Contribution n°10 (Web)
Anonyme
Déposée le 29 mars 2025 à 22h31
Déposée le 29 mars 2025 à 22h31
Bonjour, depuis que le parc éolien est en cours de réalisation nous sommes constamment pollués : interdiction de la pêche à pied, les huîtres et autres coquillages ont des bactéries néfastes à la consommation… notre paysage devient un horizon industriel. Je pense qu’il faut en arrêter là . Je suis contre ce projet, je ne souhaite pas qu’on perturbe les surfaces sous marines, les eco systèmes en place .
Contribution n°9 (Web)
Anonyme
Déposée le 29 mars 2025 à 21h26
Déposée le 29 mars 2025 à 21h26
Je m'oppose à une éventuelle extraction de sable au large des côtes vendéennes en raison de l'impact que cela aurait sur l'érosion des plages et sur le recul du trait de côte.
Contribution n°8 (Web)
Anonyme
Déposée le 29 mars 2025 à 20h05
Déposée le 29 mars 2025 à 20h05
Je suis contre et m’oppose à l’extraction de granulats. Arrêtons de saccager la mer, il y a suffisamment de problèmes d’environnement sans en rajouter!
Contribution n°7 (Web)
Par Gallais
Déposée le 29 mars 2025 à 19h26
Déposée le 29 mars 2025 à 19h26
Non a l'extraction de granulats devant les îles c'est encore des zone de pêche perdu pour les pêcheur ligérien et des écosystèmes abîmé.....,.......
Contribution n°6 (Web)
Anonyme
Déposée le 29 mars 2025 à 10h02
Déposée le 29 mars 2025 à 10h02
Je suis contre ce permis car cette extraction de sable prive les plages d apport de sable et donc participe à l érosion.
Assez de béton aussi.
Assez de béton aussi.
Contribution n°5 (Web)
Par Lise N.
Déposée le 28 mars 2025 à 22h03
Déposée le 28 mars 2025 à 22h03
Je tiens à exprimer mon opposition ferme à la demande de permis exclusif de recherches (PER) de sables siliceux marins, ainsi qu’aux autorisations domaniale et d’ouverture de travaux de recherche déposées par le GIE Loire Grand Large. Ce projet, qui vise à explorer l’extraction de sables siliceux dans le domaine maritime de la façade atlantique, soulève de nombreuses préoccupations environnementales et climatiques incompatibles avec l’urgence climatique à laquelle nous faisons fasse et les engagements nationaux et internationaux en matière de protection des milieux littoraux et de lutte contre le réchauffement climatique.
1. Impact sur l’érosion côtière et la montée du niveau de la mer
L’extraction de sable en milieu marin perturbe l’équilibre sédimentaire des côtes. Or, la région concernée, notamment la Loire-Atlantique et la Vendée, subit déjà une érosion significative, qui menace plusieurs communes littorales (Saint-Jean-de-Monts, Noirmoutier-en-l’Île, La Baule, etc.).
• Le sable joue un rôle essentiel dans la protection des côtes en atténuant la force des vagues et en stabilisant les dunes, qui sont des barrières naturelles contre les tempêtes et la montée des eaux.
• En supprimant ces sédiments, l’extraction pourrait accélérer l’érosion des plages et favoriser les submersions marines, phénomène déjà préoccupant avec l’élévation du niveau de la mer estimée entre 30 et 80 cm d’ici 2100 (GIEC, 2021).
• Plusieurs zones concernées par cette demande de PER figurent déjà parmi les secteurs à risque dans les cartes du BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) sur l’évolution du trait de côte. Ce projet fragiliserait davantage ces territoires.
2. Risques pour la biodiversité marine et les habitats sensibles
L’extraction de sable a des effets destructeurs sur les écosystèmes marins :
• Elle entraîne la destruction des habitats benthiques (fonds marins), affectant des espèces sensibles comme les bivalves (coquilles Saint-Jacques, palourdes) et les poissons benthiques (raies, turbots), qui dépendent de ces substrats pour leur reproduction et leur alimentation.
• Le bruit et le soulèvement de particules fines modifient la turbidité de l’eau, altérant les conditions de vie des organismes marins et réduisant la photosynthèse des herbiers sous-marins, qui sont des puits de carbone naturels essentiels pour la régulation du climat.
• Plusieurs des communes concernées par l’enquête publique sont proches de zones Natura 2000 et d’aires marines protégées (comme l’estuaire de la Loire et la baie de Bourgneuf), où ce type d’activités pourrait être incompatible avec les objectifs de conservation.
3. Incompatibilité avec les engagements climatiques et la transition écologique
L’extraction massive de sable est un non-sens écologique à l’heure du dérèglement climatique.
• Le sable est une ressource limitée : les stocks marins ne sont pas renouvelables à l’échelle humaine, ce qui rend cette exploitation incompatible avec une gestion durable des matériaux.
• Son exploitation alimente une industrie du béton très carbonée, alors que la France s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre et à promouvoir des alternatives plus durables dans la construction.
• Ce projet va à l’encontre des recommandations scientifiques qui alertent sur la nécessité de préserver les écosystèmes marins pour leur rôle dans la régulation climatique (captation du CO₂, stockage du carbone dans les sédiments marins, protection contre les phénomènes climatiques extrêmes).
4. Absence de justification d’intérêt général
• Contrairement à des projets d’extraction strictement encadrés pour l’entretien des plages ou la reconstitution des dunes, cette demande semble purement industrielle, sans démonstration d’un intérêt général supérieur.
• Aucune étude d’impact sérieuse n’a été produite pour évaluer les effets cumulatifs sur la biodiversité et les écosystèmes côtiers à long terme.
• La population locale, les pêcheurs et les acteurs du tourisme, qui dépendent de la préservation du littoral, ne semblent pas avoir été concertés de manière approfondie sur les conséquences de ce projet.
Conclusion : un projet incompatible avec la protection du littoral et les enjeux climatiques
Ce projet s’inscrit dans une logique d’exploitation des ressources naturelles dépassée, qui ne prend pas en compte les impératifs écologiques et climatiques du XXIe siècle. Il va à l’encontre des objectifs de résilience côtière, de protection des écosystèmes marins et d’adaptation au changement climatique.
En conséquence, je demande le rejet de cette demande de permis exclusif de recherches et des autorisations associées. Il est essentiel de privilégier une gestion durable des ressources sédimentaires et de renforcer la protection des écosystèmes côtiers, plutôt que d’autoriser une activité susceptible d’aggraver les risques environnementaux pour les générations futures.
Je vous remercie de prendre en compte ces éléments et reste disponible pour toute clarification.
1. Impact sur l’érosion côtière et la montée du niveau de la mer
L’extraction de sable en milieu marin perturbe l’équilibre sédimentaire des côtes. Or, la région concernée, notamment la Loire-Atlantique et la Vendée, subit déjà une érosion significative, qui menace plusieurs communes littorales (Saint-Jean-de-Monts, Noirmoutier-en-l’Île, La Baule, etc.).
• Le sable joue un rôle essentiel dans la protection des côtes en atténuant la force des vagues et en stabilisant les dunes, qui sont des barrières naturelles contre les tempêtes et la montée des eaux.
• En supprimant ces sédiments, l’extraction pourrait accélérer l’érosion des plages et favoriser les submersions marines, phénomène déjà préoccupant avec l’élévation du niveau de la mer estimée entre 30 et 80 cm d’ici 2100 (GIEC, 2021).
• Plusieurs zones concernées par cette demande de PER figurent déjà parmi les secteurs à risque dans les cartes du BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières) sur l’évolution du trait de côte. Ce projet fragiliserait davantage ces territoires.
2. Risques pour la biodiversité marine et les habitats sensibles
L’extraction de sable a des effets destructeurs sur les écosystèmes marins :
• Elle entraîne la destruction des habitats benthiques (fonds marins), affectant des espèces sensibles comme les bivalves (coquilles Saint-Jacques, palourdes) et les poissons benthiques (raies, turbots), qui dépendent de ces substrats pour leur reproduction et leur alimentation.
• Le bruit et le soulèvement de particules fines modifient la turbidité de l’eau, altérant les conditions de vie des organismes marins et réduisant la photosynthèse des herbiers sous-marins, qui sont des puits de carbone naturels essentiels pour la régulation du climat.
• Plusieurs des communes concernées par l’enquête publique sont proches de zones Natura 2000 et d’aires marines protégées (comme l’estuaire de la Loire et la baie de Bourgneuf), où ce type d’activités pourrait être incompatible avec les objectifs de conservation.
3. Incompatibilité avec les engagements climatiques et la transition écologique
L’extraction massive de sable est un non-sens écologique à l’heure du dérèglement climatique.
• Le sable est une ressource limitée : les stocks marins ne sont pas renouvelables à l’échelle humaine, ce qui rend cette exploitation incompatible avec une gestion durable des matériaux.
• Son exploitation alimente une industrie du béton très carbonée, alors que la France s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre et à promouvoir des alternatives plus durables dans la construction.
• Ce projet va à l’encontre des recommandations scientifiques qui alertent sur la nécessité de préserver les écosystèmes marins pour leur rôle dans la régulation climatique (captation du CO₂, stockage du carbone dans les sédiments marins, protection contre les phénomènes climatiques extrêmes).
4. Absence de justification d’intérêt général
• Contrairement à des projets d’extraction strictement encadrés pour l’entretien des plages ou la reconstitution des dunes, cette demande semble purement industrielle, sans démonstration d’un intérêt général supérieur.
• Aucune étude d’impact sérieuse n’a été produite pour évaluer les effets cumulatifs sur la biodiversité et les écosystèmes côtiers à long terme.
• La population locale, les pêcheurs et les acteurs du tourisme, qui dépendent de la préservation du littoral, ne semblent pas avoir été concertés de manière approfondie sur les conséquences de ce projet.
Conclusion : un projet incompatible avec la protection du littoral et les enjeux climatiques
Ce projet s’inscrit dans une logique d’exploitation des ressources naturelles dépassée, qui ne prend pas en compte les impératifs écologiques et climatiques du XXIe siècle. Il va à l’encontre des objectifs de résilience côtière, de protection des écosystèmes marins et d’adaptation au changement climatique.
En conséquence, je demande le rejet de cette demande de permis exclusif de recherches et des autorisations associées. Il est essentiel de privilégier une gestion durable des ressources sédimentaires et de renforcer la protection des écosystèmes côtiers, plutôt que d’autoriser une activité susceptible d’aggraver les risques environnementaux pour les générations futures.
Je vous remercie de prendre en compte ces éléments et reste disponible pour toute clarification.
Contribution n°4 (Web)
Par Chainier Yves Pierre
Déposée le 26 mars 2025 à 15h45
Déposée le 26 mars 2025 à 15h45
Nous sommes contre des prelevements de sable au large de l ile de Noirmoutier.
Car nous pensons que cela aura un impact negatif sur les les plages et bancs de sable proches du rivage cotier de Noirmoutier.
Car nous pensons que cela aura un impact negatif sur les les plages et bancs de sable proches du rivage cotier de Noirmoutier.
Contribution n°3 (Web)
Anonyme
Déposée le 26 mars 2025 à 15h09
Déposée le 26 mars 2025 à 15h09
Bonjour,
La précédente campagne de "recherches de sables marins" a entraîné la baisse de 2 mètres du niveau de la Plage de La Blanche dont je suis propriétaire riverain, ce qui a entraîné une forte érosion du rivage à la sauvegarde duquel je suis obligé de contribuer, conformément à la Loi sur la préservation du trait de côte.
Je suis par conséquent CONTRE une nouvelle autorisation de ces "recherches de sables siliceux marins".
Merci d'avance de prendre bonne note de mon refus.
Bien cordialement
Bernard Jeanneau
La précédente campagne de "recherches de sables marins" a entraîné la baisse de 2 mètres du niveau de la Plage de La Blanche dont je suis propriétaire riverain, ce qui a entraîné une forte érosion du rivage à la sauvegarde duquel je suis obligé de contribuer, conformément à la Loi sur la préservation du trait de côte.
Je suis par conséquent CONTRE une nouvelle autorisation de ces "recherches de sables siliceux marins".
Merci d'avance de prendre bonne note de mon refus.
Bien cordialement
Bernard Jeanneau
Contribution n°2 (Email)
Par Commune de Beauvoir sur Mer
Déposée le 24 mars 2025 à 15h27
Déposée le 24 mars 2025 à 15h27
Objet : Enquête publique GIE LGL - Avis du conseil
Bonjour,
Dans le cadre de l’enquête publique en cours pour le permis exclusif de recherche de sables siliceux marins, je vous prie de trouver ci-joint l’avis du conseil municipal de la commune de Beauvoir sur Mer.
Vous en souhaitant une bonne réception,
Bien cordialement,
Gwénaëlle LEOSTIC
Directrice Générale des Services
Mairie de Beauvoir sur Mer – 85230
Tél : 02.51.68.70.32
www.mairie-beauvoirsurmer.fr
Bonjour,
Dans le cadre de l’enquête publique en cours pour le permis exclusif de recherche de sables siliceux marins, je vous prie de trouver ci-joint l’avis du conseil municipal de la commune de Beauvoir sur Mer.
Vous en souhaitant une bonne réception,
Bien cordialement,
Gwénaëlle LEOSTIC
Directrice Générale des Services
Mairie de Beauvoir sur Mer – 85230
Tél : 02.51.68.70.32
www.mairie-beauvoirsurmer.fr
Document joint
Contribution n°1 (Web)
Par Métay Xavier
Déposée le 17 mars 2025 à 11h04
Déposée le 17 mars 2025 à 11h04
Bonjour,
Ayant téléchargé ce matin les documents mis en téléchargement, je m'étonne de ne pas voir de document n°12 dans la longue liste des documents.
Est-ce normal ?
Merci d'avance de votre réponse.
Cordialement
Xavier Métay
Directeur de France Nature Environnement Pays de la Loire
Ayant téléchargé ce matin les documents mis en téléchargement, je m'étonne de ne pas voir de document n°12 dans la longue liste des documents.
Est-ce normal ?
Merci d'avance de votre réponse.
Cordialement
Xavier Métay
Directeur de France Nature Environnement Pays de la Loire
Apportez votre contribution à cette enquête publique :
Déposer une contribution