Contribution n°1370 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
https://reporterre.net/L-elevage-industriel-est-un-reservoir-a-pandemies-humaines
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-terre-au-carre/la-terre-au-carre-du-mardi-19-septembre-2023-1054022
https://www.cahiersagricultures.fr/articles/cagri/full_html/2022/01/cagri210105/cagri210105.html (Cah. Agric. Volume 31, 2022 Article Number 16
Number of page(s) 7 DOI https://doi.org/10.1051/cagri/2022012
Published online 08 July 2022)
Contribution n°1369 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Ainsi que l’on peut le voir les modifications apportées sont très mineures par rapport au projet rejeté par la précédente enquête d’utilité publique.
Le projet d’unité d’engraissement porté par la société T’Rhréa « terre de Chavaignac » est une aberration environnementale, encore plus dans une terre d’élevage de qualité qu’est le Limousin.
L’élevage en Limousin est constitué de nombreuses fermes dispersées et séparées d’un environnement préservé qui permet au bétail de s’épanouir sainement et sans les nuisances importantes que constituerais la concentration de plus de 2 000 animaux sur une surface restreinte, tant pour les terres que la population environnante, ainsi que la faune et la flore du secteur. De plus le recours à des sources alimentaires dans toute la France ainsi qu’en Amérique du Sud est une nouvelle aberration lorsque l’on cherche à réduire au plus juste l’empreinte carbone de chacun.
Valider ce projet, à l’encontre des souhaits le la plupart des communes et populations riveraines, en rejetant les recommandations de la MRAE constituerais un contresens vis-à-vis des volontés de lutte contre le dérèglement climatique et les urgences planétaires qui en découlent.
C’est pourquoi je m’oppose de toute ma force à ce projet destructeur d’environnement de la qualité de la vie humaine et animale.
Contribution n°1368 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Contribution n°1367 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Cordialement
Philippe Conté
conteph@gmail.com
Contribution n°1366 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°1365 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Contribution n°1364 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°1363 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Contribution n°1362 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h07
Contribution n°1361 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h06