Contribution n°266 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h43
Nous habitons rue Docteur Lavergne dans la "zone de la Gèle".
Comme une majorité de contributaires nous avons eu connaissance du projet de PLU par nos voisins.
Nous déplorons le manque de communication autour de ce projet. Je suppose que la mairie a respecté la législation en matière de d'information des administrés cependant la méthode est discutable. Nombre d'administrés ont appris par voie de presse ou par leurs voisins que leur propriété était susceptible d'être préemptée par la mairie à quelques jours de la clôture de l'enquête publique.
Ce PLU prévoit un respect de la biodiversité cependant, nombre de jardins particuliers sont amenés à disparaître au profit d'habitats collectifs, pour nous c'est un non-sens. Il y a des bâtiments et des maisons d'habitation inoccupés dans Lamballe qu'il serait plus opportun de réaménager.
Nous comprenons le besoin de densification de la commune, mais quel sera le visage de Lamballe demain ?
Nous vivons dans un quartier où les enfants jouent dans leurs jardins, quelle sera leur qualité de vie demain ?
Merci de l'attention que vous porterez à cette contribution.
Mathieu et Delphine GOUBIN
Contribution n°265 (Email)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h28
Je joint des photos d hier et aujourd'hui quand sera t il demain
Documents joints
Contribution n°264 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h28
Nous souhaitons déposer notre contribution au projet de nouveau PLUI de Lamballe, plus particulièrement pour Saint-Lazare et vous transmettons le courrier et pièce jointe.
Nous vous prions de croire, Madame, en l'expression de notre parfaite considération.
Indivision du Passage
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Contribution n°263 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h25
Voici les éléments importants écrits dans le dossier OAP Thématique qui m'interpelle :
« Ces OAP viennent notamment traduire les orientations du PADD qui sont :
- Préserver et renforcer la biodiversité en lien avec la trame verte et bleue du territoire
- Maintenir et valoriser le patrimoine bâti et paysager et tisser des liens ville-campagne pour des paysages « vécus »
- Assurer la protection et la gestion de la ressource en eau
- Contribuer à la mise en œuvre de la transition énergétique et à la réduction des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES) » Extrait page 6/87
Considérant la fragilité électrique de la Bretagne, le barrage du Pont Rolland constitue un stock d'énergie permettant une production utile instantanée lors des pointes de consommation hivernale et contribue ainsi à l'autonomie énergétique de notre territoire.
Cette retenue d'eau est une réserve d'un million de mètres cubes d'eau douce utile en cas d'incendie et de sécheresse.
Ce barrage historique existe depuis 89 ans, il alimentait en électricité la ville de Saint-Brieuc. Amorti depuis des décennies, son coût d'entretien est modeste.
L'abandon de notre patrimoine industriel producteur d'électricité renouvelable rapidement, non polluante, est incompréhensible et inadmissible. Comment les partisans de la destruction du barrage, qui sont des consommateurs d’électricité, imaginent-ils une autre production semblable, locale, décarbonée, et économique ?
« Des actions de reconquête des continuités écologiques seront également recherchées pour les éléments ponctuels faisant obstacles aux déplacements des espèces identifiés sur le territoire : L’effacement des obstacles au cours d’eau sera recherché dès que cela est possible ; » Extrait page 13/87
Non, concernant le barrage hydroélectrique du Pont Rolland, l'effacement n'est pas possible.
Vous répétez et indiquez sur les documents graphiques page 9/87 et 14/87 une pastille sur les sites hydroélectriques du Pont Rolland et des Pont Neufs qui correspond dans la légende à «Obstacle aquatique à effacer ».
Comment Lamballe Armor s'autorise à parler d' « effacement » alors que ce jeu de vocabulaire indique clairement destruction ? Cela met délibérément la commune hors la loi, Conformément à La loi Climat n°2021-1104 du 22 août 2021 - article 49, qui modifie l'article L 214-17 du Code de l'environnement que vous êtes censés ne pas ignorer, et qui en interdit la destruction.
Pour rappel : « La loi Climat n°2021-1104 du 22 août 2021 - article 49, qui modifie l'article L 214-17 du Code de l'environnement précisant la mise en œuvre de la continuité écologique sur les rivières classées à cette fin, interdit expressément des destructions d'ouvrages de moulin, mais aussi de manière plus générale la remise en cause dans les solutions de continuité, de l'usage actuel ou potentiel d'un site hydraulique. »
En revanche votre volonté de préserver et mettre en valeur le patrimoine bâti et naturel, est conforme à mes revendications.
« • Préserver et mettre en valeur le patrimoine architectural et urbain. Considérer à la fois le patrimoine remarquable et ordinaire, urbain et rural, et permettre son évolution : reprise du bâti pour répondre aux exigences contemporaines de confort et d’efficacité énergétique/thermique,... et définir des prescriptions dans le prolongement et en complémentarité avec les autres outils de protection tel que le Site Patrimonial Remarquable de la ville de Lamballe (périmètre couvrant le centre-ville et ses abords) ou des 27 monuments ou sites protégés au titre des monuments historiques. Cela concerne :
- les maisons en pierre et le patrimoine religieux en ville et dans les bourgs ;
- les pavillons en pierre de la fin du XIX ou du début du XXe siècle ;
- les maisons bourgeoises et les hôtels particuliers ;
- les fermes anciennes, les manoirs et quelques châteaux situé en campagne ou parfois intégrés à la ville ;
- les ouvrages en lien avec les usages manufacturiers du Gouëssant (moulins, ouvrages hydrauliques…) ;
- le petit patrimoine (croix, fours à pain, granges, puits, lavoirs…).
En respectant les équilibres écologiques et l’activité agricole, favoriser les usages de "loisirs verts" dans les espaces agricoles ou naturels, par le développement de cheminements et de projets d’aménagement léger visant à la découverte, la pédagogie ou l’observation : participer ainsi à une appropriation des paysages.
- Protéger et mettre en valeur les chemins de randonnées sur le territoire.
- Valoriser et améliorer l’accessibilité des « pépites paysagères » de la commune : Les Landes de la Poterie, La Lande du Gras (acquisition publique en 2021), le Gouessant dans et en dehors de la ville, sa vallée encaissée à Morieux avec barrages et retenues d’eau, les espaces boisés, l’étang de la Ville Gaudu, les parcs publics de Lamballe, etc. » Extrait page 11/43 du Projet d’aménagement et de développement durable
Je suis pour la remise en service des barrages hydroélectriques du Pont Rolland et des Ponts Neufs. Tout en associant, en accord avec l'extrait cité précédemment: les activités de loisir, la préservation des milieux naturels, une sensibilisation des visiteurs sur la question de l'eau, de l’énergie et de la biodiversité. ( Installation de panneaux d'information sur la quantité de production électrique, son fonctionnement propre, compatible avec la faune, la flore et les paysages. )
Comme vous l'indiquez clairement, il ne s'agit pas ici de parler de développement durable, mais mieux encore de préserver le durable !
Je suis convaincue que nos élus n'ont pas la volonté de transgresser les lois qui sont votées pour défendre les intérêts communs. Il est inimaginable de dépenser de l'argent public pour détruire un patrimoine producteur d'énergie locale, propre, décarboné, durable, vertueux et économique.
Le PLU de Lamballe ne peut pas aller contre les orientation du département : les synthèses 2022 et 2023 du Rapport annuel de développement durable du Département des Côtes d'Armor indiquent la volonté de favoriser les énergies renouvelables, donc forcément l'hydroélectrique. Le département a créé, avec le Syndicat Départemental d'Energie et les 8 intercommunalités, le SPLET Armor (société publique locale énergie territoire Armor) pour « accélérer la bascule nécessaire de notre modèle énergétique, qui doit voir émerger une plus forte production d’énergies locales et vertueuses. » et « apporter son concours à tout projet d'aménagement et d'exploitation de moyens de production, distribution, d'usage d'énergies renouvelables.... de rénovation énergétique ».
Avec le Pont Rolland, nous avons un outil dont la remise en production coûtera infiniment moins cher que sa destruction.
Il est temps d'accélérer sur l’hydroélectricité en Bretagne et de soutenir la démarche de la population.
Bien cordialement.
Contribution n°262 (Email)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h04
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Contribution n°261 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h22
Je tiens à mettre l’accent sur la question de la densification.
Consciente de la nécessité de densifier les zones urbaines, il est de bon sens d'utiliser des surfaces, déjà artificialisées et/ou polluées pour reconstruire de nouveaux bâtiments (comme le bel exemple de l'ancien garage rue du Bourg Hurel à Lamballe). Ne pas oublier les friches agricoles, et les hangars amiantés en ruine, l’occasion est bonne pour aussi dépolluer ces sites.
Hors, concernant les jardins des maisons individuelles, préservés de la bétonisation, ces espaces sont nécessaires pour :
- climatiser les villes lors des épisodes de canicule,
- motiver les habitants pour avoir une activité en extérieur,
- cultiver des jardins nourriciers et participer à la production alimentaire locale,
- conserver un lien au sol,
- ….
De ce fait, je considère que la réglementation que vous proposez dans le PLU n'est pas assez stricte sur le sujet de l'étanchéification des sols. Les enrobés bitumeux devraient être proscrits dans les jardins.
J’apprécie l'inventaire que vous avez fait des haies et talus à préserver. Les arbres sont des réservoirs pour la biodiversité, ils sont des plus efficaces pour maintenir des températures basses en cas de fortes chaleurs, et retiennent l'humidité au sol. La construction de logements ne doit en aucun cas nécessiter l'abatage d'arbres existants que ce soit sur des parcelles privées ou publiques. Il faut les protéger et aucune « compensation » ne peut égaler les années de vie d'un arbre.
Cordialement.
Contribution n°260 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h05
Nous déplorons le faite que la mairie n’ait pas informé directement les propriétaires des parcelles impactées par ce nouveau PLU.
Questions :
_ Nous avons mis notre bien en vente et nous désirons connaître les impacts de ce PLU sur nos parcelles cadastrées N° AI 0062 et AI 0063 pour informer le futur acheteur des contraintes pouvant être liées à ces terrains.
_ Chaque propriété est constituée de deux lots :
- 1 lot bâti en bordure de la Rue LAVERGNE
- 1 lot non bâti coté voie SNCF
Y a-t-il dans ce nouveau PLU intention d’expropriation et de destruction des habitations existantes ?
_ Est-ce que le découpage du PLU tient compte de la configuration des parcelles en l’état, avec pour conséquence d’avoir des parcelles bâties sans terrain autour ?
_ Comment est prévu l’accès et la viabilisation des parcelles non bâties, le long de la voie SNCF.
_Comme nous mettons en vente, à quelle date nous connaitrons la décision de la mairie, d’exercer son droit de préemption sur notre bien.
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Contribution n°259 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h02
Comme bon nombre de résidents de cette portion de rue située entre la place St Barthélémy et le moulin de Lamballe nous possédons un jardin situé à l'arrière de notre habitation.
Nous avons tous choisi et acheté ces maisons parce que justement celles-ci bénéficiaient de jardins.
Nos jardins, contrairement à ce qui peut être présenté par certains ne sont pas seulement des jardins d’agrément mais aussi des potagers, des espaces ludiques, des espaces fleuris, des bosquets, des espaces verts, des espaces de biodiversité accueillant de nombreux animaux, oiseaux et insectes, pour certains d’espèces protégées (hérisson, hibou ou chouette et abeilles).
Ces zones de biodiversité sont respectées et les accueillent en grand nombre pour le bien être de tous et en accord avec les principes fondamentaux d'une ville comme Lamballe qui par ailleurs préserve ses boccages et espèces protégées.
Ils ne sont pas non plus des espaces vacants appartenant à quelques retraités (et quand bien même) mais aussi à des familles avec enfants.
Le choix de Lamballe Armor pour densifier la population de son centre-ville s’est donc arrêté sur nos petits jardins en lanière (600m2 au maximum) de la rue Saint Lazare.
Au regard des plans fournis par le PLU, plans on ne peut plus imprécis, nos jardins seraient amputés d’une bonne moitié.
1) Pourquoi ces espaces ?
2) Quelle valeur accorder à nos maisons quand les jardins auront été réduits de moitié.
3) La rue Saint Lazare est une voie très passante qui relie Lamballe à la N12.
Que va-t-il se passer pour le stationnement avec l’arrivée de nouveaux résidents : par exemple 30 logements équivalent à souvent 60 véhicules.
4) Le stationnement est déjà très limité, qu’en est-il quand 30/50 logements auront été construits aux fonds de nos jardins ?
5) Nuisances sonores générées durant toute la durée de travaux.
6) Nuisances sonores puisque le nombre de véhicules entrant et sortant de la place Saint Barthélémy ne pourra qu'être plus dense .
7) Par ailleurs, nos jardins dans leur ensemble font partis des espaces verts de Lamballe Armor et participent au même titre que les espaces verts communaux au bien-être des habitants.
8) Perte de qualité de vie : la construction de bâtiments entraînerait une perte significative de lumière et de vue (actuellement, accès visuel direct à de nombreux édifices historiques de la ville).
9) Problème de vis-à-vis : Les nouvelles constructions auraient des ouvertures donnant directement sur notre terrasse, créant des vis-à-vis inacceptables.
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Contribution n°258 (Web)
Déposée le 20 janvier 2025 à 16h01
Concernant la diminution du secteur de 500m autour des monuments historiques, je suis contre le nouveau découpage et grignotage des zones qui ne sera plus soumis à l'avis de l'ABF.
Par exemple, le secteur autour de l'église Saint Gobrien de Morieux a un relief vallonné et dans de nombreuses rues et chemins alentours qui traversent les zones bâties, nous pouvons apprécier beaucoup de beaux points de vue sur l'église.
Les constructions récentes sont souvent sans style et dépourvues de caractère régional, si vous décidez en plus de réduire les périmètres des abords des monuments historiques. Il est certain, que la beauté des paysages sera impactée.
L'avis de l'ABF est nécessaire. Nous avons plus que besoin de professionnels compétents et bien formés pour préserver et mettre en valeur le patrimoine naturel et bâti de Lamballe-Armor.
Cordialement.
Contribution n°257 (Email)
Déposée le 20 janvier 2025 à 15h55
Bonjour madame
Propriétaire d une maison rue St lazare ,le 12/01/2025 une personne de la guignardais est passé pour nous informer que le PLU concerné nos jardins merci de nous avoir prévenu, quand on a acheté cette maison le jardin c etait important pour nous ,faire un potager une vue super sur la ville le jardin c etait la campagne dans la ville,aujourd'hui on veut nous prendre la moitié voir plus donc plus de potager plus de vues sur la ville, cela remplacé par des façades de maison ou d immeuble qui en plus auront vu sur ce qui restera de jardin ,pour notre vie privée ,notre intimité ????
Le jardin est important dans la valeur de notre bien, si demain il doit y avoir constructions il est évident que ça devalorise la maison
On est fermement contre ce PLU,aujourd'hui on est dans un quartier où il fait bon vivre quand on est dans notre jardin on respire la nature on cultive nos légumes très important quand on voit les prix ,quand sera t il demain ?????
Un minimum de dialogues et de concertation dans un dossier comme ça est indispensable