Contribution n°26 (Web)
Déposée le 11 décembre 2024 à 18h59
Ce projet est situé en zone NATURA 2000, caractérisée par la reproduction et le nichage de l'Outarde canepetière.
Dans ce cadre, les agriculteurs bénéficient de Mesure Agro environnementale pour justement préserver cette Outarde en voie d'extinction.
Il est scandaleux d'envisager de monter des éoliennes dans cette zone.
La séquence ERC a visiblement totalement été ignorée par ce promoteur. "Eviter" consiste bien à s'écarter des zones rédhibitoires à l'éolien.
Ce projet n'aurait jamais dû arriver en enquête publique conformément aux directives de la DREAL et être refusé dès son dépôt.
Donc bien évidemment je vous invite à prononcer un avis particulièrement défavorable.
Contribution n°25 (Web)
Déposée le 11 décembre 2024 à 09h57
Vous trouverez en pièce jointe une première observation.
Avec mes salutations distinguées
Edith de PONTFARCY
Document joint
Contribution n°24 (Web)
Déposée le 10 décembre 2024 à 09h26
Notre société COLAS, spécialisée dans les travaux de terrassement, plateformes et réseaux, emploie près de 200 personnes dans le département de la Vienne.
Une part importante de notre activité est liée au développement des énergies renouvelables dans ce département. C’est pourquoi, en tant qu’employeur et entrepreneur du territoire, nous apportons notre soutien plein et entier à ce projet. Il pourrait mobiliser 6 personnes pendant 5 mois environ.
Contribution n°23 (Web)
Déposée le 10 décembre 2024 à 09h12
Pas de soleil et pas de vent.
Quand cela arrive les autres energies sont sollicitees et comme la plupart sont privées l Etat doit les interresser ce qui enclenche la spirale infernale des factures pour. Le consommateur.
Plus il y a de EnR plus les alternatives doivent rayonner de plus belle
Les contrats sur la difference CfDs font qu un prix electrique inferieur au marché va être compensë. Par l Etat
Un prix superieur va entraîner un surcout et l alternative va devoir payer en theorie.
En pratique ils s arrangent pour ne pas payer en arguments divers.
Donc le renouvellable tue la poche du cinsommateur et les rechauffistes du Giec ne calculent pas bien leurs modèles.
En réalité on paye toujours plus poyr l energie.
Voir l etude de Rupert Darwall pour la GB.
Plus ils placent des turbines et plus la production diminue.
En France en 24 c etait 1%,en moins.
Donc on marche sur la tête.
Contribution n°22 (Web)
Déposée le 7 décembre 2024 à 11h12
Habitant de la Vienne, je suis les enquêtes publiques concernant les ICPE de notre région. En particulier, je fais très attention aux avis des services de l'Etat.
Je viens de regarder l'avis de la MRAe.
Le moindre que l'on puisse dire, c'est que la MRAe est très critique de ce projet. Les mesure ERC sont "sous-évaluées".
La Mission souligne les manquements concernant l'avi-faune. La zone autour du projet, riche en espèces protégées, mérite un avis défavorable.
On ne peut qu'être d'accord avec la conclusion de la Mission :
"Eu égard aux enjeux de biodiversité, la recherche de solutions d'implantations alternatives du projet dans des espaces de moindres impacts mérite d'être poursuivie."
Bien sincèrement,
David Manson
Contribution n°21 (Web)
Déposée le 6 décembre 2024 à 22h30
Contribution n°20 (Web)
Déposée le 6 décembre 2024 à 10h42
Document joint
Contribution n°19 (Web)
Déposée le 6 décembre 2024 à 10h34
C est l action par solar radiation system, soit blocage du soleil et ensemencement des nuages, HAARP et Darpa. Toute une mecanique de main d homme qui altere les mecanismes naturels.
Par consequent les eoliennes n aidebt en rien le climat et le rechauffement et au contraire les eoliennes assechent les terrains et encouragebt le declin des zones humides.
Il y a aussi des pollutions important es causees par le bisphenol A qui se detache des mats et des pales par l erosion et les terres rares radioactives comme le neodyme. Enfin les champs de torsion levogyres et les microplastiques.
Tout ceci empoisonne la vie et le vivant. Et bien sur l intermittence qui cree du gaz et du charbon pour suppléer.
L Allemagne est en difficulté car elle brûle du charbon pout appuyer ses 30.000 eoliennes. On ne copie pas les bêtises des voisins en brulant plus de charbon.
L energie nucleaire est bien de carbonée donc on continue.
A propos de ce pays voisin voyez les flots d energie eolienne les loop flows dont elle se debarrasse et qui polluent la France car son reseau reste sans investissements.
La pollution électromagnétique est trop dangereuse et les deces pediatriques sont la. En Normandie.
La terre evacue l exces vers les habitations. C est curieux qu il n y ait jamais de geobiologues sous la main pour avertir des dangers.
Le risque retombe sur les populations et les elevages.
Où est passé l Etat. Il est toujours en vacances pour proteger les citoyens et la Nature.
Contribution n°18 (Web)
Déposée le 5 décembre 2024 à 22h01
Les conclusions de la MRAe sont sévères pour ce projet :
"L'analyse des incidences et le niveau des mesures visant à éviter, réduire et compenser les effets négatifs du projet apparaissent sous-évalués pour l'avifaune et les chiroptères.
La présence d'un nombre significatif d'espèces protégées sur le site du projet nécessite de justifier l'absence de demande de dérogation portant sur la destruction d'espèces protégées et de leurs habitats.
Eu égard aux enjeux de biodiversité, la recherche de solutions d'implantations alternatives du projet dans des espaces de moindres impacts mérite d'être poursuivie"
La MRAe cite, notamment, l'outarde canepetière. Je cite la MRAe : "Un suivi spécifique du comportement de l'avifaune est prévu, en particulier pour l'Outarde canepetière et pour les espèces réceptives...." l'outarde canepetière est aujourd'hui protégée au niveau national, communautaire et international. C'est une espèce en danger critique d'extinction.
Dès lors, comment est-il que la société JPEE se soit abstenue de déposer une demande de dérogation de destructions d'espèces protégées ?
Dans une décision très récente de la cour d'appel de Bordeaux, voici ce qui a été jugé :
"Malgré les mesures d'évitement, de réduction et de compensation prévues, la cour (CAA Bordeaux, 1rech., 8 juin 2023, n° 21BX00021 N° Lexbase : A08489ZG) a jugé que le projet conserverait un impact significatif sur la conservation de l'avifaune présente, en particulier l'outarde, notamment en raison de la perte de territoire de reproduction par effet d'effarouchement, alors que la sauvegarde de cette espèce implique de conserver un noyau dynamique de population pour permettre la dispersion des individus vers les autres zones favorables avoisinantes.
Il en résulte qu'aucune prescription complémentaire n'était susceptible de garantir que le projet ne porte pas atteinte à l'avifaune, en particulier à l'outarde canepetière"
Un avis défavorable s'impose pour ce projet.
Respectueusement.
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 5 décembre 2024 à 15h57
La MRAe nous informe que l'étude d'impacts semble incomplète en ce sens que certains risques pour l'avifaune ne sont pas appréciés à leur juste niveau.
Extraits de l'avis;
"Les impacts bruts liés au risque de mortalité par collision est considéré comme "fort" ou "modéré" pour sept espèces avifaunistiques et "très forts, forts et assez modérés" pour neuf espèces de chiroptères. Après application des mesures d'évitement/réduction, l'impact résiduel est évalué à "négligeable et non significatif" pour toutes les espèces d'avifaune et de chiroptères.
La séquence d’évitement et de réduction n’apparaît pas pleinement réalisée et la conclusion d'un impact résiduel négligeable et non significatif du projet apparait hâtive pour les espèces protégées et leurs habitats.
Les mesures de réduction proposées ne permettent pas d’écarter les risques de destruction d’espèces protégées, par collision ou barotraumatisme avec les pâles des éoliennes, ni d’altération des habitats d’espèces protégées.
Au regard de sa localisation au cœur d'une zone à forts enjeux pour l’Outarde canepetière, le projet est en particulier fortement susceptible d'interagir négativement et de remettre en cause la préservation de son habitat.
La MRAe recommande au porteur de projet de réévaluer les impacts bruts du projet sur les espèces protégées qui apparaissent sous-évaluées dans le dossier présenté.
Au regard des enjeux de collision et de perte d'habitats pour la faune volante, la MRAe recommande de mieux justifier l'absence de nécessité de recourir aux dispositions dérogatoires prévues par le Code de l'environnement portant sur la destruction des espèces protégées et de leurs habitats naturels. "
De fait il me semble qu'une demande de dérogation de destruction d'espèces protégées apparaît plus que nécessaire.
Pour cette raison entre autres, un avis négatif serait justifié.
Alain Pérochon