Contribution n°18 (Web)
Déposée le 12 septembre 2024 à 12h56
Merci
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 12 septembre 2024 à 12h16
Nous sommes fermement opposées au projet d'extension des carrières de St Colomban.
Nous surveillons la progression de ce dossier depuis quatre ans. Nous sommes vigilantes devant l'industrialisation florissante de nos campagnes.
Ce projet nous pose questions:
-Qu' en est-il du respect de l'orientation vers la non artifilisation des sols ?
-Quels sols seront restitués et pour quelle agriculture après les ravages de l'exploitation des carrières, après les enfouissements des déchets dits "inertes "dans l'eau ?
-Peut-on croire que la biodiversité, les paysages seront restitués avec les compensations promises ? Sous quels contrôles durables et non assujettis aux carriers ?
-Des études scientifiques neutres, abouties, permettent-elles de mesurer les impacts réels et irréversibles d'un tel projet ?
À notre époque, où les équilibres écologiques sont fragiles et entraînent des catastrophes naturelles, où l'irreversibilité est un vrai sujet, nous devons à tout prix prioriser la sauvegarde de la biodiversité de notre territoire.
Merci Monsieur le Commissaire de prendre en compte nos interrogations, et nos réflexions.
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 11 septembre 2024 à 21h36
La préservation des sols et de leur qualité est un enjeu primordial, tout comme la sauvegarde de l'eau et elle ne cesse de l'être chaque année avec la dégradation de notre climat, visible par tous.
Les sablières fournissent une partie de leur sable pour le maraîchage industriel, responsable également d'un modèle agricole productiviste qui contribue à détruire nos sols.
Les élus en place ont le devoir de protéger le territoire qu'ils administrent durant le mandat, pas de le brader au nom d'intérêts économiques court termistes. C'est l'essence même, selon moi, d'un PLU.
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 11 septembre 2024 à 18h12
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 11 septembre 2024 à 18h11
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 11 septembre 2024 à 17h29
Protégeons nos ressources en eau, notre bocage et ses habitants, sa faune et sa flore.
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 11 septembre 2024 à 12h08
Merci de prendre en compte le futur de tous en stoppant ce projet délétère.
Le vivre ensemble avec intelligence est possible !
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 10 septembre 2024 à 20h47
En tant que riveraine de la future extension de la carrière GSM, particulièrement sensibilisée à l'impact des poussières sur nos villages, impact déjà perceptible malgré l'éloignement actuel de la zone d'exploitation, je souhaite rebondir sur la contribution n°7 concernant la gestion de la carrière en fonction du niveau de sécheresse.
Il est mentionné à la page 223 de l’étude d’impact de GSM qu'en cas de niveau 2 (alerte), la mesure adoptée par la carrière serait :
• l’arrêt de l’arrosage des pistes, des installations et des engins
Cependant, il est également précisé dans plusieurs pages du document que l'une des mesures de réduction des nuisances liées à la poussière (mesure ERC R2.2b : Limitation des nuisances pour les populations humaines/réduction technique en phase d'exploitation) inclut :
• En période sèche et venteuse, l’arrosage des pistes est réalisé pour éviter l’envol des poussières (p. 193) ;
• En cas de sécheresse, les pistes sont arrosées par des asperseurs pour limiter les envols de poussière (p. 20, p. 181) ;
• La circulation des camions acheminant les remblais est identifiée comme la principale source de poussière (p. 25).
D'après les données historiques sur les niveaux de sécheresse disponibles sur vigieau.gouv.fr, en 2023, le niveau d'alerte a été atteint dès le 1er juin, suivi par le niveau de crise à partir du 1er juillet, qui s'est prolongé jusqu’en octobre. Cela correspond à une période de cinq mois sans possibilité d'arrosage.
Cette année encore, le niveau d’alerte ou d’alerte renforcée est en vigueur depuis juin et reste d'actualité, entraînant déjà quatre mois sans possibilité d'arrosage.
Pouvez-vous m'indiquer comment GSM prévoit de gérer cette contradiction ? Doit-on cesser l’arrosage des pistes pour respecter les restrictions d’eau au détriment des riverains, ou continuer à arroser pour limiter la dispersion des poussières au détriment des règles environnementales ?
Je suis fermement opposée à ce projet, qui menace de dégrader significativement le cadre de vie des riverains.
Contribution n°10 (Web)
Déposée le 10 septembre 2024 à 19h46
Je regardais dans le dossier d'étude d'impact ce qui pouvait justifier les besoins de sable dont parle GSM. J'arrive donc sur les pages 226-227 et voit des tableaux qui parlent plus de production que de consommation (les consommations sont données pour l'année 2012 seulement - pourquoi pas par la suite ?), pour 2017, la consommation n'est renseignée pour aucun des départements, mais on a quand même la consommation régionale, et il est malgré tout dit : "on note une augmentation de la consommation régionale, qui se retrouve sur les échelles départementales et territoriales". Je ne trouve pas cela bien sérieux.
Pourquoi le bureau d'étude ne s'appuie-t-il pas sur des chiffres plus récents ?
Je crains qu'effectivement les chiffres plus récents ne soient pas aussi bons que les anciens...
Pour ce manque de clarté et sur le principe de précaution, je m'oppose à ce projet d'extension des sablières et à la remise en cause des terres jugées pérennes par le dernier PLU.
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 10 septembre 2024 à 19h00
Je suis suis contre ce projet d'extension.
Nous sommes aujourd'hui en restrictions d'eau, malgré le temps particulièrement pluvieux que nous avons eu toute l'année, et les maraîchers et les agriculteurs n'ont pas le droit de pomper dans les cours d'eau pour arroser. Pourquoi voudrait-on, dans ces conditions, autoriser les sablières à s'étendre et à continuer de détériorer la qualité et la quantité d'eau sur le territoire ?
Cette année, nous étions en restrictions d'eau sur l'Ognon, la Logne et la Boulogne, mais ce sera tous les ans que nous serons désormais en restriction d'eau par arrêté préfectoral...