Contribution n°28 (Web)
Déposée le 13 septembre 2024 à 16h53
Contribution n°27 (Web)
Déposée le 13 septembre 2024 à 16h13
c est incroyable de penser a agrandir une sabliere qui nous pose tant de soucis au marais gaté
baisse de la nappe de 1 m de plus qu a geneston ( station total) parce que nous sommes
a 450 m de la sabliere
puis les etangs a sec et oui poisson qui crevent
puis viennent les arbres qui n ont plus assez d eau
j ai des photos qui le prouve
et quand les autorités prendrons nos problemes en consideration
sans doute jamais la mairie est pour cette agrandissement et pour les riverains elle fait quoi rien de rien c est terrible
Contribution n°26 (Web)
Déposée le 13 septembre 2024 à 16h11
c est incroyable de penser a agrandir une sabliere qui nous pose tant de soucis au marais gaté
baisse de la nappe de 1 m de plus qu a geneston ( station total) parce que nous sommes
a 450 m de la sabliere
puis les etangs a sec et oui poisson qui crevent
puis viennent les arbres qui n ont plus assez d eau
j ai des photos qui le prouve
et quand les autorités prendrons nos problemes en consideration
sans doute jamais la mairie est pour cette agrandissement et pour les riverains elle fait quoi rien de rien c est terrible
Contribution n°25 (Web)
Déposée le 13 septembre 2024 à 16h09
Personnellement impliqué dans le développement local en étant membre d’un Conseil de Développement d’une Communauté de Communes qui s’est opposée à la révision du PLU, je tiens à alerter Monsieur le Commissaire Enquêteur d’un enjeu non évoqué dans le dossier du projet : l’exploitation d’une denrée rare, le sable de carrière.
Le sable de carrière est utilisé localement pour la construction et l’aménagement de voie de communication et le maraîchage. Ce secteur d’activité, bien que très proche de la zone d’extraction, s’est engagé à réduire sa consommation. La réflexion de ces professionnels est d’envisager d’autres solutions que l’utilisation du sable qui du fait de sa raréfaction va devenir coûteux. Vraisemblablement qu’une préoccupation environnementale est également prise en compte par ce secteur d’activités maraîchères.
Par conséquent, la plus grosse partie du sable qui serait extrait de ces carrières étendues servirait à la construction mêlé à du ciment pour en faire du béton et perdre pour toujours ce matériau. Le béton est cause de différenciation thermique importante en milieu urbain. Utiliser une denrée qui se raréfie pour provoquer du mal-être humain, semble peu cohérent.
Déjà interpellée par des élus locaux sur l’absence de recherche de voie nouvelle en matière de construction, GSM n’a pas répondu. Plutôt que de poursuivre une orientation qui n’a que des intérêts à courts termes semble être un non sens pour une entreprise employant 60 000 salariés de ne pas imaginer une stratégie alliant préservation de la ressource, lutte contre le réchauffement climatique en zone urbanisée. D’autres moyens de construction sont possibles. Il est vrai que pour l’heure, le béton est un matériau peu onéreux facile d’emploi. Qu’en sera-t-il quand le prix du sable du fait de sa rareté aura atteint des sommets, le rendant moins concurrentiel pour le secteur du bâtiment ?
Exploitant 80 sites de par le monde, GSM s’est obligatoirement posé cette question. Ce qui conduit à penser, Monsieur le Commissaire, qu’il y a un vice dans la demande d’extension. En restant implanté sur ce gisement, GSM pourrait viser, à moyen terme être exploitant d’un produit ayant plus de valeur monétaire que d’intérêt pour son activité actuelle. Ce détournement spéculatif de type capitalistique est indécent pour les habitants d’une petite commune ; on se croirait en Amérique du Sud ou en Afrique où les populations sont spoliées des richesses naturelles par des intérêts privés….
La puissance publique que vous allez orienter dans votre choix ne peut pas ignorer, Monsieur le commissaire, de telles spéculations. Il est de l’intérêt général et de la décence de poser la question à GMS pour ouvrir cet aspect de sa spéculation financière à terme sur ce site !
Contribution n°24 (Mairie de Saint-Colomban)
Déposée le 13 septembre 2024 à 14h30
Documents joints
Contribution n°23 (Web)
Déposée le 12 septembre 2024 à 17h13
Je suis riverain des deux sablières, nous n'avons jamais eu de problèmes. Mon voisin adhérent des "contres" a vendu sa maison 400 000€ et à reconstruit à Geneston en parpaing...Sa maison n' a donc pas été dévalué, voir largement surévalué. Et madame adhérente à l'opposition du sable, a bien sûr compris que c'est mieux en béton chez elle , pas chez les autres. Pouvez-vous me dire combien de plaintes contre une pollution ou autres en 23 et 17 ans...0. Nous avons signé pour un collectif de riverains mais je crois que notre parole est détournée ou déformée. Je suis bien sûr favorable à cette extension.
Contribution n°22 (Web)
Déposée le 12 septembre 2024 à 17h03
Contribution n°21 (Email)
Déposée le 11 septembre 2024 à 15h24
Bonjour. Encore et toujours des écocides, le sable pour le béton ou autres. Des matières plus nobles et naturelles peuvent remplacer cet amalgame.
De toute façon il est grand temps de ne plus gaspiller notre planète dans ce domaine et tellement d'autres au nom du sacro saint pognons qui nourri toujours les mêmes, les plus gros.
Si vous avez des enfants quelle planète vous allez laisser "après moi le déluge". M.LE BAIL Claude
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 12 septembre 2024 à 16h47
En outre, les dégâts écologiques présentés par certaines associations paraissent bien exagérés
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 12 septembre 2024 à 16h46
Dans cette contribution, je souhaite faire connaître mon opposition à ce projet d'extension des sablières sur Saint Colomban en saluant le courage des élus de Saint-Hilaire-de-Chaléons, qui ont su respecter leur PLU dans son engagement à protéger certaines parcelles en les classant comme des "espaces pérennes agricoles" (p.235 du document "6-2a-gsm-ddae-ei-v2-etude-d-impact").
Cela m'interroge sur la latitude que nous avions à faire savoir notre désaccord sur ces changements lors du référendum de janvier 2022 ; s'il y avait déjà un accord de la municipalité sur la transgression de ces espaces agricoles pérennes, pouvait-il il y avoir une réelle présentation des impacts destructeurs d'une telle décision ? La municipalité étant déjà partie prenante d'un tel projet, elle ne pouvait pas, pour organiser l'information de la population sur le référendum, faire preuve de neutralité... ni demander aux porteurs de projets de ne pas faire preuve de prosélytisme en envoyant des auto-entrepreneurs faire du porte à porte pour "parler" du référendum...