Contribution n°868 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h16
Je m’oppose complètement à l’installation de ce type de projet et aux souffrances qu’il va générer.
Contribution n°867 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
- énorme impact des effluents dans l'environnement,
- aggravation des risques sanitaires par regroupement de nombreux animaux d'élevage,
- bien être des animaux mal assuré du fait de la concentration,
- augmentation de la pollution atmosphérique due à la rotation des camions assurant le
transport des animaux en amont et en aval de la production de la ferme,
- confiscation des terres au profit d'une seule entité et au détriment des agriculteurs de
la région.
Contribution n°866 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
On parle de souveraineté alimentaire, de suppression des souffrances animales
Est-ce que les mots ont encore un sens pour les élus de la république et les administrations qui mettent en œuvre les choix des citoyens ?
La France pourrait avoir cette souveraineté alimentaire si ses élus se faisaient un tant soit peu l’écho d’une population qui souhaite vivre de manière plus harmonieuse et plus locale, qui souhaitent donc moins dépendre de la loi des marchés pour s’éloigner petit à petit de toutes les catastrophes écologiques annoncées.
À quand un ministère de la santé et de l’agriculture? Ce serait tellement logique ? Beate
Contribution n°865 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
Merci
Contribution n°864 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
Une ferme qui s'occupe de bovin doit rester à taille humaine. On ne gère pas les animaux comme une usine. Produisez moins de viande et les consommateurs doivent s'en accomoder. Ne pensez pas juste à votre profit.
Salutations,
Christoph, Genève.
Contribution n°863 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
On doit produire en respectant notre planète.
Contribution n°862 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
Dr Vidal
Contribution n°861 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
Contribution n°860 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15
Comme le soulignent les conseils municipaux des 4 communes concernées, les modifications apportées depuis la première enquête publique n'effacent en rien l'aberration environnementale et agronomique que constitue le projet d'unité d'engraissement de la SAS T'Rhéa « Terre de Chavaignac ». D'ailleurs le site reste dimensionné pour accueillir 3 100 animaux (bâtiments, capacité de stockage, réserve d’eau), et le nouveau document n'apporte aucune garantie à long terme sur le prétendu redimensionnement.
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
JE M'OPPOSE À LA FERME USINE
Contribution n°859 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h15