Contribution n°18 (Web)
Déposée le 18 février 2025 à 17h23
Contribution n°17 (Web)
Déposée le 18 février 2025 à 17h04
Merci pour votre action
Matthieu Pasquier
Contribution n°16 (Web)
Déposée le 18 février 2025 à 14h33
Contribution n°15 (Web)
Déposée le 18 février 2025 à 13h15
> Aménagements cyclables sécurisés
Création de pistes cyclables totalement séparées de la chaussée et des trottoirs, avec marquage au sol clair.
Installation de sas vélo aux feux tricolores et de zones d’arrêt sécurisées à proximité des écoles.
Déploiement de parkings à vélos couverts et sécurisés aux abords des établissements scolaires.
> Sécurisation et continuité des déplacements piétons
Élargissement des trottoirs et suppression des obstacles pour garantir un cheminement fluide.
Installation de potelets anti-stationnement sauvage et d’aménagements ralentisseurs (plateaux traversants, chicanes).
Sécurisation des passages piétons avec un éclairage renforcé et un marquage au sol contrasté.
> Réduction de la vitesse aux abords des écoles
Mise en place de zones à 30 km/h (ou zones de rencontre à 20 km/h) avec signalisation renforcée.
Installation de plateaux surélevés aux passages piétons et aux entrées des rues scolaires.
Ajout de chicanes pour casser la vitesse et éviter les excès sur les longues lignes droites.
Piétonnisation temporaire des rues scolaires aux heures d’entrée et de sortie avec bornes amovibles ou barrières temporaires.
Renforcement de la signalisation routière avec marquages au sol colorés ("École – Ralentissez"), feux tricolores à déclenchement automatique en cas de vitesse excessive.
>Espaces de pause et d’attente sécurisés
Aménagement des parvis d’école pour limiter la congestion devant les établissements (zones piétonnes élargies, suppression de la circulation automobile directe devant l’école).
Installation de bancs et bancs assis-debout pour permettre aux accompagnants et aux enfants de se reposer sans gêner la circulation.
Prise en compte des contraintes Vigipirate en intégrant le mobilier urbain à la sécurisation (bancs intégrés aux barrières de protection, limitation des espaces propices aux attroupements non sécurisés).
>Sensibilisation et affichage des alternatives aux véhicules motorisés
Installation de plans piétons et cyclables devant les écoles, indiquant les temps de déplacement estimés à pied et à vélo depuis différents points de la ville/quartier.
Mise en place de panneaux informatifs et ludiques pour encourager les pédibus et vélobus (trajets sécurisés en groupe avec accompagnement adulte).
Sensibilisation des familles à l’impact des modes actifs sur la santé et l’environnement via des campagnes d’affichage et des interventions en milieu scolaire.
Contribution n°14 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 22h01
- LE CHANGEMENT CLIMATIQUE (18 % d'émission de CO2 par les automobiles - et sans diminution de celles-ci ... -, versus 0 % par toute la communauté cycliste !!!),
- LA SECURITE SUR LA ROUTE (violence automobile à chaque trajet, voire chaque carrefour ...),
- NOTRE SANTE ("Bougeons plus !" nous serine la Sécurité sociale, certes ... mais les voitures nous gazent ..., pollution que l'on ramène dans nos logements via nos cheveux, nos vêtements et notre peau ..., et logements qu'on ne peut aérer tant ça pue dehors ...)
Néanmoins, en ville, transports doux (et voiture exceptionnelle) doivent de normaliser : les trajets sont de l'ordre du ou de quelques km, soit tout à fait réalisables pour 90 % d'entre nous. L'air redeviendra alors sain (et les bonnes odeurs de boulangerie ou de cuisine à nouveau disponibles !). Le niveau sonore sera à nouveau calme (ce qui apaise tout le monde). Et circuler dans sa ville redeviendra un plaisir et une possibilité pour les plus vulnérables (enfants, âgés, handicapés, ...). Une ville vivable et vivante, reprise aux machines et rendue aux humains qui y habitent, travaillent, consomment, s'amusent, se cultivent !
De plus, pédaler procure une réelle sérénité : on descend de selle assurément délassé.e ! Mieux qu'une séance au complexe de remise en forme à laquelle on se rend bien souvent en ... voiture ! C.Q.F.D. ! ; )
Contribution n°13 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 10h57
Pour moi qui vient d'Abbans-Dessus il n'y a pas de solution de mobilité adaptée. J'ai déjà essayé de prendre le bus à Boussières, mais il arrive à Micropolis, il faut ensuite que je reprenne le tram vers la fac de Médecine. Le matin à cet arrêt le tram est bondé, jusqu'à l'hôpital en fait. J'ai contracté un abonnement Ginko de façon à pouvoir me garer au terminus des trams des Hauts de Chazals et reprendre un tram vers la fac de Médecine.
Avant l'été 2024, il y avait un parking gratuit près de la boite à copie : il est devenu payant. Il y avait des places de parking dans le quartier : elles sont devenues payantes. Le terminus des Hauts de Chazal a un parking Ginko, mal entretenu (pas d'ombre, jamais tondu , il est parfois difficile d'accéder au coffre de sa voiture à cause des ronces, accès piétons mal organisés), qui est de plus en plus occupé. A côté le parking de co-voiturage est rarement recouvert par plus de 4 voitures. La formule est inadaptée : si on vient en voiture, même à deux, c'est pour la journée, pas pour 1h30. Le délais est trop court : si on vient se stationner dessus c'est pour une journée de cours ou de bibliothèque, voire pour une opération en ambulatoire, donc pour une grande partie de la journée aussi. Donc la formule me semble inadaptée. Et trop couteuse si on doit passer la journée.
Il reste eux parkings gratuits près des Hauts de Chazal et près du parking payant : toujours bondés, les voitures y sont dégradées car il n'y a pas d'emplacement et il y a régulièrement des collègues qui sont coincés au moment où ils veulent partir.
Vivre à l'extérieur de la ville n'est pas un choix, mais une obligation financière (loyers bisontins définitivement trop élevés) alors pour nous, les "expats", c'est la double peine.
Merci de trouver une solution pour nous les étudiants mais aussi pour les collègues de l'hôpital qui n'arrivent pas non plus à se garer. Il faudrait vraiment un hub de transport en amont de Micropolis pour ceux, comme moi, qui viennent de l'extérieur. Au niveau d'Interblumex qui vient de fermer et d'être démoli ? LE coût du parking est trop élevé pour nos moyens d'étudiants, d'ailleurs je me demande comment font ceux qui dont étudier en ville où il n'y a plus que des places payantes.
Et puis si GInko pouvait installer des toilettes aux Hauts de Chazal, dans l'abri qui est près des rails du tram, ce ne serait pas inutile : quand on vient depuis Chaleuzeule il y a plus d'une heure de trajet, le temps d'avoir des envies pressantes... Or rien n'est prévu.
Je trouve que l'on pense trop Besançon depuis son centre historique et non pas depuis les pôles d'activités réels, qui incluent bien sûr ce centre, mais il y en a d'autres.
Je vous remercie de m'avoir lue. A.M.
Contribution n°12 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 10h49
Je confirme que le trafic poids lourds apporte énormément de bruit, mais ce n'est pas les seuls des motards et voitures sports qui prennent la 2X2 pour une piste apportent aussi du bruit surtout au milieu de la nuit
Contribution n°11 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 08h43
Propositions:
- obliger les PL à emprunter l'autoroute,
- abaisser la vitesse à 70 km/h depuis École Valentin jusqu'à Beure ( Les PL ne respectent pas la vitesse ne sont que très peu contrôlés et pas de radar)
- doubler le tronçon Microplis -Beure. Il est en effet pour le moins curieux, ridicule ?- d'avoir doublé cet axe en direction de Vesoul et dans la montée des Mercureaux et maintenir un goulet d’étranglement sur 2 km en plein centre de l’agglomération de Besançon augmentant ainsi la pollution, les nuisances sonores et les difficultés de circulation aux abords de Micropolis.
Ce dossier du doublement de ce tronçon est ancien, a été instruit, il convient de passer à l'action rapidement.
Contribution n°10 (Web)
Déposée le 17 février 2025 à 00h42
Le projet du plan de mobilité soumis à enquête publique mentionne page 20 "Un projet de zone d’activités à l’écart des zones agglomérées et sans desserte régulière de transport en commun à Marchaux-Chaudefontaine". Il y a donc une incohérence entre les ambitions du PLUi et le plan de mobilité concernant cette ZAE dont j’émets un avis défavorable.
Axe E "Poursuivre une mise en œuvre collective avec les acteurs institutionnels de la
mobilité" : je préconise une action supplémentaire, un critère de suivi des objectifs basé sur l'expérimentation des différents modes par les membres de la gouvernance. Ceci afin d'améliorer la qualité des décisions et nouveaux aménagements. Par exemple, j'ai vu des élus se gargariser en réunion publique des nouvelles voies cyclables sur La Belle Etoile. Pourtant l'usage montre très rapidement des difficultés avec la voie cyclable dans le sens Besançon vers Grandfontaine, avec, entre autres, dans les fortes pentes des sorties des habitations avec peu de visibilité, un début et une fin de voie qui n'incite pas les cyclistes à prendre la voie de bout en bout (voie cyclable non prioritaire sur le stop de la route de Grandfontaine, autre intersection avec un dénivelé de trottoir, puis sortie qui mène sur une impasse), etc. Le résultat est que rapidement les cyclistes ont investi la voie cyclable de l'autre côté de la rue dans le sens contraire pour se mettre en meilleure sécurité. Des usagers réguliers du vélo auraient pu soulever le problème avant la réalisation de l'aménagement. Aussi, cette voie étant peu empruntée par les automobilistes, ce n'était pas une voie prioritaire à aménager pour les cyclistes, si elle a été aménagée c'est surtout parce que la route a été remise en état pour les voitures... La priorisation des aménagements devrait se faire non pas pour le confort mais pour la sécurité des usagers.
Action 21 "Assurer le suivi des actions du PDM" : il est mentionné des enquêtes usager mais je préconise également une évaluation annuelle avec les associations locales dont l'objet concerne les mobilités (AVB, Trottoirs libres, ...)
Concernant la priorité des aménagements interurbains pour cyclistes, j'attire l'attention sur le fait que l'axe Routelle-Grandfontaine est emprunté par les cyclistes mais les situations de danger y sont la norme. Le détour par la véloroute en passant par Osselle n'est pas viable pour un usage autre que de loisir, beaucoup de kilomètres supplémentaires. Des aménagements le long de la RD106 nécessiteraient trop d'emprise sur les terres agricoles, ainsi je préconise d'améliorer pour les vélos le chemin forestier entre Routelle et Grandfontaine entre les chemins de vaugrenans/vaugrenand des deux villages. Le dénivelé côté Routelle est important mais je ne vois pas d'autre solution à cette problématique qui est superbement ignorée par le plan cyclable actuel.
Action 16 "Requalifier et sécuriser les pénétrantes au sein du centre urbain et aménager les itinéraires cyclables et piétons". Je ne partage pas l'investissement concernant le doublement de la RN57 qui est contre productif par rapport aux objectifs de développement des modes actifs du plan de mobilité, du fait des phénomènes de trafic induit. Des aménagements sont à réaliser pour les modes actifs sur ce secteur mais ils ne doivent pas servir à justifier les aménagements pour la voiture individuelle.
Action 18 "Aménager le partage de l’espace public dans les polarités de bassin et dans les ZAE", je préconise l'ajout d'une action "généralisation du 30km/h dans l'ensemble des communes de GBM"avec l'installation d'aménagements pour inciter au respect de cette limitation
Contribution n°9 (Web)
Déposée le 16 février 2025 à 18h41