature, source de Vie, sommes là et serons toujours là; défendre une parcelle de terre, c'est défendre la terre entière!!
Fait à Champagnole le 05/02/2025
Thierry Viennet
Contribution n°6 (Web)
Déposée le 1 février 2025 à 22h25
Je suis CONTRE !
Cette zone est un trésor pour la faune et la flore. Le risque vraiment important à cette endroit.
Les habitants n ont jamais été mis au courant de ce projet c est vraiment dommage.
En 2024, Rwe prévoyait l implantation une centrale à Pimorin mais les études environnementales n'ont hélas pas été réalisées correctement. Mr Le commissaire merci de vérifier l exactitude des differentes études.
Il y a toujours dit que l implantation se ferait sur des sites dégradés (carrières, ...)
Ici, il ne s'agit pas d un site dégradé à ma connaissance
Merci de prendre en considération mes remarques.
Cordialement
Contribution n°5 (Web)
Déposée le 28 janvier 2025 à 07h25
Lors de la construction du viaduc de Millot, on avait les mêmes arguments qui sortaient, la faune, la flore à protéger, etc. Toutefois, on a vu une fois le viaduc construit, revenir des espèces qui étaient parties car le calme était revenu plus encore qu'avant.
Ici, le projet est intéressant car la production d'électricité se fera autrement qu'avec des centrales à charbon ou au gaz, autrement qu'avec du nucléaire, dans une zone qui a un bel ensoleillement.
Beaucoup de choses ont circulé avec des questions parfois très dirigées.
Je suis pour et, utilisant l'électricité au quotidien, je trouve qu'il est facile de dire non systématiquement pour tout, non à l'éolien, non au solaire, non au nucléaire... et après on fait comme les Allemands et les Polonais ? au charbon et au gaz avec des émissions de CO2 à foison ?
Bien à vous,
Rémi Verschuur
Contribution n°4 (Web)
Déposée le 27 janvier 2025 à 18h14
Les pelouses sèches du Jura, véritables trésors de biodiversité, représentent un patrimoine naturel unique qui mérite notre protection. Ces espaces, qui abritent une flore et une faune souvent menacées, sont des écosystèmes fragiles où cohabitent des espèces rares et précieuses. Face à la pression des projets d'implantation de centrales solaires, il est crucial de se rappeler que l’argent ne doit pas primer sur la vie, ni sur la préservation de notre environnement.
Les recommandations ministérielles sont claires : l'installation de nouvelles infrastructures énergétiques doit se faire sur des zones déjà artificialisées, là où la faune et la flore ne sont pas menacées, et non sur des terres naturelles où des écosystèmes fragiles sont en jeu. Or, les pelouses sèches du Jura font partie de ces espaces protégés qui jouent un rôle fondamental dans l'équilibre écologique local.
Ces milieux, souvent perçus à tort comme des "espaces inutiles" ou "inoccupés", abritent une richesse biologique incomparable : des espèces végétales rares comme les orchidées sauvage, mais aussi des animaux emblématiques tels que le lynx boréal et le serin cini (Liste Rouge Régionale). La destruction de ces milieux au profit de projets industriels compromettrait non seulement la diversité biologique de la région, mais aussi l'avenir même de ces espèces, dont certaines sont déjà en danger.
De plus, ces pelouses sèches jouent un rôle essentiel dans la régulation de l'eau et la préservation des sols. Leur dégradation, par le biais de projets d'envergure, pourrait engendrer des effets en cascade sur les ressources en eau, la qualité du sol, ainsi que la résilience des écosystèmes face au changement climatique.
Bien sûr, la transition énergétique est une priorité, mais elle ne doit pas se faire au détriment de ce qui reste de notre patrimoine naturel.
Il est possible de concilier production d’énergie et préservation des espaces naturels, en redéfinissant la manière dont nous choisissons de les intégrer dans nos stratégies environnementales.
La solution n’est pas de sacrifier des espaces irremplaçables, mais de concentrer nos efforts sur des zones déjà artificialisées, comme le préconise la loi.
Nous devons choisir la nature, la biodiversité et la durabilité avant tout. L’énergie solaire peut et doit être déployée, mais pas au prix de la destruction de la richesse naturelle qui fait la beauté et l'équilibre de notre région.
Le Jura mérite mieux que d’être réduit à un terrain de sacrifice pour des projets industriels dont les promoteurs sont des sociétés peut recommandable du secteur de l'énergie fossile en Allemagne.
Nos pelouses sèches, notre faune et notre flore ont une valeur bien plus grande que tout gain financier.
Il est temps de dire non à l'implantation de centrales solaires sur des zones naturelles sensibles et de redoubler d’efforts pour protéger ce qui reste de notre patrimoine naturel. Protéger les pelouses sèches du Jura, c’est préserver l’avenir de notre planète et de nos enfants.
Contribution n°3 (Email)
Déposée le 27 janvier 2025 à 09h21
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Notre société, spécialisée dans les travaux de terrassement, plateformes et réseaux, emploie près de 100 personnes dans le département du Jura.
Une part importante de notre activité est liée au développement des énergies renouvelables dans ce département. C’est pourquoi, en tant qu’employeur et entrepreneur du territoire, nous apportons notre soutien plein et entier à ce projet. Il pourrait mobiliser 6 personnes pendant 3 mois environ.
Cordialement,
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Gérard ROLLIN
Chef de service commercial Eolien et Solaire
[ligne]
COLAS FRANCE
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Contribution n°2 (Web)
Déposée le 24 janvier 2025 à 16h20
- au depart la commune n a pas prevenu les habitants
-pourquoi rwe,il n y a pas eu d appel d offre vers d autres sociétés.je pense qu il y en a des plus proches que allemandes
-au bout de 30 ans qui nous dit que rwe existera toujours
-qui paiera ce démentèlement?
-nous avons créé un comité de non projet,nous avons contacté toute la population de cressia,70% de celle ci est contre,mais quand nous avons apporté les résultats au conseil municipal madame le maire nous a dit qu elle n en tiendrait pas compte.la fois suivante elle n a pas voulu répondre a nos questions.
-en ce qui concerne les conseillers municipaux plus des trois quarts nous ont dit etre contre le projet quand nous leurs en avons parlé en privé et bizarement au conseil municipal ils sont pour.on t ils peur de leur franchise ou de leurs inté
rets a etre au conseil
en ce qui concerne le lieux ,il faut savoir:
-une variété de fleur protègée y pousse
-des animaux protègés aussi y vivent
-vu la végétation le risque d incendie est possible
-pendant les travaux,le passage des camions va fortement endommager les routes et chemins.qui les remètera en état.
voila pourquoi je dis non a ce projet sur notre commune
Contribution n°1 (Web)
Déposée le 24 janvier 2025 à 15h59