Contribution n°759 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 22h26
Je ne suis pas d'accord pour que ce projet soit maintenue et souhaite que l'on préservé des espaces naturels .
Contribution n°758 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 21h30
Contribution n°757 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 18h44
Une passerelle serait également bienvenue pour sécuriser l'accès au Tram.
Je ne suis pas spécialement foot mais il est temps que Brest et sa Métropole se dote de ce genre d'infrastructure moderne et "multi-fonctions" qui pourrait profiter à tous.
Contribution n°756 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 18h39
On connaît tous des exemples de stades flambant neufs qui sonnent creux les soirs de match, ou qui pèsent lourdement sur les finances publiques. Arkea Park prend le contre-pied de ce modèle : une capacité raisonnée, une attention à l’environnement, une polyvalence dans les usages. C’est un projet intelligent, durable et réaliste.
Brest n’a pas besoin d’un “Grand Stade” pour flatter les égos, mais d’un vrai stade, bien pensé, vivant, utile. Et c’est exactement ce que propose Arkea Park.
Contribution n°755 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 18h34
Contribution n°754 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 18h31
Je pense à mes enfants et aux perspectives qu’ouvrent cet ouvrage.
L’immobilisme a prévalu trop longtemps !
Pour ce projet que je trouve même sous-dimensionné !
Amitiés
Laurent
Contribution n°753 (Email)
Déposée le 15 avril 2025 à 17h06
Au sujet du stade de foot, quelques questions m'interrogent.
Tout d'abord, comment est-il possible qu'un projet ayant le nom d'une
banque et porté par une holding puisse faire l'objet d'une déclaration
d'intérêt général ? Pour rappel, le projet porte sur un stade de foot,
intégrant un espace immobilier avec une offre de restauration, une boutique
du SB29, une crèche et des espaces entreprises comprenant un auditorium et
un centre d’affaire. Voilà qui semble bien loin de servir l'intérêt
général.
Pourquoi autant d'argent public quand on nous dit que, pour les services
publics, les caisses sont vides ?
Sur la mise en conformité du PLUI, cela va à rebours des enjeux
contemporains écologiques et climatiques. N'y a t'il pas la loi ZAN du 20
juillet 2023 qui vise à renforcer l'accompagnement des élus locaux dans la
mise en "uvre de la lutte contre l'artificialisation des sols ?
C'est bel et bien un projet d'une autre époque, qui ne correspond à aucune
opportunité sociale et écologique. Pire encore ce projet nuit gravement au
devenir durable du territoire. Pendant ce temps là, comment expliquer aux
citoyens qu'il faut protéger la nature ?
Cette politique de l'autruche est délétère et irresponsable. Si nous devons
toutes et tous nous mobiliser, pour réduire au maximum l’impact
environnemental, valider ce projet est véritablement un renoncement, une
faute morale et politique.
Quid de la doctrine "éviter, réduire, compenser" (ERC), véritable socle du
code l'environnement ? On voit comment les aménageurs, promoteurs, élus et
porteurs de projets s'affranchissent de l'évitement et de la réduction en
s'arrogeant impunément le droit de détruire.
A quoi servent les associations de protection de l'environnement, les
alertes sur le déclin et la disparition de la biodiversité ? A quoi servent
les dispositifs de concertation et les commissaires enquêteurs quand les
décideurs font fi de leurs avis non contraignants ?
Encore un projet inutile néfaste à l'environnement. Business is business,
tant pis pour la planète.
David Nogues
12 rue bugeaud
29200 Brest
Contribution n°752 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 17h39
Contribution n°751 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 17h25
Contribution n°750 (Web)
Déposée le 15 avril 2025 à 17h09
Tout d'abord, comment est-il possible qu'un projet ayant le nom d'une banque et porté par une holding puisse faire l'objet d'une déclaration d'intérêt général ? Pour rappel, le projet porte sur un stade de foot, intégrant un espace immobilier avec une offre de restauration, une boutique du SB29, une crèche et des espaces entreprises comprenant un auditorium et un centre d’affaire. Voilà qui semble bien loin de servir l'intérêt général.
Pourquoi autant d'argent public quand on nous dit que, pour les services publics, les caisses sont vides ?
Sur la mise en conformité du PLUI, cela va à rebours des enjeux contemporains écologiques et climatiques. N'y a t'il pas la loi ZAN du 20 juillet 2023 qui vise à renforcer l'accompagnement des élus locaux dans la mise en œuvre de la lutte contre l'artificialisation des sols ?
C'est bel et bien un projet d'une autre époque, qui ne correspond à aucune opportunité sociale et écologique. Pire encore ce projet nuit gravement au devenir durable du territoire. Pendant ce temps là, comment expliquer aux citoyens qu'il faut protéger la nature ?
Cette politique de l'autruche est délétère et irresponsable. Si nous devons toutes et tous nous mobiliser, pour réduire au maximum l’impact environnemental, valider ce projet est véritablement un renoncement, une faute morale et politique.
Quid de la doctrine "éviter, réduire, compenser" (ERC), véritable socle du code l'environnement ? On voit comment les aménageurs, promoteurs, élus et porteurs de projets s'affranchissent de l'évitement et de la réduction en s'arrogeant impunément le droit de détruire.
A quoi servent les associations de protection de l'environnement, les alertes sur le déclin et la disparition de la biodiversité ? A quoi servent les dispositifs de concertation et les commissaires enquêteurs quand les décideurs font fi de leurs avis non contraignants ?
Encore un projet inutile néfaste à l'environnement. Business is business, tant pis pour la planète.