Contribution n°88 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 11h14
Contribution n°87 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 10h58
Enfin un projet de cette nature et de cette ampleur ne peut se concevoir sans une concertation importante dès les premiers contacts pris par RWE ( qui est notoirement une entreprise très contestable sur le plan écologique: le mensonge relatif à la surface impactée est à lui seul révélateur du peu de confiance que cette société doit inspirer ). Face à des équipes de commerciaux rodés une petite commune n'a ni les outils ni les compétences pour déceler les failles et l'absence évidente d'informations et de concertation avec les habitants n'a pas permis de mettre en évidence les failles du projet.
il est choquant que sous couvert de "location" assortie pourtant très probablement d'une future friche industrielle une tel projet échappe aux règles des marchés publics et notamment concernant la mise en concurrence .
Le provisionnement destiné à la remise en état au terme n'est pas crédible au fil des décennies ni le retour au naturel possible de toute manière.
Le Photovoltaïque peut être pensé sur des espaces déjà artificialisés, sans impact sur un patrimoine naturel sans cesse menacé, sans menace de pollution des eaux ni de risque important d'incendie sur un secteur à haut risque et intéressant les habitants directement.
J'adhère par ailleurs totalement à l'argumentaire détaillé développé par le collectif citoyen de Cressia, sérieusement documenté et éclairé de véritables compétences.
Contribution n°86 (Web)
Déposée le 22 février 2025 à 08h54
Il y a déjà de nombreux espaces betonisés sur lesquels mettre des panneaux photovoltaïques.
Stop à la destruction des espaces encore vivants !
Contribution n°85 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 22h59
Contribution n°84 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 22h27
Ancienne habitante du jura je me désole de ce projet, qui va sacrifier inutilement ces rares pelouses seches alors qu'il existe tant de toitures et de zones deja artificialisées pour mettre ces panneaux. C'est une aberation
Contribution n°83 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 22h02
Évidemment contre ce type de projet
Contribution n°82 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 20h55
Contribution n°81 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 20h13
Contribution n°80 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 20h06
Il y a assez de toit disponible pour mettre des panneaux
La commune augmente de 50% la location pour la chasse et diminue le territoire
Contribution n°79 (Web)
Déposée le 21 février 2025 à 19h26
Dans le contexte juridique actuel, nous pensons qu’il n’est pas possible de positiver un avis à ce projet.
Au vu du bilan en pièce jointe, Il est urgent de surseoir à tous les projets d’implantation des énergies photovoltaïques et solaires.
C’est d’autant plus prégnant quand le réglementaire n’est plus aligné sur le législatif. Les changements d’orientation profonds de la politique énergétique post 2022 sont actés dans le projet de la Loi de Programmation Energie Climat en cours d’examen depuis fin 2024.
La proposition réglementaire de la PPE3 (Programmation Pluriannuelle de l’Energie) a fait l’objet d’une concertation publique nationale sous le couvert de la CNDP, pendant l’examen du projet de Loi.
C’est non seulement illégal au sens de l’article L 100-1 A § III du code de l’énergie qui dit que pour l’élaboration de la PPE, la concertation publique est obligatoire, mais ne peut en aucun cas intervenir pendant l’examen de la loi LPEC. Les objectifs de la PPE doivent correspondre à la Loi. La concertation s’est déroulée pendant l’examen de la Loi et sa proposition ne correspond pas aux objectifs qui restent à définir.
En Bourgogne Franche Comté, l’absence d’objectif est actée par Monsieur le Préfet de Région dans son courrier du 17 janvier 2025 concernant la relance des communes dans le cadre de Loi d’Accélération des Energies Renouvelables. Il précise que les objectifs seront identifiés au travers de la nouvelle PPE une fois repris au niveau de la Région.
Quel que soit le projet, le promoteur ne peut pas prétendre le faire en conformité d’objectifs qui n’existent pas. Au vu du bilan joint, il ne peut pas non plus prétendre faire l’économie d’un volume carbone, ni assurer la production de X personnes.
Prétendre le contraire au nom du réchauffement climatique, c’est abuser d’une situation dramatique à des fins mercantiles. A contexte, c’est l’EVITEMENT de la prescription ERC qui s’applique.
AVIS DEFAVORABLE