Les contributions

Contribution n°84 (Web)

Anonyme
Déposée le 22 septembre 2024 à 10h37
Ce projet est contraire à l'intérêt général.
Il détruit les possibilités pour un avenir viable et durable.
Cette enquête publique [...]
Ce projet est contraire à l'intérêt général.
Il détruit les possibilités pour un avenir viable et durable.
Cette enquête publique doit être le reflet clair, honnête et loyal des dégâts qui seraient commis si ce projet se mettait en place.

Contribution n°83 (Web)

Par Jean Luc
Déposée le 21 septembre 2024 à 16h35
Il y a un seuil critique à l'acceptabilité des projets, ici il y a deux exploitations de sablière et qui sont amenés à faire des extensions [...]
Il y a un seuil critique à l'acceptabilité des projets, ici il y a deux exploitations de sablière et qui sont amenés à faire des extensions et des renouvellements . L' inacceptabilité n'est pas le seul fait d'une population mais aussi d'un système écologique, jusqu'où les sols, les circuits hydrologiques, la biodiversité, faunes et flores pourront souffrir de cette activité. L'étude d'impact ne tient pas assez compte de cet ensemble, un projet ne peut pas être jugé, évalué que de manière intrinsèque. Il est remarquable qu'en France, on remarque de plus en plus de projets, quels que soient leurs objets qui sont d'abord unitaires et d'ampleur importantes mais répondant aux critères maximaux, puis sont étendus ou parfois voisinent avec de nouveaux projets du même acabit. Et quand bien même, il y aurait une fin d'exploitation, les réouvertures sont aussi monnaie courante ( exemple : carrière du Tahun à Guémené Penfao ) . C'est un cercle sans fin. Les dérogations , les contournements, les interprétations des lois à l'encontre de leur intention sont aux principes de tels projets. Pourvu que ça passe, à moins que cela casse ! A ne plus mettre de limite ou à la contourner ainsi, la limite arrivera d'une autre manière par les effets du réel, accidents, dégradations qui impacteront le vivant et ses conditions. Nous en voyons les premiers effets alarmants.

Il manque aussi des précisions sur le plan économique, à quel besoin réel correspond cette demande, quel est l'état de la concurrence . Le schéma régional des carrières n'étant en rien une étude économique mais un outil de planification et , de fait, il ne répond pas au présent, à l'urgence et n'intègre pas les nouvelles lois . Aussi d'autres questions et réponses doivent être intégrées dans le dossier : Quelle est la demande sociétale ? Quels sont les nouveaux idéaux et surtout quelle est l'urgence face à la perte de la biodiversité, au réchauffement climatique et à la santé environnementale ? . Des nouvelles lois comme la loi Zan doivent être vues dans leur intention, il s'agit bien de réduire l'artificialisation des sols et par conséquent de réduire la production de granulats qui la permettent. De même. La loi anti-gaspillage pour une économie circulaire tend à ce que les déchets du BTP ne soient plus enfouis mais recyclés.

Il y aurait donc un paradoxe à autoriser ce qui n'est plus autorisable, c'est à dire autoriser une production de sable pour augmenter l'artificialisation des sols et un enfouissement de déchets du BTP pour ne pas à avoir à les recycler. Le recyclage, hormis qu'il évite la pollution des sols par l'enfouissement, devrait réduire à environ 36% la production de granulat naturel. Autoriser ce projet, c'est aussi ne pas favoriser cette nouvelle filière du recyclage bénéfique pour tous, sauf pour les carriers. Il est bien évident que la production de granulats et l'enfouissement de gravats font un double revenu . Ce flux de gravats- granulats vient aussi consolider le modèle démolition-construction, autre double revenu pour ces entreprises du BTP. Il faut donc aider ces entreprises à la réhabilitation, au recyclage, cette aide pourrait être financière mais surtout doit en passer par un refus de ces projets d'extensions - enfouissements .

Le recyclage des déchets du BTP a tout son intérêt quand il s'opère sur place, sur les sites où ces déchets seront réemployés, évitant ainsi les cohortes de camions dans un sens comme de l'autre ( moins d'enfouissement, moins d'extraction ) . Ces gains de trajets sont colossaux, puisque chaque camion de 44 tonnes use un million de fois plus la route qu'une automobile classique . Ainsi ces entreprises, ont comme principale activité de réparer ce qu'elles détruisent. Ces boucles, projets d'extensions - enfouissements, flux de gravats- granulats, soutien à la démolition-construction, participation à l'usure-réparation, constituent un capitalisme circulaire, des cercles vicieux qui s'opposent à l'économie circulaire. Est cela qui doit être encouragé ? Cette activité rentable pour ces entreprises est coûteuse pour le contribuable, et bien sûr coûteuse sur le plan environnemental et pour la santé publique.

Ces trajets de camions créent une pollution atmosphérique et une insécurité routière. L'extraction a des conséquences sur l'hydrologie du lieu, sur la biodiversité, sur l'économie agricole, sur la santé et la sécurité des personnes qu'y travaillent, sur les conditions de vies des personnes qui travaillent, habitent, passent aux alentours. L'enfouissement des déchets du BTP a aussi des conséquences, pollutions des eaux par les substances contenues dans ces déchets . Le traitement de ces déchets par le symbolique, c'est à dire leur qualification en "déchet inerte" n'est pas suffisant, ils contiennent de nombreux polluants ( Pfas, métaux lourds, bactéries ) et un contrôle par le regard de ce qui n'est pas visible est aussi dommageable. Concernant les poussières, s'il est reconnu qu'elles sont dangereuses au sein de l'exploitation, elles le sont inévitablement aussi pour les proches même si pour l'instant en France aucune étude a été entreprise pour mesurer les conséquences sur le voisinage, contrairement aux Etats unis. En 2025, enfin une étude sur ce sujet devrait être publiée.
Nous sommes donc dans une situation où les déchets sont déclarés et perçus comme inertes visuellement et la poussière comme ne se déplaçant pas malgré les vents. Chercher à ne pas voir, pourrions nous changer d'attitude ?

Il y a donc à regarder et parfois plus loin que ce qui nous est donné à voir. Le sable qui est extrait de St Colomban est utilisé en petite partie pour le maraichage aux alentours. On pourrait parler de circuit-court, mais si on regarde les camions qui partent de ces serres, ils vont vers des destinations très lointaines, hors de France. Ce sable favorise l'export, pas le circuit court.

L'étude d'impact est réalisée par des cabinets d'études qui ne peuvent pas être indépendants puisqu'un lien commercial existe entre eux et le demandeur. Les résultats à obtenir prédéterminent l'étude d'impact . C'est la règle du jeu . Cependant l'enquête publique devrait être ce moment où un équilibre est rétabli . Pour avoir rencontré à plusieurs reprises les membres de l'association La Tête dans le Sable et les scientifiques qui y participent, j'ai pris connaissance de leurs arguments très élaborés contre ce projet. L'éthique qui les préside a une valeur aussi estimable que la recherche de gain du pétitionnaire. Nous savons malheureusement que la composition du CDNPS ne peut faire advenir une décision défavorable à ce projet ( 3 voix pour les services instructeurs, 3 voix pour les représentants des carriers, et en cas d'égalité une voix prépondérante pour la préfecture ), nous savons aussi que le préfet donnera, comme pour les autres dossiers de carrières, son avis favorable , cependant l'enquête publique reste un moment où quelque chose de la vérité peut émerger même si la sentence ne répond pas à cet enjeu. Malgré qu'environ 97% des enquêtes publiques finissent par un avis favorable, il est remarquable qu'il y ait encore tant de personnes à y participer ? Est ce sain ou pure folie ? Probablement, il y a encore quelques espoirs que l'enquête publique devienne un outil démocratique majeur et que les
problématiques environnementales soient mieux prises en compte. La société ne tiendra pas par du sable mélangé à du béton. Défendre la démocratie, les conditions de vie, les vivants, la science, la parole, les lois, tels sont aussi les enjeux de cette enquête . Dans chaque point, le global y est contenu. Chaque grain de sable représente l'histoire du monde.

Aussi Messieurs les commissaires, je vous prie de donner aux prochains, aux prochaines, non une carrière mais un avenir.

Contribution n°82 (Web)

Par Guillaume M
Déposée le 21 septembre 2024 à 16h02
Dans le contexte actuel de réchauffement climatique pas forcément palpable mais dont les effets antropiques sont déjà prouvés, ce [...]
Dans le contexte actuel de réchauffement climatique pas forcément palpable mais dont les effets antropiques sont déjà prouvés, ce genre d'initiative privée impactant le domaine public doit être soumis à referendum a minima.
De plus, toutes les organisations écologiques ou même simplement le GIEC recommandent de limiter l'emprise non naturelle au sol, pourquoi ne pas continuer dans cette voie et figurer parmi les premiers à refuser ces cas ? Là encore il y a peut-être d'autres solutions techniques (plus onéreuses sûrement pour l'entreprise et un peu la collectivité) pour minimiser l'impact ?

Contribution n°81 (Web)

Par Lecointre Marc
Déposée le 21 septembre 2024 à 15h37
Puiser du sable à grande profondeur : c'est détourner l'eau des rivières et des nappes phréatiques alors qu'on parle que d'aménagements [...]
Puiser du sable à grande profondeur : c'est détourner l'eau des rivières et des nappes phréatiques alors qu'on parle que d'aménagements des cours d'eaux pour la diversité des espèces et la préservation de l'environnement .
Donc autoriser l'agrandissement des carrières c'est aller à l'encontre des démarches écologiques gouvernementales aux profits des grosses entreprises.
Et cela sans nous demander notre avis

Contribution n°80 (Web)

Par juvin nelly
Déposée le 21 septembre 2024 à 15h26
Notre habitation est proche des carrières moins de 1kilometre, nous constatons une nette diminution du flue d'eau du Redour et des [...]
Notre habitation est proche des carrières moins de 1kilometre, nous constatons une nette diminution du flue d'eau du Redour et des nappes phréatiques. Et nous subissons le bruit incessant des engins de chantier et de leurs alarmes de recul . Nous trouvons regrettable qu'étant proche de toutes ces nuisances , nous n'avons pas été invité à donner notre avis par la mairie de Geneston et de Saint Colomban. Il est inadmissible d'appauvrir nos sols et de détourner l'eau qui est de plus en plus précieuse pour notre écosystème et cela pour le profit

Contribution n°79 (Web)

Anonyme
Déposée le 21 septembre 2024 à 14h00
Bonjour,
En pièce jointe, vous trouverez une petite illustration des mesures ERC vues par GSM...
Bon week-end !

(au cas où ce ne [...]
Bonjour,
En pièce jointe, vous trouverez une petite illustration des mesures ERC vues par GSM...
Bon week-end !

(au cas où ce ne serait pas clair avec cette illustration... je ne suis pas favorable au projet !)

Document joint


Contribution n°78 (Web)

Par BOUTé Bernard
Déposée le 21 septembre 2024 à 12h06
Monsieur le Commissaire Enquêteur,

ce projet d'extension de carrière prévoit de consommer 27 hectares supplémentaires de terres agricoles. [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,

ce projet d'extension de carrière prévoit de consommer 27 hectares supplémentaires de terres agricoles. Mais, par une savante démonstration, le promoteur du projet nous explique que la consommation effective ne sera que de 13 hectares. En effet, certaines des parcelles en question seraient sorties du zonage agricole pour être exploitées par la carrière, et après une quinzaine d'années de bouleversements, elles seraient « remises en forme », et pourraient retourner en zonage agricole.
Il y a une différence entre les mathématiques et l'agronomie. En tant qu'agriculteur, je ne vois pas qui serait assez inconscient pout tenter de remettre en culture ou en prairie ce genre de parcelles. Qui prendrait le risque d'y investir du temps et de l'argent, dans l'espoir d'en tirer un bénéfice quelconque ? Si ce projet est validé, ces parcelles, aujourd'hui en prairie, très importantes pour la décarbonation, vont être transformées en bouillie, et seront définitivement perdues pour tout usage agricole.
Pour « justifier » cet accaparement de terres, GSM nous explique que, dans son secteur, les exploitations d'élevage, en raison de la crise de l'élevage et du vieillissement des exploitants, sont peu dynamiques. Et que donc, l'extension de la carrière n'aura pas de conséquences trop fâcheuse sur la dynamique agricole locale.
Mais pourquoi ne pas prendre le raisonnement à l'envers ? Comment des exploitations agricoles d'élevage pourraient-elles envisager sereinement l'avenir, investir, lorsqu'elles se retrouvent en lisière non pas d'un, mais de deux périmètres d'exploitation de carrières ? Qui est capable de lutter, financièrement ou juridiquement, face à des entreprises comme GSM, ou Lafarge ? Quelle exploitation agricole est capable de s'opposer à ces grands groupes internationaux ? GSM a beau jeu de dénoncer le manque de dynamisme de l'élevage, alors qu'il est en grande partie responsable de cet état de fait, en faisant peser une menace permanente sur le devenir des parcelles agricoles. Après avoir détruit la dynamique agricole, GSM s'étonne de la situation dans laquelle elle se trouve !
Le seul moyen de défense des terres agricoles, ce sont les documents d'urbanisme. Mais visiblement, ce n'est pas suffisant, puisqu'il suffit de déroger au PLU de la commune. A ce sujet, pour être acceptée, une dérogation doit remplir 8 critères. Parmi ceux-ci, le projet doit avoir un impact positif sur l'emploi. GSM nous explique que, l'autorisation d'extension permettra de maintenir les 12 emplois existants, ce qui équivaut à création d'emploi !! J'estime cet argument fallacieux, provocant et irrespectueux du public.
Selon GSM, la seule activité agricole dynamique du secteur, c'est le maraichage industriel, pilier de l'alimentation locale.
Je rappellerai juste que le maraichage industriel consomme un tiers de la production de sable, ceci pouvant éventuellement expliquer cela. Je rappellerai également qu'une part très importante de la production maraichère est destinée à des marchés lointains. Et que le maraichage industriel fait, lui aussi, peser de lourdes menaces sur les terres agricoles, les sols, l'eau, les paysages, …
Ce projet d'extension est une menace supplémentaire pour la préservation des terres agricoles, il démontre encore une fois que les documents d'urbanisme sont un leurre, et il fait la promotion du maraichage industriel et favorise son développement.
Pour toute ces raisons, je me prononce encore une fois contre ce projet d'extension.

Contribution n°77 (Web)

Anonyme
Déposée le 21 septembre 2024 à 10h07
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Si le projet d’extension et de renouvellement de la carrière GSM apporte une amélioration du trafic [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Si le projet d’extension et de renouvellement de la carrière GSM apporte une amélioration du trafic routier comme le souligne de bureau d’étude KALIES dans son étude d’impact (page 180), je pense qu’une absence d’extension et de renouvellement seraient encore bien plus salutaires pour le trafic…
De ce qui est actuellement à ce qui serait si le préfet accordait les demandes à GSM, on passerait de 50,7 % de trafic de poids lourds de la sablière sur le trafic de poids lourds total à 48,8 %… Ce serait une très faible amélioration (je parlerais d’ailleurs, plutôt que d’amélioration, d’un trafic moins pire) qui représenterait quand même, à l’arrivée, une centaine de poids lourds circulant chaque jour sur cette départementale…
D’autre part, entre le dépôt de la demande pour l’autorisation de cette présente sablière et aujourd’hui, GSM a déposé une demande d’augmentation du tonnage à extraire. Rien ne nous dit que dans un ou deux ans, il n’en serait pas de même, si on autorisait cette extension, et qu’une demande pour augmenter le tonnage d’extraction ou le tonnage de remblaiement, et donc, l’importance du trafic de poids lourds, ne serait pas déposée...
De plus, je trouve dommage qu’on ne parle que de tonnage moyen pour les poids lourds dont la circulation est liée à la sablière… En connaissant les tonnages les plus lourds, nous aurions une meilleure vision des dégâts occasionnés par le trafic lié aux sablières. En effet, « les dégâts [occasionnés sur les routes] n’évoluent pas linéairement au poids des véhicules, mais avec un facteur puissance quatre (a minima) : un essieu deux fois plus lourd qu’un autre aurait donc un impact 16 (=24) fois plus important. […] Si l’exponentielle est un fait établi, l’exposant qui indique son ampleur varie entre 4 et 12 selon le revêtement de la chaussée » (Source : Nelo Magalhães, « Accumuler du béton, tracer des routes. Une histoire environnementale des grandes infrastructures », p.127 => à lire absolument pour avoir une vision plus large des enjeux liés aux routes, aux poids lourds, à l’économie et à la politique économique). Aussi, comparer le trafic de poids lourds lié à la sablière au trafic moyen journalier ouvré pour tous les véhicules confondus n’a que peu de sens.
Le trafic de poids lourds trop pondéreux est inadapté à cette départementale. Dans le chapitre des nuisances occasionnées par les poids lourds (p. 180 et 181 de l’étude d’impacts), la dégradation matérielle de la chaussée n’est pas mentionnée en tant que telle. Il ne s’agit pas simplement de la chaussée devant le site, mais des chaussées en général et des dégradations qu’un tel trafic implique.
Je suis favorable à la préservation de nos réseaux de communication routiers et de notre bocage. Je m’oppose donc à ce projet d’extension.

Contribution n°76 (Web)

Par Leduc Benjamin
Déposée le 20 septembre 2024 à 22h23
Comme beaucoup je suis très sensible à la préservation de nos milieux naturels, que l'on grignote jours après jours, c'est poiurquoi [...]
Comme beaucoup je suis très sensible à la préservation de nos milieux naturels, que l'on grignote jours après jours, c'est poiurquoi m'oppose à cette extension.
J'ai grandi à geneston et ses communes voisines, à jouer dans les champs les mares les étangs.
Ça me briserais le cœur de voir mes terrains de jeux enfants êtres rasés pour des carrières. Je pense sincèrement qu'il peut y avoir une alternative et que nous pouvons trouver une autre solution.
Je suis contre!

Contribution n°75 (Web)

Par Templier Charly
Déposée le 20 septembre 2024 à 17h39
Par cette contibution à l'enquête publique je tiens à affirmer mon opposition à ce projet d'extension de la carrière présenté par [...]
Par cette contibution à l'enquête publique je tiens à affirmer mon opposition à ce projet d'extension de la carrière présenté par GSM.
Ce projet est la mise en oeuvre d'un type de développement et de société que nous devons remettre en cause pour l'avenir des générations futures.
La mise en place de ce projet et le développement du maraichage industriel pose le problème de l'usage du foncier et de la ressource en eau monopolisée des pratiques dépasées au regard de la crise climatique et environnemental.
pensons à nos enfants et petits enfants !!!!
Par cette contribution je réaffirme mon soutien et ma solidarité avec les positions et actions du collectif : "La tête dans le sable.
fait à Montbert le 20 / 09 / 2024

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