Contribution n°88 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 18h11
Projet d’un autre temps…
Contribution n°87 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 12h07
- pour un week-end tranquille, pas d’exploitation ni samedi ni dimanche,
- pour une vie plus tranquille : fabrication d’un brise vue végétale ou artificiel d’une hauteur adéquat,
- pour une vie sans poussière : autorisation d’un sas nous protégeant de la poussière ,
- pour une tranquillité sur la route, fabrication de ralentisseurs pour que la moitié du cerveau disponible des chauffeurs poids lourds puisse faire attention aux usagers présents sur la route,
- concernant les mêmes poids lourds, numérotation de chaque camion avec téléphone en cas d’infraction avérée.
- la préservation du niveau d’eau de notre puits et de notre étang.
- la mise en place pour les riverains proches d’une contribution financière pour nuisances sonores et visuelles et surtout pour dépréciation de la valeur immobilière de nos maisons,
- une réunion bi annuelle de la carrière pour les riverains.
Au plaisir de vous rencontrer pour en parler.
Sonia et Philippe Correges
Contribution n°86 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 11h36
Contribution n°85 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 11h33
Effets néfastes sur l’environnement et la question qui se pose concerne aussi les voies d’accès.
Quelles seront les routes d’accès impactées et qu’est il prévu pour les agrandir en sachant que les petites routes de traverse seront aussi largement empruntées ( Faverolles ) ?
Contribution n°84 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 10h59
Contribution n°83 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 10h41
Pourquoi cet oubli ? C'est très probablement volontaire pour nous cacher la réalité ou alors: l'étude a été très mal faite ?
Celle route est magnifique notamment en période de floraison au printemps .
Pourquoi voulez-vous enfreindre la législation en détruisant les jonquilles ?
Règles générales pour les jonquilles . Dans le cas où la cueillette est autorisée, sachez que vous avez droit à deux poignées de fleurs par personne par jour soit deux bouquets de taille raisonnable.
La jonquille a un cycle de reproduction sur plusieurs années. Les cueillettes trop intensives risquent de perturber ce cycle. Lors de votre récolte, vous devez donc veiller à ne surtout pas arracher le bulbe de la jonquille!
Le Code Forestier prévoit une amende de 25 à 100 € en cas de non-respect de ces règles. Cette amende peut monter jusqu'à 500 € pour celui qui chercherait à faire commerce de sa récolte, ce qui est strictement interdit.
L'arrêté préfectoral du 25/03/1994 dit article 3 : "En tout temps et sur tout le territoire du département de l'Orne ,pour les spécimens sauvages de l'espèce suivantes ... narcissus pseudonarcissus, il est interdit d'arracher ou de prélever les parties souterraines( bulbes, racines)
On ne peut pas imaginer la destruction des jonquilles pour agrandir la route qui de toute façon n'est pas appropriée pour le passage de très nombreux camions .
Documents joints
Contribution n°82 (Web)
Déposée le 4 février 2025 à 00h03
L'article R. 1336-5 du Code de la santé publique stipule qu'« aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l'homme, dans un lieu public ou privé
Socaorne et les élus locaux ont-ils pris en compte les impacts de la pollution sonore sur la santé mentale des habitants de Montreuil et des alentours ? À l'heure du télé travail par exemple.... a-t-on interrogé les Montreuillois sur ce point ?
Des petits artisans travaillent à proximité...Selon certaines conclusions de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le bruit est le deuxième facteur environnemental le plus important à l’origine de problèmes de santé chez l’homme, juste après l’impact de la pollution atmosphérique.
Et sur la biodiversité, qu'en est-il ? espèces animales, dont celles des milieux humides, ne sont pas épargnées. Ainsi, chez la Rainette verte, une exposition au bruit augmente le niveau d’hormone de stress. Cela induit d’une part un effet immunosuppresseur, c’est-à-dire que le bruit empêche le système immunitaire de se défendre normalement contre les microbes.
BILLETTERIE
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La pollution sonore et ses impacts sur la biodiversité
Echelle du bruit ©Université de Tours
Il y a quelques mois, nous avions étudié le phénomène de la pollution lumineuse et son impact sur les oiseaux et les zones humides. Une autre forme de pollution peut également affecter les espèces animales : la pollution sonore. Si ses effets sur la santé humaine sont plutôt bien connus, les études sur la faune sauvage restent rares : alors, penchons-nous sur le sujet !
Qu’est-ce que la pollution sonore ?
Le bruit d’origine humaine a augmenté dans le monde entier. Il a des impacts négatifs, notamment sur la santé (stress, maladies, sommeil dégradé…) ainsi que sur la productivité au travail. Une étude de l’Ademe (Agence de la Transition écologique) d’octobre 2021 estime ainsi à plus de 147 milliards d’euros par an le coût social du bruit en France.
On parle de pollution sonore lorsque les nuisances sonores provoquées par les activités humaines, comme les transports ou les activités de chantier, perturbent l’acuité auditive – la perception des sons – la santé et les écosystèmes.
© Friedberg
Dans les villes, la plupart des bruits sont de basse fréquence et produisent des sons graves, comme le ronronnement d’un moteur de voiture. L’amplitude du bruit, c’est-à-dire son volume, augmente avec la circulation automobile. Cela pose un problème aux animaux vivant en ville qui utilisent les sons pour communiquer.
Lorsque deux personnes discutent au bord d’une rue bruyante, elles sont obligées de crier pour dépasser le vacarme ambiant et se faire entendre. Il en va de même pour les animaux. Ainsi, les oiseaux utilisent les sons pour attirer les partenaires, repousser les rivaux, avertir les autres de la présence de prédateurs et, plus généralement, partager des informations avec leurs congénères.
© Frontiers for young minds
La pollution sonore modifie les comportements des oiseaux
Le chant est un comportement dont certains oiseaux peuvent modifier la volume ou la fréquence à volonté, en fonction du niveau de bruit présent. La pollution sonore ayant augmenté au fil du temps, cette flexibilité vocale a permis à certains oiseaux de s’adapter aux paysages sonores urbains et d’éviter d’être exclus des villes bruyantes. Ainsi, afin d’être entendus en ville, ils chantent plus fort et de manière plus aigüe pour dépasser le bruit ambiant. Ils choisissent également des moments de la journée où le bruit est réduit : par exemple, avant ou après l’heure de pointe.
Ces populations semblent avoir intégré de façon permanente la modification du volume de leur chant ainsi que le moment de la journée pour communiquer
La pollution sonore perturbe la recherche de nourriture
La pollution sonore affecte les animaux dans leur communication… mais également dans leur capacité à se nourrir ! Les rapaces nocturnes – tels que les chouettes et les hiboux – ainsi que les chauves-souris utilisent les sons émis par leurs proies pour les localiser lorsqu’ils chassent. Mais cette capacité est affaiblie par le bruit de la circulation en journée qui impactes leur rythme de vie.
La pollution sonore peut également perturber les espèces dans leur capacité même à se reproduire. Des chercheurs ont ainsi constaté des taux d’éclosion réduits chez trois espèces d’oiseaux nichant à proximité d’un site de production de pétrole et de gaz. En cause : un niveau anormalement élevé de stress chez les femelles. Le bruit des machines couvrant les sons produits par les prédateurs, les oiseaux devaient faire preuve d’une vigilance accrue.
Une enquête menée par des scientifiques du Centre d’études biologiques de Chizé.Reportage publié par le CNRS et LeMonde.fr.
La santé de la faune affectée par la pollution sonore
Selon certaines conclusions de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le bruit est le deuxième facteur environnemental le plus important à l’origine de problèmes de santé chez l’homme, juste après l’impact de la pollution atmosphérique.
Les conséquences des nuisances sonores humaines ne s’arrêtent pas là. La pollution sonore va jusqu’à influencer la physiologie et l’organisation même du cerveau des individus y étant exposés. Diverses zones cérébrales voient leur volume diminuer sous l’influence du bruit. Ces dernières contrôlant entre autres, les fonctions cognitives, l’exposition précoce au bruit peut induire des troubles de l’apprentissage, de la mémoire et nuire aux capacités d’adaptation des animaux.
Et nos bébés, nos enfants ? N'y aurait-il pas d'impactes sur leur développement, leur rythme de sommeil....?
Mais qu’en est-il de la santé de la faune sauvage ?
Les espèces animales, dont celles des milieux humides, ne sont pas épargnées. Ainsi, chez la Rainette verte, une exposition au bruit augmente le niveau d’hormone de stress. Cela induit d’une part un effet immunosuppresseur, c’est-à-dire que le bruit empêche le système immunitaire de se défendre normalement contre les microbes. D’autre part, cela a un impact négatif sur la coloration du sac vocal de cette grenouille. Or la coloration vive est un signal de bonne santé : les mâles moins colorés sont donc peu attractifs pour les femelles et se reproduisent moins
Pollution sonore et biodiversité : les points clefs
L’augmentation du bruit anthropogénique – causé par l’être humain – dans le monde entier affecte le système immunitaire des espèces animales et leur capacité de reproduction.
La pollution sonore pourrait affecter un plus grand nombre d’espèces animales qu’on ne le pensait auparavant.
La pollution sonore est responsable d’un affaiblissement de la biodiversité.
Pour réduire la pollution sonore et préserver la biodiversité des zones urbaines, des solutions existent ! Par exemple : l’établissement de zones de quiétude pour la faune sauvage tels que des parcs ; la végétalisation des façades des bâtiments, pour limiter la réverbération des sons et servir de support à la faune sauvage ; la sensibilisation du plus grand nombre à la diversité sonore qui nous entoure, pour promouvoir des paysages sonores au service du bien-être des espèces animales… dont l’humain fait partie ! ? Ne serait-ce pas notre milieu rural à l'heure actuelle ?
Enfin dans le secteur de cette carrière, n'y a t-il pas des éleveurs caprins, ovins, bovins, canins, aviculteurs....
Ont-ils été répertoriés ? Je ne vois rien de la sorte dans le dossier. Pourtant nos éleveurs locaux sont bel et bien présents au péril de leurs cheptels !
Les bruits liés aux transports et à l’industrie stressent les animaux et impactent leurs comportements. Le stress chronique a des effets délétères sur la croissance, les fonctions immunitaires, ou encore perturbe le sommeil des individus de tout être vivant !
Des synthèses de beaucoup d’autres travaux, confirmant que le bruit humain peut affecter les animaux qui vivent avec nous ou dépendent de nous.
Chez les animaux domestiques, ou ceux dans les zoos et les fermes, le fait est qu’ils sont également exposés à des niveaux élevés de bruit et « auxquels ils ne peuvent pas échapper ». Les recherches montrent qu’un tel bruit peut « provoquer de la douleur, de la peur et des problèmes cognitifs
vibrations provoquées par le bruit. Elles peuvent blesser les animaux en « secouant » les parties internes de leur corps. Cela concerne, par exemple, les animaux d’élevage ! Outre la santé animale ceci a un impact sur la production de lait, la qualité de la viande etc...la fin du monde rural ! Tout le monde crie haut et fort que nous avons besoin de nos agriculteurs...alors ?
Qu'a-t-on prévu pour ces derniers, qu'a-t-on prévu pour la santé mentale, socio affective des habitants, qu a-t-on prévu pour la préservation de nos espèces, de notre biodiversité du pays du Houlme, site natura 2000....
Étude Fay Clark et Jacob Dunn
Contribution n°81 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 21h29
- Projet inutile pour les habitants, au détriment de l'environnement, et au profit d'une grosse entreprise
- Trafic autoroutier intensifié
- Dégradation de la qualité de vie, et des valeurs immobilières.
Contribution n°80 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 21h22
D’abord, l’impact environnemental serait considérable. Le village est proche d’un site Natura 2000, et une carrière mettrait en danger la biodiversité ainsi que les nappes phréatiques. Sur une durée de 30 ans, les risques de pollution et de destruction des habitats naturels sont énormes.
Ensuite, la qualité de vie des habitants en prendrait un sérieux coup. Des camions en permanence, du bruit toute la journée, de la poussière partout… Difficile d’imaginer que le village restera aussi agréable à vivre avec ces nuisances constantes.
Il faut aussi penser à l’état des routes. Elles ne sont pas faites pour supporter un trafic intensif de poids lourds. Elles vont se dégrader rapidement, et ce seront encore les habitants qui en paieront le prix, directement ou indirectement.
Enfin, il y a la question de l’immobilier. Qui voudra encore acheter ou s’installer ici avec une carrière en activité pendant 30 ans ? La valeur des maisons va forcément baisser, ce qui pénalisera tous ceux qui ont investi ici pour y vivre paisiblement.
Ce projet est une menace pour l’environnement, le cadre de vie et l’économie locale. Il ne bénéficie qu’à quelques intérêts privés, alors que ce sont les habitants qui en subiront les conséquences au quotidien.
Contribution n°79 (Web)
Déposée le 3 février 2025 à 21h02