Contribution n°3805 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h47
Détestable, irresponsable
Contribution n°3804 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h46
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.
Contribution n°3803 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h44
Contribution n°3802 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h43
Contribution n°3801 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h41
Contribution n°3800 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h41
Contribution n°3799 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h41
Nous n’avons pas besoin de plus, mais de mieux. Il faut privilégier la qualité à la quantité.
Le projet en question n’a pas de sens.
Contribution n°3798 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h41
Contribution n°3797 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h39
A l'heure où la question qui se pose est celle de la reprise d'exploitations à taille
humaine et à la production de qualité ce modèle est celui qui favorise les
industriels de la "malbouffe" et uniquement du profit au détriment de la santé des
citoyens.
Contribution n°3796 (Web)
Déposée le 23 février 2025 à 14h38
Pour que l'engraissement des bovins soit une ressource pour la région, il devrait être réalisé sur de petits sites dispersés et en système herbager bocager. Avec plus de 2 000 bovins, le nouveau projet soumis à enquête publique est malsain pour les animaux (concentration propice aux maladies et contraire à l'éthologie), préjudiciable aux riverains (nuisances sonores et olfactives, ballet de camions) et catastrophique pour l'environnement (pollutions, pression sur les sites naturels). Son énorme consommation d'eau déstabiliserait le bassin aval et dégraderait les sols et la biodiversité. Les céréales, les oléoprotéagineux et la pulpe de betterave alimentant les animaux seraient mobilisées en France et en Amérique du Sud au détriment de l’alimentation humaine et avec une empreinte carbone désastreuse.
Valider un tel projet contre l'avis des communes et de l'immense majorité des riverains, et en négligeant les recommandations de la Mission régionale d'autorité environnementale (MRAE), constituerait un précédent extrêmement grave dont tous les citoyens de France pourraient ensuite pâtir. Parce que la préservation des milieux et des animaux nous concerne tous, parce qu'un refus de prendre en compte la puissante opposition locale pourrait demain avoir des conséquences dans toutes les régions françaises, je suis parfaitement concerné par cette enquête publique et je vous demande de rejeter fermement ce projet à contresens de l'histoire et des urgences planétaires.