Les contributions

Contribution n°1382 (Web)

Par jolly claudine
Déposée le 22 février 2025 à 11h09
Soyons responsables! Manger de la viande, oui, mais respect pour l'animal qui donne sa vie pour notre santé!!

Contribution n°1381 (Web)

Par Rivat Yann
Déposée le 22 février 2025 à 11h09
Mais où va t-on ? Que souhaitons-nous léguer à nos enfants et leurs enfants ?
Ces projets de ferme usine vont à l'encontre du bon [...]
Mais où va t-on ? Que souhaitons-nous léguer à nos enfants et leurs enfants ?
Ces projets de ferme usine vont à l'encontre du bon sens. Ils ne respectent pas le vivant, homme, animal, nature. Je pense que la majorité des agriculteurs ne voit pas les choses comme ça. Allez les interroger au salon de l'agriculture et vous comprendrez ce que veut dire "avoir le sens de la terre".
Je m'oppose vivement à ce projet.
Respecter nous, ne transformez pas notre pays en poubelle.

Contribution n°1380 (Web)

Par Laur Paule
Déposée le 22 février 2025 à 11h09
RALENTIR ou PERIR
Je m'oppose à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Comme le soulignent les conseils municipaux [...]
RALENTIR ou PERIR
Je m'oppose à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.

Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.

Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.

Contribution n°1379 (Web)

Déposée le 22 février 2025 à 11h09
Cette contribution est prise en compte mais n'est pas visible car elle comprend des propos considérés comme non publiables.

Contribution n°1378 (Web)

Par WATHELET, Jean
Déposée le 22 février 2025 à 11h09
Je m'oppose vivement à la réalisation de ce projet car il est malsain pour les animaux (concentration contraire à l'éthologie) préjudiciable [...]
Je m'oppose vivement à la réalisation de ce projet car il est malsain pour les animaux (concentration contraire à l'éthologie) préjudiciable aux riverains et catastrophique pour l'environnement par la pression engendrée sur les sites naturels et sur les aquifères. L'importation de céréales, l'oleoprotéagineux et de pulpes de betteraves d'Amérique du Sud constitue une atteinte à l'alimentation humaine et ajoute une empreinte carbone désastreuse et inacceptable.
Je demande donc le rejet définitif de ce projet à contresens du bien-être des populations et de l'urgence planétaire

Contribution n°1377 (Web)

Par Plan Pascal
Déposée le 22 février 2025 à 11h09
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique [...]
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.



Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.



Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.

Contribution n°1376 (Web)

Par Fritsch Philippe
Déposée le 22 février 2025 à 11h09
Je m'oppose vivement au nouveau projet de ferme-usine



Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les [...]
Je m'oppose vivement au nouveau projet de ferme-usine



Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien les effets prévisibles sur l'environnement et le non sens agronomique du projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». Ce site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.



Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire au bien-être animal), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, circulation de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.



Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences de la biosphère.

Contribution n°1375 (Web)

Par Béatrice
Déposée le 22 février 2025 à 11h08
Il est bien évident que ces fermes usines ne peuvent absolument pas être encouragées: elles sont extrêmement polluantes. la préservation [...]
Il est bien évident que ces fermes usines ne peuvent absolument pas être encouragées: elles sont extrêmement polluantes. la préservation de l'environnement est l'objectif numéro 1 avant les intérêts économiques.
Merci de veiller à notre santé et celle de la planète.

Contribution n°1374 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 11h08
Bonjour,
Je m'oppose à la création de la ferme-usine que la société T'Rhéa prévoit de développer en Limousin sur les communes de Peyrilhac [...]
Bonjour,
Je m'oppose à la création de la ferme-usine que la société T'Rhéa prévoit de développer en Limousin sur les communes de Peyrilhac et Nieul.
Cordialement.

Contribution n°1373 (Web)

Par Lissalde Caroline
Déposée le 22 février 2025 à 11h08
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Il n’y a pas si longtemps, la France était un pays de [...]
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine

Il n’y a pas si longtemps, la France était un pays de paysans respectueux de l’environnement et des animaux qui, bien que finissant dans nos assiettes, vivaient en plein air dans de petites exploitations. Que veut-on léguer à nos enfants ? Une terre massacrée, des animaux en souffrance (comment peut-on accepter de parquer des êtres sensibles que sont les mammifères dans des espaces fermés tout au long de leur courte vie) et tout cela pour satisfaire une poignée d’hommes qui n’ont plus la moindre humanité. Et si on aidait plutôt les fermes biologiques, les jeunes agriculteurs à s’installer dans des exploitations respectueuses de l’environnement, des animaux et aussi respectueuses de la santé des paysans ? Des exploitations à taille humaine emploient à terme plus de main-d’œuvre.
Je suis de tout cœur avec les habitants du limousin qui seraient impactés fortement par cette usine d’êtres vivants et je comprends leur désarroi.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.

Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.

Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concernée par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.

Mme Lissalde

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