Contribution n°3535 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h10
Je suis donc contre ce projet de ferme-usine, qu'il soit prévu dans le Limousin ou ailleurs, il faut jeter ces idées nocives aux oubliettes et opposer une fin de recevoir automatique à tous les porteurs de projets du même acabit que le groupe Carnivor et sa société T'Rhéa.
C'est un non.
Contribution n°3534 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h09
Contribution n°3533 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h09
Contribution n°3532 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h09
Seule l'entreprise se fera de l'argent sur le dos de la santé des humains, le bien être animal et sur la pollution engendrée.
De la "mal bouffe" livrée à des milliers de kilomètres.
L'état ne doit pas être complice d'un tel projet !
Contribution n°3531 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h06
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3530 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h05
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Il ne semblerait pas cohérent de protester contre le manque de respect dû aux élus locaux,d'une part et d'autre part de ne tenir aucun compte de leur rejet unanime en autorisant ce projet inutile et nuisible.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet inutile, nuisible et coûteux dans toutes les acceptions du terme.
Cordialement
Henri FERAL
Contribution n°3529 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h03
-. empiétement drastique du bâti sur l'espace "naturel",
-. empreintes visuelles et en terme d'odeur conséquentes,
-. conséquences fortes quant à la resorbtion du lisier et du fumier sur la nature des sols et des eaux d'écoulement pouvant aller se retrouver, par suite, dans les cours d'eau avoisinants (1er type de pollution chimique).
-. d'où conséquences sur la flore et la faune proches voire éloignées (effet de l'eau polluée),
-. incidence économique certaine, en terme de concurrence intra-France, avec les exploitations dites à taille humaine (d'une 50aine de vaches - mères ou pas),
-. pollution médicamenteuse, donc chimique (d'un 2ième type), du fait de la surconcentration d'animaux de la même espèce (groupe d'individus rendu fragile par l'énormité du regroupement),
-. incidence réelle du paramètre transports des victuailles données aux animaux et de ceux-là, sur la circulation globale des véhicules, sur la pollution chimique de l'air (d'un 3ième type), sur les travaux d'entretien à réaliser sur les voies (frais supplémentaires pour les communes avoisinantes).
"Oui, mais ça va donner du travail à la main d'oeuvre locale" : argument fallacieux puisque des entreprises agricoles de tailles moindres et assurant, par ailleurs, un réel maillage régional tout en s'occupant d'autant d'animaux permettraient de mobiliser le même nombre (voire un plus grand nombre !) d'agriculteurs.
"Oui, mais lors de l'édification des bâtiments, là : il y a mobilisation d'ouvriers, de techniciens et de qqs ingénieurs ! Et puis, les loger mobilisera le parc immobilier local." Vue l'énormité de cette réalisation, il est fort à parier que peu d'artisan-es locaux soient sollicité-es car la négociation ira en faveur de majors de la construction... Et là, encore, durant l'édification de l'ensemble des bâtiments, il y aura un fort impact sur les sols, la flore, la faune, les installations humaines déjà en place (a minima : les routes !).
Et gageons que dans le cas d'une construction de ferme- usine, les humains immediatement proches ne doivent pas être amené-es à consommer la viande produite. Ce qui ne serait pas le cas pour une production et une transformation en local...
Quant à la mobilisation du parc immobilier local, cela reste à voir. Un accord commercial, sur un long terme, peut être négocié avec une chaîne hôtelière (2 étoiles, maximum) qui aurait une implantation pas forcément proche du chantier ; d'où nouvel effet polluant lors des déplacements du personnel de chantier.
Je ne suis pas agriculteur mais j'ai vécu jusqu'ici plus de 40 ans à la campagne.
A cet argumentaire peuvent bien être adjoints d'autres arguments.
Stop au non-sens proposé par le gigantisme !
Cordialement
Contribution n°3528 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h03
Et il y a les riverains. Cordialement.
Contribution n°3527 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h02
Les 4 conseils municipaux le disent: les retouches mineures depuis la première enquête publique ne changent rien, rien, concernant l'absurdité environnementale et agronomique de ce projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa " Terre de Chavaignac". Le site reste dimensionné pour 3100 bovins ce qui est déjà énorme! Quel agriculteur pourra reprendre ce gigantisme ! cette obésité monstrueuse ! 3100 animaux, ce sont des bâtiments, de la capacité de stockage, de la réserve d'eau.
Pour que ce soit une richesse pour la région, il faut des petits sites dispersés et le système herbager et de bocage. Le nouveau projet de 2100 bovins proposé à l'enquête publique, est nuisible pour les animaux:
- propagation de maladies et contraire à l'éthologie.
- souffrance aussi pour les riverains, le bruit, les odeurs, les camions.
- catastrophe pour l'environnement: pollutions, pression sur les sites naturels.
- énorme consommation d'eau (quid du bassin aval ?)
- sols dégradés ainsi que la biodiversité.
- développement outrancier des cultures de France et … d'Amérique du Sud !!! pour alimenter une énorme quantité d'animaux ! au détriment de l'alimentation humaine , avec une empreinte carbone catastrophique !
Si vous validez ce projet, contre l'avis des communes et des riverains, contre l'avis de la MRAE, vous constituez un précédent très très grave dont la France va pâtir.
Vous savez que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous , et si vous refusez de tenir compte de la puissante opposition locale, cela aura des conséquences dans tout le territoire français, c'est pourquoi je suis concernée par cette enquête publique, et je vous demande formellement de rejeter fermement ce projet indigne au regard de l'histoire et des urgences environnementales.
JE M'OPPOSE A LA FERME -USINE !
JE M'OPPOSE FERMENENT!
Contribution n°3526 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 10h02