Contribution n°4315 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 février 2025 à 14h55
Déposée le 24 février 2025 à 14h55
Bonjour,
Je suis contre ce projet.
Je trouve ce projet de ferme-usine abject, le bien-être animal n'a pas de place dans de tels projets.
Il faudrait aider au développement de plus petites structures.
Et tout simplement manger beaucoup moins de viande pour simplement éviter l'importation de viande produite à l'étranger, ça coule de source.
Cordialement
Je suis contre ce projet.
Je trouve ce projet de ferme-usine abject, le bien-être animal n'a pas de place dans de tels projets.
Il faudrait aider au développement de plus petites structures.
Et tout simplement manger beaucoup moins de viande pour simplement éviter l'importation de viande produite à l'étranger, ça coule de source.
Cordialement
Contribution n°4314 (Web)
Par Hubert Leray
Déposée le 24 février 2025 à 14h55
Déposée le 24 février 2025 à 14h55
Je suis toujours opposé au projet de ferme-usine à Peyrilhac.
Cf document en pièce jointe.
Cf document en pièce jointe.
Document joint
Contribution n°4313 (Web)
Par François
Déposée le 24 février 2025 à 14h54
Déposée le 24 février 2025 à 14h54
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
F.Huard
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
F.Huard
Contribution n°4312 (Web)
Par Pinson françoise
Déposée le 24 février 2025 à 14h52
Déposée le 24 février 2025 à 14h52
Ce type d'agriculture industrielle qui viole toutes les lois de la nature doivent ÊTRE ABANDONNE de toute urgence et il faut aider par tous les moyens les paysan.ne.s qui désirent travailler autrement en accord avec les besoins humains de proximité.
La loi agricole qui vient d'être votée va exactement dans le sens inverse. Affreux pour tout le monde !
J'espère que TOU.TE.S LES RESPONSABLES DE CES ABERRATIONS pourront être jugé.e.s le plus rapidement possible pour leurs actions nuisibles et contraires au bon sens... mais conformes à la spéculation effrénée dont la FNSEA est le moteur permanent.
La loi agricole qui vient d'être votée va exactement dans le sens inverse. Affreux pour tout le monde !
J'espère que TOU.TE.S LES RESPONSABLES DE CES ABERRATIONS pourront être jugé.e.s le plus rapidement possible pour leurs actions nuisibles et contraires au bon sens... mais conformes à la spéculation effrénée dont la FNSEA est le moteur permanent.
Contribution n°4311 (Web)
Par Manzagol Françoise
Déposée le 24 février 2025 à 14h51
Déposée le 24 février 2025 à 14h51
Pourquoi les pouvoirs publics encouragent toujours à plus produire de la viande industrielle de mauvaise qualité alors que cela a un impact lourd et durable sur l'environnement, la santé publique sans oublier la maltraitance animale de ces pauvres animaux. La région Limousin offrait encore un poumon pour respirer, des zones humides pour la préservation des insectes et autres. Et tout cela pour servir l'intérêt de quelques-uns au détriment du plus grand nombre. Sans compter que les quelques paysans qui croient faire la bonne affaire, s'endettent pour longtemps et rien ne leur assure que leur contrat ne sera pas dénoncé pour des raisons politiques ou économiques. Et les populations qui vivent à proximité payent cash tous ces effets : nuisances sonores et olfactives, augmentation des impôts quand il leur faudra payer la réfection de leurs routes de campagne non prévues pour recevoir une augmentation de poids lourds liée à cette industrie, une eau du robinet polluée (antibiotiques et autres traitements dans les déjections épandaues sur les sols) leur économie touristique détruite. Que restera-t- il de ces paysages de campagne au "pays de l'arbre et de l'eau"
Je témoigne ici en tant que correzienne de naissance qui a vécu les nuisances de la proximité d'une porcherie industrielle il y a 40 ans (arrêtée en raison de la perte de rentabilité) et qui doit aujourd'hui encore se battre contre la construction d'une porcherie industrielle encore plus grande sur cette même commune par les mêmes paysans qui n'ont rien appris de l'expérience de leurs parents apparemment ou se sont bien fait manipuler par la Coopérative qui leur a monté le projet en toute discrétion.
Une corrézienne trahie et en colère
Je témoigne ici en tant que correzienne de naissance qui a vécu les nuisances de la proximité d'une porcherie industrielle il y a 40 ans (arrêtée en raison de la perte de rentabilité) et qui doit aujourd'hui encore se battre contre la construction d'une porcherie industrielle encore plus grande sur cette même commune par les mêmes paysans qui n'ont rien appris de l'expérience de leurs parents apparemment ou se sont bien fait manipuler par la Coopérative qui leur a monté le projet en toute discrétion.
Une corrézienne trahie et en colère
Contribution n°4310 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 février 2025 à 14h50
Déposée le 24 février 2025 à 14h50
Malgré les remaniements par rapport au projet initial, celui proposé actuellement n'ôte en aucun les problématiques évoquées. Ainsi, il semble aberrant que ce projet puisse désormais devenir favorable.
Une citoyenne française
Une citoyenne française
Contribution n°4309 (Web)
Par Badin Jean-Louis
Déposée le 24 février 2025 à 14h49
Déposée le 24 février 2025 à 14h49
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
C'est une magnifique région où je randonne bien volontiers en toute saison habitant non loin de là.
Ce futur projet est une aberration. Je m'étais déjà exprimé à l'origine sur LE REJET.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
C'est une magnifique région où je randonne bien volontiers en toute saison habitant non loin de là.
Ce futur projet est une aberration. Je m'étais déjà exprimé à l'origine sur LE REJET.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°4308 (Web)
Par Marie Laure
Déposée le 24 février 2025 à 14h46
Déposée le 24 février 2025 à 14h46
Je m'oppose à ce projet de ferme usine qui est une aberration à tous points de vue.
Contribution n°4307 (Web)
Anonyme
Déposée le 24 février 2025 à 14h45
Déposée le 24 février 2025 à 14h45
Je m'oppose à ce projet
Contribution n°4306 (Web)
Par BADIN Christine
Déposée le 24 février 2025 à 14h45
Déposée le 24 février 2025 à 14h45
Je suis en TOTALE OPPOSITION à ce projet de ferme-usine.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Les modifications sont à la marge ... mais T'Rhéa pense berner les riverains ainsi !
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), très préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau (mais pas de souci, on n'est pas du tout en manque d'eau sur le long terme !) déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléo protéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone plus que désastreuse.
Valider un tel projet CONTRE l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux, importante dans la lutte contre le dérèglement climatique, et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis tout à fait concernée par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Stop à la viande industrielle !
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Les modifications sont à la marge ... mais T'Rhéa pense berner les riverains ainsi !
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), très préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau (mais pas de souci, on n'est pas du tout en manque d'eau sur le long terme !) déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléo protéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone plus que désastreuse.
Valider un tel projet CONTRE l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux, importante dans la lutte contre le dérèglement climatique, et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis tout à fait concernée par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Stop à la viande industrielle !
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