Contribution n°564 (Web)
Par Dominique
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
marre de ces fermes usines qui maltraitent les animaux et qui détériorent l'environnement;
c'est honteux !
c'est honteux !
Contribution n°563 (Web)
Par Serve-Catelin Dominique
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
IL NE FAUT PAS AUTORISER un tel projet :
La ferme-usine que la société T'Rhéa prévoit de développer en Limousin sur les communes de Peyrilhac et Nieul est un cas typique de course en avant industrielle : cette usine à viande (projet d'un autre âge dont la logique est la course au profit au mépris du bon sens et de la protection élémentaire du vivant) s’inscrit dans une logique ouvertement industrielle puisque la viande bas de gamme sera principalement commercialisée en Italie et en Grèce. Une diversité de petits élevages-engraisseurs herbagers dispersés sur un territoire bocager offrirait un débouché local défendable pour les éleveurs de la région, mais ce site industriel et concentrationnaire ne peut certainement pas invoquer l'utilité économique pour justifier nuisances et dégradations.
Consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles par un ballet de camions : tous les problèmes demeurent.
Encore une fois , N'AUTORISEZ PAS CE PROJET qui est aberrant
La ferme-usine que la société T'Rhéa prévoit de développer en Limousin sur les communes de Peyrilhac et Nieul est un cas typique de course en avant industrielle : cette usine à viande (projet d'un autre âge dont la logique est la course au profit au mépris du bon sens et de la protection élémentaire du vivant) s’inscrit dans une logique ouvertement industrielle puisque la viande bas de gamme sera principalement commercialisée en Italie et en Grèce. Une diversité de petits élevages-engraisseurs herbagers dispersés sur un territoire bocager offrirait un débouché local défendable pour les éleveurs de la région, mais ce site industriel et concentrationnaire ne peut certainement pas invoquer l'utilité économique pour justifier nuisances et dégradations.
Consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles par un ballet de camions : tous les problèmes demeurent.
Encore une fois , N'AUTORISEZ PAS CE PROJET qui est aberrant
Contribution n°562 (Web)
Par Brigitte
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Projet désuet, en totale contradiction avec le Green Deal européen, avec les accords de Paris sur le climat, avec les orientations sanitaires, etc: trop gros, trop dangereux, trop polluant, et globalement plus nuisible qu'utile pour la région.
Contribution n°561 (Web)
Anonyme
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Je m'oppose vivement à la nouvelle mise en scène de ce projet de ferme-usine
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°560 (Web)
Par Vaillant
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
......
Contribution n°559 (Web)
Par cécile
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Consommation d'eau, concentration des déjections polluantes, pression sur les milieux naturels, conditions intolérables pour les animaux (notamment des bâtiments inadaptés aux chaleurs estivales), nuisances sonores et olfactives pour les riverains, acheminement en masse d'aliments issus de cultures industrielles par un ballet de camions , impact sur la santé humaine de la consommation de viande…. Arrêtez le massacre ! Avis défavorable +++
Contribution n°558 (Web)
Par CHAUVEAU CARINE
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Madame, Monsieur,
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°557 (Web)
Par CRÉANCE Hélène
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Ras le bol de cette agriculture industrielle. Revenons à une agriculture à taille humaine qui permette une activité et une distribution locale. L'alimentation n'est pas un produit industriel. Soutenons le local par les petits agriculteurs, éleveurs, maraichers....
Contribution n°556 (Web)
Par DASSONVILLE Sam
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Je m'oppose à nouveau fermement à ce projet de ferme-usine, déjà rejeté par les conseils municipaux et les riverains des quatre communes concernées !
Une telle concentration de bovins s'apparenterait à de la maltraitance animale, entrainerait de lourdes nuisances sonores et olfactives, de la pollution environnementale, ainsi qu'une surconsommation d'eau.
Une telle concentration de bovins s'apparenterait à de la maltraitance animale, entrainerait de lourdes nuisances sonores et olfactives, de la pollution environnementale, ainsi qu'une surconsommation d'eau.
Contribution n°555 (Web)
Par BARDOU JEAN
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Déposée le 22 février 2025 à 09h52
Je ne peux imaginer qu'en France, pays dont la gastronomie est hissée au patrimoine mondial immatériel de l'humanité on puisse être aussi celui dont l'autorité de l'État, le Préfet, soutienne un projet contre l'environnement, destructeur d'emplois qui maillent le territoire désertifié, participe à la déforestation brésilienne par import d'aliments génétiquement modifiés, etc , etc.... Non rien n'est bon dans ce projet qui est tout sauf agricole.
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