Contribution n°1119 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h39
Contribution n°1118 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h39
Les fermes à taille humaine sont garantes d'un élevage de qualité, et d'un environnement préservé.
Contribution n°1117 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h38
Une telle concentration d'animaux engendrera
- pollution et nuisances (camions de livraisons des aliments, stockage des déjections, pollution des sols, nuisances olfactives)
- aucune garantie quant au bien-être animal
- accaparement des ressources en eau
De plus, contrairement à l'argumentaire des promoteurs du projet, il ne s'agira pas de "nourrir les français" puisque au moins 40 % de la production sera destinée à l'exportation.
Pour ces raisons, je demande l'abandon pur et simple de ce projet.
Contribution n°1116 (Web)
Contribution n°1115 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h38
Contribution n°1114 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h38
Il est inadmissible que dans le contexte actuel de destruction de notre environnement on puisse encore envisager de tels projets qui sont complètement dépassés et en totale contradiction avec les urgences auxquelles nous devons faire face.
Vous êtes pleinement responsables face à nous et aux générations futures pour assurer que de tels projets soient définitivement enterrés.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE) constituerait un déni de démocratie et montrerait une soumission à des intérêts purement industriels qui se moquent totalement de notre avenir.
La préservation des milieux et des animaux nous concerne tous et doit s'imposer à des intérêts privés.
Je vous demande donc de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°1113 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h38
Contribution n°1112 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h38
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°1111 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h38
Contribution n°1110 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h38
Plutôt que de centraliser l’élevage, il devrait être réparti sur de petites exploitations en système herbager. Avec plus de 2 000 bovins, ce projet favorise les maladies, nuit aux riverains (bruit, odeurs, trafic) et pèse lourdement sur l’environnement (pollution, surexploitation de l’eau, destruction des sols). Son alimentation, puisée en France et en Amérique du Sud, aggrave la déforestation et concurrence la production alimentaire humaine.
Approuver un tel projet contre l’avis des élus, des habitants et des experts environnementaux créerait un dangereux précédent national. La préservation des milieux et des animaux nous concerne tous : ce projet va à l’encontre des enjeux actuels et doit être rejeté.