Contribution n°669 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Contribution n°668 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
OUI au bien être animal, le bien être animal est incompatible avec se projet
Voudriez vous être à leur place ?
de plus :
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°667 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°666 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Contribution n°665 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Respectons les droits des animaux et des citoyens !
Contribution n°664 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Contribution n°663 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Non à la mégaferme
Contribution n°662 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Je me manifeste pour la Planète et la vie future de nos enfants. Halte aux massacres.
Contribution n°661 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
A. Cambon
Contribution n°660 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 09h59
Les conseils municipaux des 4 communes concernées le disent : les modifications apportées depuis la première enquête publique ne sont que des détails mineurs et ce projet reste tout simplement une aberration ! Il n’obéit qu’à des objectifs économiques au détriment de la protection de la nature et du bien-être des riverains. Il va à contresens de toutes les études scientifiques qui démontrent que seules des exploitations agricoles à taille humaine permettent de respecter l’environnement et de travailler dans des conditions sereines. Une ferme de 2100 bovins (potentiellement 3100) a un impact environnemental catastrophique (pollution des sols, énorme consommation d’eau, pollution de l’air, va et vient de camions… etc). De plus, elle engendre de la maltraitance animale : il est inacceptable de parquer ainsi des animaux ! Enfin, au vu des conditions d’élevage, la viande ainsi produite est de mauvaise qualité. Aidons plutôt les paysans à pérenniser l’élevage traditionnel, avec des pâturages et des bocages. Offrons une planète en bonne santé à nos enfants !
Non à cette ferme-usine ! Non à cette folie productiviste ! Ce projet va à l’encontre de toutes les préconisations en matière d’environnement et de bien-être animal. De plus il est nuisible pour les riverains. Enfin il ne respecte pas les petits agriculteurs.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Je me sens complètement concernée par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.