Les contributions

Contribution n°42 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 septembre 2024 à 13h18
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Déjà une semaine que l’enquête publique a commencé, et il me semble impossible, sauf à s’y consacrer [...]
Monsieur le Commissaire Enquêteur,
Déjà une semaine que l’enquête publique a commencé, et il me semble impossible, sauf à s’y consacrer à temps plein, de lire l’ensemble des documents permettant de prendre connaissance de ce dossier sur la période impartie à l’enquête publique. Quels sont ceux qui auront le loisir de consacrer autant de temps, au débotté, à ce projet ? Les retraités, ceux qui auront posé accidentellement leurs vacances sur cette période et qui n’avaient en outre pas le projet de partir… Le projet d’extension et de renouvellement de la carrière GSM est, de fait, présenté comme un projet d’utilité publique. On peut le questionner sans à avoir à lire une seule ligne du dossier d’étude d’impact car nous savons tous que les profits de cette activité ne se retrouvent que dans la poche de quelques uns qui n’ont que faire du bien commun.
De fait, je me positionne contre ce projet.
Et si par hasard, il vous semble aussi cohérent qu’à moi de prolonger la période de l’enquête publique, cela me permettrait sans doute de pouvoir en prendre connaissance avec plus de détente, et d’espoir que le but de cette enquête ne soit pas de nous assommer… !

Contribution n°41 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 septembre 2024 à 12h36
Bonjour,
afin d’étayer mes arguments en défaveur du projet proposé par GSM, je joins à ma contribution un hyperlien que j’ai à coeur [...]
Bonjour,
afin d’étayer mes arguments en défaveur du projet proposé par GSM, je joins à ma contribution un hyperlien que j’ai à coeur de vous partager : https://www.vd.ch/gc/seances-du-grand-conseil/point-seance/point/191d2103-2592-4bf2-b83e-220d58b9a58c/meeting/1013650 (j'ajoute l'article en PJ également).
Il s’agit d’un rapport venant de Suisse, où l’industrie du sable et du béton est aussi problématique que chez nous (mais on en parle plus là-bas, notamment grâce au livre « Béton, la fin d’une ère » que je vous recommande vivement !).
Il est dit en premier lieu que le béton est la source d’une industrie extrêmement polluante… et donc le sable destiné à produire ce béton ne peut que être le complice de ce désastre. Comme il est surconsommé, il entraîne également une surconsommation de sable. C’est là le deuxième point important : le sable est une ressource non renouvelable (à notre échelle de temps). Double peine, donc, pour le béton, et pour le sable car quand on parle du béton, on parle aussi du sable ! Ceci remet fortement en cause le bienfondé de l’extraction de sable telle qu’on la pratique aujourd’hui (c’est-à-dire de façon démesurée).
Ce rapport rappelle ensuite que des alternatives au sable existent dans le domaine de la construction, mais qu’évidemment, ce ne sont pas les industries extractives qui mettront en valeur et inciteront à se tourner vers les alternatives.
L’article se poursuit sur les gaz à effet de serre (GES) du béton : le béton est responsable de 52 à 80 % des émissions de GES de la construction, secteur lui-même responsable de 10 % des émissions de GES mondiales. On ne peut pas désolidariser GSM de ces émissions puisque sont activité est principalement vouée à extraire ce qui permettra de faire ce béton et que c’est sur cela qu’elle appuie sa demande de projet.
Ils détaillent ensuite ce en quoi est problématique la fabrication du ciment : donc non seulement il y a une empreinte carbone très élevée, mais en plus, le processus est très énergivore. En ces temps de sobriété demandée à tous les niveaux, il serait temps d’appliquer la sobriété aussi dans le secteur du BTP.
Le troisième point important de ce rapport est la question du foncier. Nous avons là, les chiffres de la Suisse, mais notre territoire de Loire-Atlantique (et sans doute dans le reste de la France aussi !) n’est pas épargné sur ce point-là. Et Orlatti n’a pas de monopole non plus. Et qui plus est, GSM veut s’implanter sur des terres qui ont été protégées par le PLU sous la dénomination de « terres agricoles pérennes ». Comment peut-on décider de protéger des terres pour remettre cette décision en question dès que la grosse industrie montre son armée de tractopelles ?
Pression du foncier aggravée par le maraîchage industriel. Et cette pression s’exerce tant pour l’achat des terres (Lafarge) que pour leur location (GSM).
Le rapport se termine par des propositions que je ne développerai pas ici, car ce n’est pas le propos, mais que je mentionne pour bien montrer que des alternatives existent, que l’extraction de sable n’est pas une fatalité (ni pour le maraîchage industriel, ni pour le béton à outrance en tous les cas) et qu’il suffit de le décider pour, sinon y mettre fin, au moins la réguler (avis aux élus !). Et c’est ce que je décide, à mon niveau, de faire à travers cette contribution.
Belle journée !

Document joint


Contribution n°40 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 septembre 2024 à 12h14
Bonjour,
Je m’oppose à cette extension des carrières.
Je vous propose de regarder le tableau de la page 235 de l’étude d’impacts.
Pour [...]
Bonjour,
Je m’oppose à cette extension des carrières.
Je vous propose de regarder le tableau de la page 235 de l’étude d’impacts.
Pour le projet retenu : il me semble qu’une carrière ne peut pas avoir un impact positif sur la biodiversité, encore moins s’il s’agit simplement d’éviter une zone humide ; de même, l’impact sur le paysage ne peut pas non plus être neutre car il s’agit de continuer à substituer à des prairies bocagères des hectares de plans d’eau ; on est sur un impact seulement « modéré » sur le volet agricole alors que des surfaces agricoles vont tout simplement disparaître ; le trafic induit par quelqu’entreprise que ce soit aura du mal à me faire dire qu’il induit quoique ce soit de positif également ; quant à la qualification de « modéré » au lieu de « négatif » pour la proximité du projet par rapport aux habitations, il s’agit là encore d’une évaluation toute subjective du porteur de projet.
Sur l’acceptation du projet enfin, puisque les sablières sont déjà en place, alors l’impact serait neutre ? Mais les sablières déjà en place avaient une autorisation limitée dans le temps. Est-ce à dire qu’un projet étant (malencontreusement ?) accepté sur une durée limitée, le territoire accueillant le projet serait définitivement englué dans un processus inarrêtable sauf peut-être par l’épuisement complet de toutes ses ressources ? C’est ce que j’entends, en tout cas, dans le « neutre » de ce volet. Pourtant, l’opposition à ces sablières ne m’a jamais paru aussi forte. Pourtant, nous savons depuis quelques temps déjà qu’il est temps d’amorcer un tournant dans notre façon de vivre, et les politiques nous tancent de plus en plus sur la nécessité de la transition écologique qui va dans la direction inverse de cette extension des sablières.

Contribution n°39 (Web)

Par Grand-Auverné Environnement
Déposée le 16 septembre 2024 à 11h30
A l’attention de Mr Gérard LAFAGE , commissaire enquêteur,
Le sable est une ressource en voie d’épuisement, il est sacrifié aux bénéfices [...]
A l’attention de Mr Gérard LAFAGE , commissaire enquêteur,
Le sable est une ressource en voie d’épuisement, il est sacrifié aux bénéfices des industriels avec une étique douteuse, son extraction implique :
- la contribution de la nappe phréatique et donc une modification impactant le réseau hydrique, la disparition des couloirs écologiques, la dévalorisation des logements …
Quelles ressources allons-nous laisser aux générations futures ? Ce qui est sûr, c’est qu’ils ne disposeront pas d’autant de gisements disponibles pour leurs ouvrages en bétons. Ils devront donc trouver des alternatives …choses que nous pouvons d’ors-et-déjà prendre en mains plutôt que de céder à la facilité du pillage des ressources non renouvelables.
Le rapport du GIEC des pays de la Loire est peu optimiste quand à la qualité de vie pour les années, décennies et siècles à venir...Nous vivons actuellement une époque où les périodes de sécheresses s’accumulent de façon irréversible. La sobriété n’est plus une option mais une nécessité. Mr Gérard LAFAGE, vous n’êtes pas sans savoir que le jour de dépassement est estimé pour l’année 2024 au 1 Août. L’accélération industriel est mortifère, pouvez-vous être dans le déni de l’urgence de la situation ? Pouvez-vous prioriser le profit économique au détriment du bien commun en toute bonne fois ? L’humanité a besoin d’une vision à long terme au rebours de ce genre de projets dont la finalité est un trou lesté de ses millions de tonnes de sable, remplis de déchets dit « inertes » et d’eau soumise à l’acidification et à l’évaporation.
Le gouvernement, en accord avec la ratification des accords de Paris, a promulgué en août 2022 la loi Climat et résilience avec application immédiate. Le contenu de cette loi restreint drastiquement l’extension du développement urbain avec pour objectif le limiter l’artificialisation des sols. Or il se trouve que les scénarios d’approvisionnements contenus dans le schéma régional des carrières de la DREAL datent de janvier 2021. Une actualisation des besoins s’avère nécessaires pour être au plus près des possibilités de consommations. De plus, le secteur de la construction subit depuis de nombreux trimestres un revers économique sans précédant !
Merci de votre empathie envers les générations futures car chaque acte compte. Un avis défavorable incitera à repenser la consommation du sable avec plus de parcimonie et à anticiper au mieux de nouvelles alternatives avant l’inexorable fin de cette ressource.

Contribution n°38 (Web)

Anonyme
Déposée le 16 septembre 2024 à 10h28
le marais gâté st colomban
étang personnel à sec tous les étés depuis la création des carrières sur le village
Puit à sec
Qualité [...]
le marais gâté st colomban
étang personnel à sec tous les étés depuis la création des carrières sur le village
Puit à sec
Qualité et quantité d'eau
Dévaluation immobilière

Contribution n°37 (Web)

Par MEVEL jean-pierre
Déposée le 15 septembre 2024 à 15h16
L'extension de la sablière va entraîner :
* une mise à l'air libre de la nappe phréatique, donc une évaporation importante.
* la disparition [...]
L'extension de la sablière va entraîner :
* une mise à l'air libre de la nappe phréatique, donc une évaporation importante.
* la disparition des mares suite à la baisse du niveau de la nappe.
* l'arrachage des haies donc faire chuter la biodiversité.
* l'utilisation d'intrants chimiques polluant ainsi la nappe et les sols.
L'avenir est à une agriculture paysanne respectant le vivant.

Contribution n°36 (Web)

Par Aze jeremy
Déposée le 15 septembre 2024 à 11h33
Bonjour, je refuse l’extension de la carrière

Contribution n°35 (Web)

Par jean claude
Déposée le 15 septembre 2024 à 09h47
bonjour et oui c est encore moi
j ai oublié de poser une question pourquoi depuis 4 ans il n y a plus de comité de suivi
mr le [...]
bonjour et oui c est encore moi
j ai oublié de poser une question pourquoi depuis 4 ans il n y a plus de comité de suivi
mr le commissaire enqueteur j ai fais une erreur c est depuis l annee 2000 qu il n y en a plus
donc depuis que gsm veut s agrandir vous avez dit bizarre???????

Contribution n°34 (Web)

Par Maunier Guillaume
Déposée le 14 septembre 2024 à 23h29
Je suis opposé à l'extension de la carrière de sables de la grande Garde à Saint Colomban.
Je pense que compte tenu de l'état de dégradation [...]
Je suis opposé à l'extension de la carrière de sables de la grande Garde à Saint Colomban.
Je pense que compte tenu de l'état de dégradation avancée de notre environnement qu'il faut arrêter de tout détruire sans arrêt comme nous le faisons.
Il est temps de réduire fortement nos impacts et de construire différemment, rénover plus, utiliser les 3 100 000 logements et vacants et encore plus nos logements secondaires; lutter contre la location court durée, favorisée la cohabitation dans les grands logements...etc
Il existe des alternatives au tout béton pour dire les choses simplement.
Les zones agricoles doivent être préservées tout comme le sable doit être préservé compte tenu de sa surexploitation au niveau planétaire. Nous n'avons toujours pas de planète B.
Non à cet énième projet destructeur!!

Contribution n°33 (Web)

Anonyme
Déposée le 14 septembre 2024 à 21h17
Je souhaite faire savoir mon opposition a ce projet d'extension. Il est hors de question de vendre notre santé, notre tranquillité [...]
Je souhaite faire savoir mon opposition a ce projet d'extension. Il est hors de question de vendre notre santé, notre tranquillité et la nature qui nous entoure pour enrichir toujours les memes. Il est temps d'arrêter ce massacre écologique.

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