Contribution n°47 (Web)
Déposée le 21 janvier 2025 à 16h43
- ce projet va porter atteinte à l'environnement. Il est en effet de notoriété publique que les éoliennes sont délétères pour les oiseaux. Or nous avons la chance d'avoir plusieurs espèces protégées sur cette zone, et il est essentiel de les préserver. Par ailleurs, les sols seront durement et longuement impactés par ce parc, ce qui est en contravention complète avec la loi « Zéro artificialisation nette »
- ce projet va dénaturer les paysages du Lauragais et porter atteinte à leur attrait touristique, et aura donc des conséquences extrêmement négatives en termes économique. De plus, aucune étude hydrogéologique n'a été validée et il est donc à craindre des risques importants de glissement de terrain et d’atteinte à la nappe phréatique. Ce projet conduirait également à une inévitable dépréciation immobilière (20 à 50%), ce qui dans le contexte actuel serait une hérésie.
Il est à noter que les conseils municipaux d’Aignes, Nailloux, Montgeard, Saint-Léon puis enfin Gibel et Mauvaisin ont tous émis des délibérations rejetant ce projet, rejet porté à la connaissance de M. le préfet.
J'espère donc que la voix des habitants des communes impactées, portée par les élus, sera entendue.
Contribution n°46 (Web)
Déposée le 21 janvier 2025 à 12h38
Contribution n°45 (Web)
Déposée le 21 janvier 2025 à 11h26
Je suis contre la construction de nouvelles éoliennes si visible et si près de Nailloux. Je crois bien que de plus en plus nous constatons des nuisances vibratoires, et des accidents mortels avec les oiseaux. Il vaudrait mieux moins consommer d'électricité que de chercher à en produire plus.
Contribution n°44 (Web)
Déposée le 21 janvier 2025 à 11h26
Je suis contre la construction de nouvelles éoliennes si visible et si près de Nailloux. Je crois bien que de plus en plus nous constatons des nuisances vibratoires, et des accidents mortels avec les oiseaux. Il vaudrait mieux moins consommer d'électricité que de chercher à en produire plus.
Contribution n°43 (Web)
Déposée le 21 janvier 2025 à 00h33
Il apparaît évident que vu la hauteur annoncée de ces dernières la paysage sera dégradé.
Le site envisagé n'est pas assez isolé pour réduire au maximum les nuisances visuelles et auditives.
Je ne parle même pas des conséquences sur la faune.
Contribution n°42 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 18h12
Chaque année, la France perd 20 000 à 30 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers sous la pression des activités humaines
La loi "Climat et résilience" du 22 août 2021 ayant pour objectif le « zéro artificialisation nette » cherche à freiner l’artificialisation des sols, artificialisation que ces projets ne font qu’aggraver.
1. Une éolienne de 2MW (parc actuel de Calmont), c’est :
2. De 400 à 600 m3 de béton pour un socle de 15 à 20 mètres de diamètre et 3 à 4 m de hauteur.(50 camions-toupies)
3. Env. 50 tonnes de fers et aciers nécessaires à l’armature du socle (100 camions bennes par éolienne)
4. 21 tonnes d’aluminium et/ou composites (fibre de verre et carbone)
5. Une nacelle nécessitant 200 kg de terres rares,
6. Un mât en béton ou acier
7. 15 Camions-bennes pour chaque 100 mètres de piste à créer
8. Des pâles, non ou encore peu recyclables malgré les engagements pris, et donc stockées ou enfouies ou encore brulées en fin de vie
9. 400 litres d’huile
Pour rappel ces équipements sont en grande majorités fabriquées hors de France ( Chine , Espagne, Norvège, Danemark…)
QUESTIONS SOULEVEES PAR LA MRAE ? QUESTIONS TOUJOURS EN SUSPENS
Dans son avis du 26 Avril 2024, l’Autorité Environnementale a soulevé de nombreux points , toujours en suspens, tels que:
1. l’analyse des effets cumulés,
2. le volet paysage,
3. la préservation de la biodiversité et de la ressource en eau, ainsi que l’estimation des émissions de gaz à effet de serre »
4. suivi de mortalité des oiseaux : concernant encore le parc voisin exploité par Boralex , l’ avis MRAE précise qu’« Elle (l’étude) aurait dû intégrer les suivis de mortalité des oiseaux des centrales éoliennes voisines »
5. demande de dérogation a la protection des espèces :ABO ENERGY a-t-elle transmis davantage de précisions quant aux mesures compensatoires invoquées à l’appui de sa demande de dérogation à la protection des espèces pour le groupe des chiroptères et l’avifaune (sic) ? sous réserve bien sûr que cette demande de dérogation ait été déposée en bonne et due forme ( ?)
6. Stabilité des sols : la MRAE a préconisé que une étude de sols soit annexée à l’étude d’impact. ; qu’en est il ? la MRAE a-t-elle pu obtenir les précisions demandées quant aux mesures paysagères ?
7. Bilan GES ( gaz effet de serre): La MRAE a également demandé communication des éléments de calcul des gaz à effets de serre sur l’ensemble de son cycle de vie des éoliennes prévues , ainsi que le tonnage de Co2 évité en comparaison d’une production d’énergie similaire par des énergies fossiles.
Avez-vous eu transmission de ces informations et, le cas échéant, ces analyses vous paraissent elles reposer sur une méthodologie fiable ?
Impacts paysagers cumulés : la MRAE a très justement relevé que l’étude d’impact considère le projet du parc d’Aignes comme une extension du parc existant d’Aignes - Calmont - Gibel.
Non seulement la configuration (hauteur et puissance) des éoliennes est très différente mais encore la topographie ne permettent pas de conclure à une extension du parc préexistant.
C’est pourquoi la MRAE a demandé des précisions et une analyse plus détaillée quant a ces impacts.
Absence de prise en compte des ZADER(zones d’accélération des énergies renouvelables):
La loi dite d’accélération du 23 Mars 2023 a prescrit aux communes de définir les zones d’accélération des Energies Renouvelables,
L’ injonction a été respectée par les communes concernées par le projet actuel ; en ce qui concerne Aignes et Nailloux, ces dernières ont déposé , conformément aux délais prescrits, et après consultation en bonne et due forme, leurs délibérations ZADER et opté pour l’énergie photovoltaïque en toitures et la géothermie ; dès lors , pourquoi retenir et poursuivre un projet éolien alors que ces communes se sont effectivement prononcé en faveur d’autres EnR comme la loi leur demandait ?
Plus concrètement, Nailloux s’est clairement positionnée en 2021 en faveur d’un projet de constitution d’une coopérative d’énergie renouvelable locale (projet en cours) à base d’énergie d’origine photovoltaïque et dont le lancement est prévu pour 2026.
En conséquence, maintenir un projet éolien équivaut à nier la loi donnant aux 7communes compétence pour choisir les EnR qu’elles souhaitent promouvoir
ATTEINTE AUX PAYSAGES
la beauté de nos paysages du Lauragais est défiguré par les éoliennes .Voulons nous continuer dans ce sens ?
Que voulons laisser à nos enfants ?
Voulons nous que nos paysages deviennent comme ceux à partir de Chateauroux quand on va à Paris par l’autoroute ?
Au vu de ces éléments , je souhaite l’abandon du projet d’Aignes
cordialement
Cyrill de Castelbajac
Contribution n°41 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 18h11
Chaque année, la France perd 20 000 à 30 000 hectares d’espaces naturels, agricoles et forestiers sous la pression des activités humaines
La loi "Climat et résilience" du 22 août 2021 ayant pour objectif le « zéro artificialisation nette » cherche à freiner l’artificialisation des sols, artificialisation que ces projets ne font qu’aggraver.
1. Une éolienne de 2MW (parc actuel de Calmont), c’est :
2. De 400 à 600 m3 de béton pour un socle de 15 à 20 mètres de diamètre et 3 à 4 m de hauteur.(50 camions-toupies)
3. Env. 50 tonnes de fers et aciers nécessaires à l’armature du socle (100 camions bennes par éolienne)
4. 21 tonnes d’aluminium et/ou composites (fibre de verre et carbone)
5. Une nacelle nécessitant 200 kg de terres rares,
6. Un mât en béton ou acier
7. 15 Camions-bennes pour chaque 100 mètres de piste à créer
8. Des pâles, non ou encore peu recyclables malgré les engagements pris, et donc stockées ou enfouies ou encore brulées en fin de vie
9. 400 litres d’huile
Pour rappel ces équipements sont en grande majorités fabriquées hors de France ( Chine , Espagne, Norvège, Danemark…)
QUESTIONS SOULEVEES PAR LA MRAE ? QUESTIONS TOUJOURS EN SUSPENS
Dans son avis du 26 Avril 2024, l’Autorité Environnementale a soulevé de nombreux points , toujours en suspens, tels que:
1. l’analyse des effets cumulés,
2. le volet paysage,
3. la préservation de la biodiversité et de la ressource en eau, ainsi que l’estimation des émissions de gaz à effet de serre »
4. suivi de mortalité des oiseaux : concernant encore le parc voisin exploité par Boralex , l’ avis MRAE précise qu’« Elle (l’étude) aurait dû intégrer les suivis de mortalité des oiseaux des centrales éoliennes voisines »
5. demande de dérogation a la protection des espèces :ABO ENERGY a-t-elle transmis davantage de précisions quant aux mesures compensatoires invoquées à l’appui de sa demande de dérogation à la protection des espèces pour le groupe des chiroptères et l’avifaune (sic) ? sous réserve bien sûr que cette demande de dérogation ait été déposée en bonne et due forme ( ?)
6. Stabilité des sols : la MRAE a préconisé que une étude de sols soit annexée à l’étude d’impact. ; qu’en est il ? la MRAE a-t-elle pu obtenir les précisions demandées quant aux mesures paysagères ?
7. Bilan GES ( gaz effet de serre): La MRAE a également demandé communication des éléments de calcul des gaz à effets de serre sur l’ensemble de son cycle de vie des éoliennes prévues , ainsi que le tonnage de Co2 évité en comparaison d’une production d’énergie similaire par des énergies fossiles.
Avez-vous eu transmission de ces informations et, le cas échéant, ces analyses vous paraissent elles reposer sur une méthodologie fiable ?
Impacts paysagers cumulés : la MRAE a très justement relevé que l’étude d’impact considère le projet du parc d’Aignes comme une extension du parc existant d’Aignes - Calmont - Gibel.
Non seulement la configuration (hauteur et puissance) des éoliennes est très différente mais encore la topographie ne permettent pas de conclure à une extension du parc préexistant.
C’est pourquoi la MRAE a demandé des précisions et une analyse plus détaillée quant a ces impacts.
Absence de prise en compte des ZADER(zones d’accélération des énergies renouvelables):
La loi dite d’accélération du 23 Mars 2023 a prescrit aux communes de définir les zones d’accélération des Energies Renouvelables,
L’ injonction a été respectée par les communes concernées par le projet actuel ; en ce qui concerne Aignes et Nailloux, ces dernières ont déposé , conformément aux délais prescrits, et après consultation en bonne et due forme, leurs délibérations ZADER et opté pour l’énergie photovoltaïque en toitures et la géothermie ; dès lors , pourquoi retenir et poursuivre un projet éolien alors que ces communes se sont effectivement prononcé en faveur d’autres EnR comme la loi leur demandait ?
Plus concrètement, Nailloux s’est clairement positionnée en 2021 en faveur d’un projet de constitution d’une coopérative d’énergie renouvelable locale (projet en cours) à base d’énergie d’origine photovoltaïque et dont le lancement est prévu pour 2026.
En conséquence, maintenir un projet éolien équivaut à nier la loi donnant aux 7communes compétence pour choisir les EnR qu’elles souhaitent promouvoir
ATTEINTE AUX PAYSAGES
la beauté de nos paysages du Lauragais est défiguré par les éoliennes .Voulons nous continuer dans ce sens ?
Que voulons laisser à nos enfants ?
Voulons nous que nos paysages deviennent comme ceux à partir de Chateauroux quand on va à Paris par l’autoroute ?
Au vu de ces éléments , je souhaite l’abandon du projet d’Aignes
cordialement
Cyrill de Castelbajac
Document joint
Contribution n°40 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h13
Pensez a vos administrés et non aux pognons et à votre carrière d’élu !
Contribution n°39 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 10h58
Contribution n°38 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 10h41
Je suis contre ce projet .
Nous avons l’un des plus beaux panorama sur le massif des Pyrénées ariégeoises . Cela fait partie de notre patrimoine qui par ce projet nous allons le dégrader pour des décennies.
Il existe d’autres alternatives notamment des parcs solaires en milieu urbain . Ou des parcs moins impactant pour la nature et le visuel de toute une commune et population aux alentours .