Les contributions

Contribution n°278 (Web)

Par Avrilleau jc
Déposée le 11 octobre 2024 à 18h51
Le conseil municipal a voté pour l extension des carrières sans aucune considération pour les populations voisines et pour l environnement [...]
Le conseil municipal a voté pour l extension des carrières sans aucune considération pour les populations voisines et pour l environnement [. Des zones humides menacées le long du ruisseau le Redour au village du Marais gâte et de Chopard assèchement des mares et des puis ces dernières années cette année exceptée dégradation de la faune et de la flore ] Une grande partie de ce sable ira alimenté le maraîchage industriel qui dénature notre bocage avec cette mer de plastique envahissante qui dénature les sols Mr lafage j espère que vous aurez un autre regard sur cette extension que celui du conseil municipal. Sale temps pour l environnement à ST CO et bon courage aux générations futures

Contribution n°277 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 octobre 2024 à 18h41
Monsieur Lafage,
La page 34 de la description du projet fait apparaitre une production de sable 0/4mm à 85%.
Mais pour réaliser du [...]
Monsieur Lafage,
La page 34 de la description du projet fait apparaitre une production de sable 0/4mm à 85%.
Mais pour réaliser du béton il faut aussi un apport très important en graviers, très peu produit à priori sur le site. Plus le gravier est gros et plus le béton est résistant.
Pourriez-vous m'indiquer quelle est la provenance de celui qui est ajouté au sable de St-Colomban, dans ses différentes utilisation béton?
Le côté "local" de ce sable étant semble-t-il un argument fort développé par GSM, il faut aussi que les principaux constituants le restent aussi, c'est pourquoi cette information me semble intéressante à connaitre.
Merci par avance

Contribution n°276 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 octobre 2024 à 18h22
Monsieur,
Le tableau 7 des déchets dangereux présenté en page 31 du dossier d'étude d'impact n'indique aucune unité, ce qui le rend [...]
Monsieur,
Le tableau 7 des déchets dangereux présenté en page 31 du dossier d'étude d'impact n'indique aucune unité, ce qui le rend totalement incompréhensible.

Contribution n°275 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 octobre 2024 à 18h09
J'habite à la campagne et travaille à la ville, et quand je rentre le soir je passe entre des serres, des hectares de serre... ce [...]
J'habite à la campagne et travaille à la ville, et quand je rentre le soir je passe entre des serres, des hectares de serre... ce n'est pas pour cela que j'ai choisi la campagne. J'ai un poste essence important dans mon budget et ce n'est pas pour me retrouver dans un environment industriel avec des artificialisarions des terres, la disparition du bocage, St-Colomban n'est plus la campagne que je souhaite. Je veux voir paître des vaches dans des champs avec des mares, ramasser des champignons et aller chercher des légumes bio chez des agriculteurs, des paysans pas des industriels ! Ce n'est pas l'environnement que je veux pour vivre donc je refuse l'extension des sablière et faisons pousser les légumes dans la terre pas dans le sable.

Contribution n°274 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 octobre 2024 à 17h54
Monsieur,
Le calcul de bilan carbone des activités de la carrière présenté en page 26 du dossier d'étude d'impact est particulièrement [...]
Monsieur,
Le calcul de bilan carbone des activités de la carrière présenté en page 26 du dossier d'étude d'impact est particulièrement peu clair.
Il fait apparaitre au final une diminution de 13% par rapport à 2017, semblant décrire que la carrière progresse !
Comment ces données sont-elles calculées? Pourquoi pa ailleurs prendre ces années de référence 2017 et 2021?

L'émission de CO2 émise par le ciment qu'il faudra ajouter à ce sable pour produire du béton n'est à aucun moment mentionnée. C'est pourtant sans commune mesure avec les émissions indiquées ici (environ 1tonne de CO2 / tonne de béton produite) dans ce petit tableau très sommaire.

Parce-que l'extension de cette carrière ne va pas permettre la recherche de solutions alternatives impérativement nécessaires à court terme, je m'y oppose totalement.

Contribution n°273 (Web)

Par HERBET Jacki
Déposée le 11 octobre 2024 à 12h19
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Le dernier rapport du WWF (https://www.wwf.fr/sites/default/files/doc-2024-10/Rapport%20Planete%20Vivante%202024%20-%20WWF%20France.pdf)indique [...]
Monsieur le Commissaire enquêteur,
Le dernier rapport du WWF (https://www.wwf.fr/sites/default/files/doc-2024-10/Rapport%20Planete%20Vivante%202024%20-%20WWF%20France.pdf)indique que 73 % de la population d’animaux sauvages décline depuis 1970. Les pertes atteignent 85 % en eaux douces et 69 % sur terre.
Les raisons majeurs de cet état de faits sont « la bétonisation et la dégradation des habitats, l’élevage, la surexploitation des ressources, le réchauffement climatique, les pollutions, les espèces invasives et le maladies ». L’exploitation des carrières coche 4 des 8 cases.

Il convient donc, par tous les moyens possibles de préserver ce qui reste en sauvegardant les habitats.

L’ensemble des terres convoitées est certes peu accueillant pour la flore et la faune sauvage.
Il n’en reste pas moins qu’« Un ensemble bocager avec des prairies améliorées et des haies anciennes est inclus dans ce premier secteur. Il est relativement bien épargné par l’activité existante et sera préservé lors de la remise en état. Les terrains qui accueilleront l’extension sur 30 ha sont dans leur grande majorité occupés par des champs cultivés parsemés de haies, de bosquets et fourrés. Au nord du secteur d’extension existe une dépression entourée d’arbres au fond de laquelle est présente une mare. Sur ce secteur, les enjeux de biodiversité sont concentrés dans sa partie nord autour de l’ensemble formé par cette zone humide (700 m² sur critère floristique) et les haies à proximité. La Cicendie naine, espèce protégée et rare en région Pays de la Loire, s’y développe notamment dans la partie en permanence inondée. Le milieu est favorable à une diversité relativement importante d’oiseaux et de chiroptères en raison de la présence combinée de plans d’eau, de haies, de fourrés et des corridors constitués autour des ruisseaux du Redour au nord et de la Mandironnière au sud. »
Il ressort de ces propos que, au coeur de la zone d’exploitation envisagées, un nombre important d’espèce ont trouvé des refuges et que, malgré l’environnement, un espace de vie s’est développé : mammifères, oiseaux, amphibiens, reptiles et insectes.

Il est donc de première nécessité que des études plus approfondies soient menées sur les espèces concernées, leur nombre, leur usage des habitats, etc.

Dans un deuxième temps que des études soient menées sur l’impact de l’exploitation (baisse des niveaux d’eau et abattage des haies en particulier) sur les espèces prises une par une :
• neuf espèces de passereaux protégées et menacées ou identifiées à l’annexe I de la directive
Oiseaux et deux espèces menacées non protégées ;
• quatre espèces d’amphibiens protégées dont deux menacées ;
• trois espèces de reptiles protégées;
• une espèce d’insecte protégée
• une espèce végétale protégée et menacée et cinq espèces végétales menacées non protégées.

En l’état, considérant les études mises à disposition, le projet est irrecevable.

De ce fait je suis opposé à cet extension des carrières.

Contribution n°272 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 octobre 2024 à 12h05
La santé environnementale doit être une priorité. Augmentation de maladies chroniques, diabète, SEP, cancers, etc.. toute cette destruction [...]
La santé environnementale doit être une priorité. Augmentation de maladies chroniques, diabète, SEP, cancers, etc.. toute cette destruction massive de nos terres a un impact sur notre santé. Nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas.
Le comble est que l'utilisation des légumes "cultivés" en maraîchage industriel n'est même pas utilisé pour les cantines locales (ex : st philbert de grand lieu) car le prestataire préfère ses sous-traitants qui utilisent de la marchandise venue de l'UE. Une aberration...
+ de sable, + de construction, + de maraîchage industriel, + d'intrants chimiques + de problèmes de santé dans nos vies.
Les élus portent une lourde responsabilité dans ce système qui ne tourne pas rond.

Contribution n°271 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 octobre 2024 à 12h04
Bonjour,
Qu'est-ce que vivre à Saint Colomban maintenant ?
Il suffit de d'y faire le tour à vélo pour s'en rendre compte (avec le [...]
Bonjour,
Qu'est-ce que vivre à Saint Colomban maintenant ?
Il suffit de d'y faire le tour à vélo pour s'en rendre compte (avec le risque de rencontrer un des nombreux camions qui roulent bien trop vite ou de ne pas pouvoir passer car les fossés débordent).
Ce n'est plus le petit village de campagne que je rêvais pour mes enfants, celui qui correspondait à mes valeurs que je voulais leur transmettre.
Qu'est-ce que je vois ? Un paysage devenu moche : des bâches à perte de vue sur des exploitations agricoles surdimensionnées. Où est le bocage ? Les petites exploitations ? Les paysans qui défendent une agriculture raisonnée pour offrir des produits de qualité ? Où sont les petits cours d'eau qui coulaient naturellement ?
Je découvre aussi des zones avec des barbelés et des panneaux de danger autour de lacs artificiels bien cachés où l'on enfouit des déchets...
Et toutes ces questions qui me viennent en tête :
Qu'en est-il des nappes phréatiques ? De la pollution de l'air et de l'eau ?
Quel air respire-t-on à Saint Colomban ?
Quelle alimentation nous offre-t-on ? Quelle eau ?
Quels impacts sur notre santé ?
Que dirent à mes enfants ? Comment leur apprendre à respecter l'environnement et à faire des économies (énergie et eau car on ne peut ignorer ces problématiques actuelles et futures) quand autour d'eux ce n'est que la démonstration de tout l'inverse !
Comment ne pas se méfier des gros industriels dont l'unique objectif est la rentabilité et l'argent tout de suite pour enrichir patrons et actionnaires ?
Que dire aux enfants qui vont construire l'avenir ?
Il y a des alternatives à tout ça (construire moins et mieux, favoriser l'agriculture en polyculture-élevage, faire un usage raisonné des ressources, entre autres) , c'est possible en faisant marche arrière maintenant.
J'ai encore de l'espoir. Je voudrais que mes enfants aussi.

Contribution n°270 (Web)

Anonyme
Déposée le 11 octobre 2024 à 11h25
L'EXTENSION DE LA CARRIERE, BIEN OU PAS BIEN?

L'extension de la carrière, c'est vraiment bien pour GSM et LAFARGE qui vont produire [...]
L'EXTENSION DE LA CARRIERE, BIEN OU PAS BIEN?

L'extension de la carrière, c'est vraiment bien pour GSM et LAFARGE qui vont produire plus et faire encore plus de bénéfices sans beaucoup se soucier du reste.

L'extension de la carrière, c'est très bien pour le maraichage industriel qui va s'étendre et produire plus en dégradant durablement les sols.

L'extension de la carrière, c'est bien pour la commune se Saint Colomban qui va avoir une dune presque aussi haute que celle du Pilat,

L'extension de la carrière, c'est moyen bien pour les riverains qui vont avoir une belle dune à la place de leur paysage bocager, ça fera penser aux vacances.

L'extension de la carrière, c'est un peu bien pour les riverains qui vont pouvoir admirer le ballet bruyant des engins comme aux 24h du Mans camions.

L'extension de la carrière, c'est un peu pas bien pour les riverains qui vont bien respirer la poussière d'extraction de sable.

L'extension de la carrière, c'est un petit peu pas bien pour les agriculteurs paysans qui vont être encore plus concurrencés par les produits du maraichage industriel bien poussés aux engrais et aux pesticides.

L'extension de la carrière, c'est pas bien pour l'eau, sa qualité qui va être mise à mal, son utilisation qui va mettre en danger les nappes phréatiques et sans doute impacter les réserves du Lac de Grand Lieu.

L'extension de la carrière, c'est vraiment pas bien pour la conservation de la biodiversité locale à l'heure où de nombreux scientifiques alertent sur la disparition catastrophique d'espèces animales et végétales.


FINALEMENT, L'EXTENSION DE LA CARRIERE, CA N'A PAS L'AIR BIEN DU TOUT!

Contribution n°269 (Web)

Par Marion
Déposée le 11 octobre 2024 à 10h45
Stop à l'extension des carrières, les ressources de notre planète ne sont pas inépuisables ! Il est urgent de trouver d'autres solutions [...]
Stop à l'extension des carrières, les ressources de notre planète ne sont pas inépuisables ! Il est urgent de trouver d'autres solutions plus responsable et respectueuses de l'environnement pour les constructions. En puissants trop dans notre sol c'est tout l'équilibre naturelle qui est dévasté. Et encore plus pour les modes de consommation, stop aux maraîchage intensifs !

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